Formation transport et logistique

Présentation au sujet: "Formation transport et logistique"— Transcription de la présentation:

1 Formation transport et logistique
1 - Découverte des métiers et PFMP 2 – Le parcours de l’apprenant 3 - L’enseignement 4 - Des outils, des méthodes pédagogiques 5 –Mise en commun de Ressources Formation transport et logistique

2 1 - Découverte des métiers et PFMP ?
1.1 - les métiers 1.2 - Mon stage en ligne L’atout du lycée professionnel

3 1.1- Les métiers Fiches métiers Vidéos sur les métiers
Fiches diplômes Transport et Logistique - [ Site économie gestion en LP - Académie de Lyon] Vidéos sur les métiers Travail avec l’AFT-IFTIM, création de supports de cours Fiches métiers présentées par Laurence Moulas

4 Mon stage en ligne Intervention de Serge Mathoux, Mission École-Entreprise Intervention de Serge Mathoux, Mission École-Entreprises

5 2 – Le parcours de l’apprenant
Aider à la réussite du projet de l’apprenant, éviter le décrochage. La lutte contre le décrochage scolaire est une priorité nationale absolue et un enjeu dans le cadre de la "Stratégie Europe 2020". Elle articule prévention et remédiation sur un objectif central : faire que chaque jeune puisse construire son avenir professionnel et réussir sa vie en société.

6 Le décrochage nombre moyen annuel de jeunes terminant leur formation initiale ( ) À la fin des années 2000, en moyenne jeunes quittent chaque année la formation initiale sans avoir obtenu de diplôme ou avec uniquement le brevet des collèges : 17 % des sortants du système éducatif. En 2011, 11,9 % des jeunes âgés de 18 à 24 ans sont des sortants précoces. Sortants sans diplôme et sortants précoces – Ministère de l'Éducation nationale : sans diplôme et avec le brevet des collèges. En 2011, 11,9 % des jeunes âgés de 18 à 24 ans sont des sortants précoces, c’est-à-dire qu’ils sont sans diplôme ou avec uniquement le brevet des collèges et qu’ils ne sont pas en situation de formation. La part des sortants précoces est relativement stable depuis À travers les objectifs de Lisbonne, l’Union européenne s’est fixé comme objectif de limiter à 10 % la proportion de sortants précoces parmi l’ensemble des jeunes âgés de 18 à 24 ans.

7 2.2 - Éviter le décrochage : axe essentiel du pilotage ministériel
cadrage-national Mise en place d'un «référent» qui «identifiera ceux qui commencent à décrocher» et les prendra en charge Installation d'une «plateforme objectif emploi» pour orienter les apprenants vers les emplois vacants dans les entreprises.  Par ailleurs, chaque jeune profitera d'un entretien individualisé et se verra proposer de signer un «contrat objectif emploi» avec une formation qualifiante. «Il faut une mobilisation générale pour ces décrocheurs que nous connaissons», a déclaré Vincent Peillon, saluant au passage le travail de l'ancien gouvernement de droite pour parvenir à les détecter. «20 à 25% de notre jeunesse se retrouve sans formation, et dans un pays où le diplôme fait l'emploi, sans emploi. Et donc dans la pauvreté », a poursuivi le ministre de l'Education nationale. Prévention du décrochage scolaire La lutte contre le décrochage scolaire est une priorité nationale absolue et un enjeu dans le cadre de la "Stratégie Europe 2020". Elle articule prévention et remédiation sur un objectif central : faire que chaque jeune puisse construire son avenir professionnel et réussir sa vie en société. Le ministère de l'Éducation nationale doit faire de cette question un axe essentiel de son pilotage. Ainsi, la connaissance rapide et fiable des élèves décrocheurs au coeur des établissements publics locaux d'enseignement (E.P.L.E.) sera réalisée sous la responsabilité des chefs d'établissement, notamment ceux des lycées professionnels qui représentent la cible principale de cette politique.  Ce renforcement général des conditions de repérage des élèves décrocheurs associera nécessairement les collectivités territoriales, notamment les centres de formation accueillant des apprentis relevant de leur autorité.  Cette fonction d'interface, qui doit s'associer à l'interconnexion interne des systèmes automatisés prévue dès cette année, devra être réalisée prioritairement au sein des C.I.O., des missions locales ou de tout autre point d'information ou d'accueil des jeunes hors des enceintes scolaires. Pour vous appuyer dans cette démarche, une convention nationale entre les ministères chargés de l'éducation nationale, de la jeunesse, de l'emploi, de la ville et de l'agriculture d'une part et le réseau des missions locales d'autre part, déclinera ce nouveau cadre d'action. Elle sera conclue dans les prochaines semaines et il vous sera demandé d'en assurer l'adaptation au niveau local.  À partir du cadre établi au niveau régional, il reviendra au préfet de département, en liaison avec l'inspecteur d'académie et le directeur régional de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt de désigner, après consultation des collectivités territoriales concernées, un responsable de la coordination locale. Ce dernier doit être choisi pour ses qualités d'organisation et d'animation reconnues par l'ensemble des partenaires et posséder une bonne connaissance du fonctionnement des institutions et de l'environnement économique local.  Il pourra être un cadre de l'éducation nationale (chef d'établissement, directeur de C.I.O., par exemple), un directeur de mission locale ou de P.A.I.O., un cadre du service public de l'emploi, d'une collectivité territoriale, d'une association, le délégué du préfet dans un quartier ou le sous-préfet lui-même. La coordination entre ces acteurs doit permettre de :- réaliser un diagnostic territorial sur les forces et les faiblesses de la coordination existante, définir les objectifs locaux, en préciser les modalités et les critères d'évaluation ;- s'assurer que chaque jeune sortant du système scolaire sans qualification ou diplôme soit identifié et que ses besoins comme son projet soient analysés et ses acquis reconnus ;- veiller à orienter chaque jeune vers un référent qui l'amène soit vers la reprise d'une formation, soit vers l'emploi, soit vers le dispositif d'accompagnement le plus approprié, pour sa qualification et son insertion professionnelle future ;- prévoir que chaque acteur mette à jour en continu ses offres locales de formation, d'information et d'accompagnement et mutualise les informations provenant de l'éducation nationale, du service public de l'emploi et des réseaux d'accueil et d'accompagnement des jeunes, sans exclure la possibilité de formations conjointes à cet effet ;- utiliser les services d'aide à l'orientation accessible par internet et par voie téléphonique, tout en veillant à l'actualisation des informations délivrées aux jeunes et à leurs familles pour, éventuellement, assurer la mise en relation avec un référent local identifié.   Lycée de la Nouvelle Chance Prévention du décrochage scolaire - Éduscol

8 2.3 - Vous êtes acteurs dans la lutte contre le décrochage
Le projet d'établissement, le contrat d’objectif et le lycée des métiers prennent en compte cette lutte. Tous les acteurs de la communauté éducative sont concernés et les familles sont associées. L'innovation pédagogique aide les élèves à retrouver la voie de la réussite. La lutte contre le décrochage dans les établissements scolaires L'École met en œuvre des mesures adaptées pour prévenir le décrochage des jeunes de plus de 16 ans. Le projet d'établissement prend en compte cette lutte. Tous les acteurs de la communauté éducative sont concernés et les familles sont associées. L'innovation pédagogique aide les élèves à retrouver la voie de la réussite.

9 2.4 – Comment éviter le décrochage ?
Réinstaller l’apprenant dans une dynamique positive par rapport à ses études Accompagnement personnalisé Donner aux élèves motivés les compléments nécessaires aux changements d’orientation Entretien personnalisé d'orientation Être un référent, suivi personnalisé d’un élève ou d’un groupe d’élèves Stages et tutorat Selon la situation de l'élève, l'objectif est de le réinstaller dans une dynamique positive par rapport à ses études grâce à des dispositifs spécifiques : La mise en place, de la seconde à la terminale, d’un accompagnement personnalisé de deux heures hebdomadaires est une mesure essentielle du nouveau lycée. L’accompagnement personnalisé soutient l’élève dans la réussite de sa scolarité et l’aide à gagner en autonomie. Accompagnement personnalisé Au lycée, des stages passerelles donnent aux élèves motivés les compléments nécessaires aux changements d’orientation. Il porte notamment sur les contenus et les méthodes spécifiques à la série que l’élève souhaite rejoindre. Des stages de remise à niveau sont destinés à éviter le redoublement des élèves qui rencontrent des difficultés ponctuelles ou plus profondes. Le tutorat est un suivi personnalisé d’un élève ou d’un groupe d’élèves par un enseignant, dont les professeurs documentalistes, ou un conseiller principal d’éducation. Stages et tutorat

10 2.5 – Passer le relais à la MGI
Mener avec chaque élève de la voie professionnelle un entretien personnalisé d’orientation Travailler avec la MGI pour : Re-mobiliser les apprenants et les aider a re-préparer l’examen Suivre les élèves avec le logiciel de Suivi de l'orientation" (SDO) Réinstaller l’apprenant dans une scolarité en formation initiale avec les micro-lycées Les professeurs principaux mènent avec chaque élève de la voie professionnelle un entretien personnalisé d’orientation. L’élève de première année de C.A.P. ou de seconde professionnelle exprime ses attentes. Il est accueilli et informé sur son champ professionnel. Les filières supérieures leur sont présentées. Entretien personnalisé d'orientation - La mission générale d’insertion (MGI) intervient dans le repérage et la prévention à travers les groupes d’aide à l’insertion (GAIN) qu’elle suscite et anime dans de nombreux établissements, mais aussi dans des actions de remobilisation et de repréparation à l’examen. - Au sein des établissements, des applications informatiques contribuent au bon suivi des élèves. C'est le cas du module "Suivi de l'orientation" (SDO) de l'application SIECLE, au service de la prévention du décrochage. La reprise de scolarité en formation initiale est possible grâce aux actions de la mission générale d'insertion ou spécifiquement dans le cadre des micro-lycées. Présentation des micro-lycées sur le site Éduscol

11 3 – Un enseignement au service de la réussite du projet de l’apprenant
3.1 - Travailler en équipe 3.2 - Gérer l’hétérogénéité 3.3 - Préparer sa séance 3.4 – Évaluer différemment

12 3.1 – Travailler en équipe Motiver les élèves
Faire des projets de groupe, de classe Travailler en équipe éducative et intervenir ensemble ou en complémentarité devant les apprenants Suivre plus particulièrement quelques élèves 1 - Vendre le lycée professionnel comme un nouveau départ, une nouvelle chance Créer une dynamique classe, développer le sentiment d’appartenance au groupe, Ex de projets : - gérer le site du lycée, - organiser la porte ouverte du lycée, - Mettre en place une vidéo des métiers ou des formations dans l’établissement, Egalement : - classe DNL, - Leonardo - voyages et sorties culturelles 2 - Donner du sens au travail d’équipe, intervenir a plusieurs voix, en complément, Faire le lien entre son cours et celui du collègue, lier les enseignements entre eux, leur donner du sens Faire intervenir en PFMP, les enseignants de matière générale après les avoir préparés à un métier 3 - Suivre les élèves, être  « tuteur » se répartir les élèves pour avoir une relation privilégiée avec quelques uns (pfmp mais aussi comportement) Valoriser la relation : reconnaître l’autre, le valoriser Travailler sur son projet, son orientation à défaut Motiver les élèves

13 3.2 - Gérer l’hétérogénéité
Mettre en place des parcours individualisés Faire signer des contrats Rendre les élèves acteurs de leur formation Faire travailler les apprenants en binômes, en groupes, en filières Utiliser les plages réservées à l’accompagnement personnalisé, positionnement et groupes de besoins Mettre en place des parcours parallèles, avec différentes vitesses, ou tout le monde ne fait pas tout a fait la même chose Ou certain vont avancer plus vite que d’autres (chacun à son rythme) plus entraide si besoin entre les plus rapides et ceux en difficultés l’entraide : ex : faire « tutorer» les entrants par des 2 ou 3 ème annéee Groupe de besoins et pas groupe de niveaux, inter-classes (cours en barrettes) Positionnement et évaluation (nouveau positionnement après le module) réduire les inégalités

14 donner envie d'apprendre
3.3 – Préparer sa séance Utiliser des supports ludiques Donner du rythme aux séances de cours Faire le lien avec le métier et l’entreprise Intéresser les élèves, supports agréables, variés, (les élèves zappent dès que cela les ennuis), images, graphiques, … Utiliser les différents sens, tous les élèves ne mémorisent pas de la même façon alterner les phases d’apprentissage, lecture, écoute et écriture, … Donner du sens à la formation, faire le lien pfmp, entreprise, métier Faire une séance sur les retours de pfmp, associé l’équipe pédagogique, quelques enseignants de matières générales donner envie d'apprendre

15 3.4 - Évaluer différemment
Évaluer des compétences C.C.F., Contrôle en cours de formation petit test : le CCF en questions Evaluer des compétences et pas des savoirs Le savoir est forcément inclus dans la compétence, Laisser les cahiers aux élèves pendant les évaluations, si c’est possible, l’évaluation est bien faite

16 4 – Des outils, des méthodes pédagogiques
Rendre l'apprenant acteur de sa formation Apprenants acteurs de leur formation : Donner du rythme au cours, faire le lien avec le métier supports divers, images, sons et vidéos

17 4.1– Des outils, des méthodes pédagogiques
Motiver les élèves autour d’un projet de classe. Intervention de Jeanine Ugolini et Valérie Houel LP Voisin et LP Musset

18 4.2 – Des outils, des méthodes pédagogiques
Mettre en place des partenariats et des tutorats. Intervention de Bruno Ponson LP Cevert Écully

19 4.3 – Des outils, des méthodes pédagogiques
Faire le lien avec le métier et l’entreprise. Intervention de Fabienne Joly LP VOISIN Bourg en Bresse

20 4.4 – Des outils, des méthodes pédagogiques
Donner du rythme au cours. Intervention de Nazha Bahhari et Sébastien Gaulin LP MUSSET Villeurbanne Apprenants acteurs de leur formation : - Donner du rythme au cours, utiliser les magasins, faire le lien avec le métier) - supports divers, images, sons et vidéos

21 4.5 – Des outils, des méthodes pédagogiques
Utiliser des supports concrets et ludiques. Intervention de Bruno Ponson LP CEVERT Écully Apprenants acteurs de leur formation : Donner du rythme au cours, faire le lien avec le métier supports divers, images, sons et vidéos

22 4.6 – Des outils, des méthodes pédagogiques
Mettre en place un véritable accompagnement personnalisé. Intervention de Chrystèle Lisoire LPP Notre Dame de Givors - l’intérêt de l'AP pour les élèves et pour les professeurs en retour - le role indispensable du chef de travaux pour l'organisation de l'AP et - le travail attendu des enseignants pour mettre en place l'AP, construction de module, de tests de positionnements, ...

23 5 - Mise en commun de Ressources
Site académique Liste du cerpeg Site aft-iftim Ateliers

24 Merci de votre attention
- MP Sauvé -