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Publié parGarland Perrot Modifié depuis plus de 9 années
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Du détecteur aux données physiques ATLAS trigger et acquisition de données Doris Burckhart-Chromek CERN ATLAS TDAQ
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1 000 000 000 fois par seconde Les protons entrent en collision au centre du detecteur Des particules sont créées
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1 000 000 000 fois par seconde Les protons entrent en collision au centre du détecteur chaque collision produit d’énormes quantités de données Ceci correspondrait à remplir 100 000 CDs par seconde
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Le détecteur qui repèrent les traces des particules est composé de plusieurs parties
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Les traces permettent de mesurer letemps le_temps lelieu le_lieu lacharge la_charge l’énergie l’impulsion des particules et ainsi de les identifier
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Une electronique très spécialisée transforme les traces en signaux électriques
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Des centaines de chassis remplis avec des milliers de modules convertissent les signaux pour les ordinateurs 10010100101000111100101001010001111001010010100011110010100101000111100101001010001010001111001010010100011110011100101000111100101
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Une sur 5 000 000 Seules quelques collisions sont intéressantes La sélection est basée sur des critères spécifiques
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Coupe du détecteur avec les traces d’une collision
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On examine les éléments importants des traces On ne retient qu’une collision sur 5 000 000 On élimine le reste
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On assemble le puzzle de la collision pour obtenir une image complète
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Pour réduire la quantité d’informations avec des « grappes » d’ordinateurs on fait une séléction plus fine
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On enregistre 300 000 000 octets par seconde STOCKAGE Ce qui équivaut à 1 CD toutes les 2 secondes
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Dans le monde entier pour en extraire la physique STOCKAGE avec des milliers d’ordinateurs on analyse les données
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