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Dinophysis et sa toxine DSP

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Présentation au sujet: "Dinophysis et sa toxine DSP"— Transcription de la présentation:

1 Dinophysis et sa toxine DSP
Katia Delahougue Aurélie Fructus

2 Sommaire Introduction Dinophysis et son développement DSP
Coquillages touchés Dépistage Conséquences pour la faune marine Symptômes chez l’homme Conclusion

3 Introduction Dinophysis et sa toxine sont responsables de certaines intoxications diarrhéiques sur le littoral atlantique. Ce phénomène a été mis en évidence en 1983. Ces toxines sont principalement de deux types : diarrhéiques (Dinophysis spp.) - paralysantes (Alexandrium minutum). Seules les toxines de la seconde catégorie sont mortelles pour l’Homme.

4 DINOPHYSIS Classe: Dinophycées Genre: Dinophysis
Plusieurs espèces par exemple D. acuminata et D. sacculus Taille: 30 à 100 µm Deux flagelles

5 Développement de Dinophysis
Dinophysis fait partie du phytoplancton. C’est une espèce qui ne se cultive pas en laboratoire. Cependant, certaines conditions hydrologiques, telles que la salinité, sont connues pour favoriser son développement. Dinophysis est ainsi retrouvé sur les côtes de Bretagne sud, en Normandie, dans l'ouest méditerranéen et en Corse. Son apparition dans les eaux côtières est généralement observée au printemps ou en été en Manche et en Atlantique, et à des saisons variables, y compris l'hiver, en Méditerranée.

6 DSP (Diarrheic Shellfish Poisoning)
Dinophysis produit des toxines diarrhéiques (dites toxines DSP) dont la principale est l'acide okadaïque (AO).

7 Coquillages touchés Lors des épisodes toxiques DSP, les moules sont les coquillages qui sont généralement les plus toxiques et qui se contaminent le plus vite. Mais d’autres coquillages sont concernés comme les palourdes, les coques, les donaces (ou donax), les amandes de mer, les huîtres, les pectinidés, etc...

8 Coquillages touchés par sites, sur la période 1992-2001

9 Dépistage de DSP dans les coquillages
Selon la méthode de Yasumoto, le dépistage est effectué par injection sur souris. Il est réalisé à partir d’un extrait de glandes digestives de coquillages. Le test est considéré positif s’il y a mort d’au moins deux souris sur trois en moins de 24 h. Les coquillages peuvent devenir toxiques même quand Dinophysis est présent en très faible quantité dans l’eau (seuil d'alerte = 500 cellules/litre).

10 Conséquences pour la faune marine
Ces proliférations provoquent généralement un fort trouble en surface empêchant toute photosynthèse près du fond suivie d’une dégradation aérobie du phytoplancton. Si le réapprovisionnement en oxygène de l’air est mal réalisé, il peut en résulter une anoxie du milieu et par conséquent la mort de certains animaux marins par asphyxie.

11 Symptômes sur l’homme L'intoxication diarrhéique par phycotoxines se manifeste beaucoup plus rapidement qu'une intoxication d'origine bactérienne, virale ou parasitaire. Les symptômes d’intoxication apparaissent au bout de 30 minutes à 12 heures après consommation des coquillages contaminés. Les toxines modifient la perméabilité des vaisseaux du tube digestif et provoquent ainsi des gastro-entérites qui se traduisent par des diarrhées, des vomissements et des douleurs abdominales. Les toxines DSP étant stables à la chaleur, la cuisson des coquillages ne diminue pas leur toxicité.

12 Conclusion Fini les crustacés, VIVE LE POULET!!!!!!*
* ( pour plus d’informations, voir l’exposé sur la grippe aviaire: Camille et Aurélie )

13 Bibliographie


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