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Lignes directrices de pratique clinique 2010 pour le diagnostic et le traitement de l’ostéoporose au Canada Papaioannou A et coll. CMAJ 2010, 12 oct. [publication.

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1 Lignes directrices de pratique clinique 2010 pour le diagnostic et le traitement de l’ostéoporose au Canada Papaioannou A et coll. CMAJ 2010, 12 oct. [publication électronique avant impression].

2 Fractures de fragilisation et fossés thérapeutiques
Section deux

3 Fracture de fragilisation : Définition
Fracture spontanée ou consécutive à un traumatisme mineur, comme une chute de la position debout ou d’une hauteur moindre1,2 À l’exclusion des fractures craniofaciales, de la main, la cheville et du pied Notes pour le conférencier : La plus grave manifestation de l’ostéoporose est la fracture de fragilisation, définie comme une fracture spontanée ou consécutive à un traumatisme mineur, par exemple tomber de la position debout ou d’une hauteur moindre1,2. Les fractures craniofaciales, de la main et du pied ne sont pas incluses dans la définition des fractures de fragilisation. Selon certaines lignes directrices, une fracture consécutive à une chute de la hauteur d’une ou deux marches, d’une bordure de trottoir ou du lit est également considérée comme une fracture de fragilisation. Références : 1. Kanis JA, Oden A, Johnell O et coll. The burden of osteoporotic fractures: a method for setting intervention thresholds. Osteoporos Int 2001; 12(5): 2. Bessette L, Ste-Marie LG, Jean S et coll. The care gap in diagnosis and treatment of women with a fragility fracture. Osteoporos Int 2008; 19:79-86. Kanis JA et coll. Osteoporos Int 2001; 12(5): Bessette L et coll. Osteoporos Int 2008; 19:79-86.

4 % de toutes les fractures dues à la fragilisation
Lignes directrices 2010 La majorité des fractures chez les femmes canadiennes de > 50 ans sont des fractures de fragilisation % de toutes les fractures dues à la fragilisation 75,7 % 91,8 % % global : 81 % 95 % 90 % 85 % 80 % 75 % 70 % 65 % 60 % 50-59 60-69 70-79 80+ Groupes d’âges Notes pour le conférencier : Dans une étude de cohorte prospective réalisée au Québec, les fractures de fragilisation représentaient 81 % de toutes les fractures survenues chez des femmes postménopausées de 50 ans et plus. Aux fins de cette étude, la définition de la fracture de fragilisation était « fracture spontanée ou consécutive à un traumatisme mineur, comme une chute de la position debout ou d’une hauteur de moins d’un mètre, une chute de la position assise ou de la position couchée d’une hauteur de moins d’un mètre, une chute dans un escalier d’une à trois marches, ou après un mouvement effectué en dehors de l’axe de mobilité normal, ou causée par la toux ». Les cas de fracture de la colonne cervicale, du crâne ou du visage, de la main ou du doigt, de l’orteil, du métatarse ou de la rotule étaient exclus. Ces fractures n’ont pas été considérées d’origine ostéoporotique parce qu’elles n’étaient pas associées à une densité minérale osseuse (DMO) basse et que leur fréquence n’augmente pas avec l’âge. Référence : Bessette L, Ste-Marie LG, Jean S et coll. The care gap in diagnosis and treatment of women with a fragility fracture. Osteoporos Int 2008; 19:79-86. Bessette L et coll. Osteoporos Int 2008; 19:79-86.

5 Conséquences des fractures
Lignes directrices 2010 Conséquences des fractures Risque accru : Hospitalisation/institutionnalisation1,2 Décès3-5 Fracture subséquente6-8 Réduction de la qualité de vie9-12 Fardeau économique pour le système de soins de santé2 Notes pour le conférencier : Les conséquences des fractures incluent un accroissement de la mortalité, de la morbidité et du nombre d’institutionnalisations, ainsi qu’une augmentation des coûts économiques1-5. Références : 1. Papaioannou A, Adachi JD, Parkinson W et coll. Lengthy hospitalization associated with veretebral fractures despite control for comorbid conditions. Osteoporos Int 2001; 12(10): 2. Wiktorowicz ME, Goeree R, Papaioannou A et coll. Economic implications of hip fracture: health service use, institutional care and cost in Canada. Osteoporos Int 2001; 12(4): 3. Ioannidis G, Papaioannou A, Hopman WM et coll. Relation between fractures and mortality: results from the Canadian Multicentre Osteoporosis study. CMAJ 2009; 181(5): 4. Papaioannou A, Wiktorowicz ME, Adachi JD et coll. Mortality, independence in living, and re-fracture, one year following hip fracture in Canadians. J SOGC 2000; 22(8): 5. Tosteson AN, Gottlieb DJ, Radley D et coll. Excess mortality following hip fracture: The role of underlying health status. Osteoporos Int 2007; 18(11): 6. Papaioannou A, Wiktorowicz ME, Adachi JD et coll. Mortality, independence in living, and re-fracture, one year following hip fracture in Canadians. J SOGC 2000; 22(8): 7. Colon-Emeric C, Kuchibhatia M, Pieper C et coll. The contribution of hip fracture to risk of subsequent fractures: data from two longitudinal studies. Osteoporos Int 2003; 14: 8. Lindsay R, Silverman SL, Cortet B et coll. RIsk of new vertebral fracture in the year following a fracture. JAMA 2001; 285: 9. Sawka AM, Thabane L, Papaioannou A et coll. Health-related quality of life measurements in elderly Canadians with osteoporosis compared to other chronic medical conditions: a population-based study from the Canadian Multicentre Osteoporosis Study (CaMos). Osteoporos Int 2005; 16: 10. Cranney A, Coyle D, Hopman WM et coll. Prospective evaluation of pRéférences : and quality of life in women with hip fractures. J Rheumatol 2005; 32(12): 11. Pasco JA, Sanders KM, Hoekstra FM et coll. The human cost of fracture. Osteoporos Int 2005; 16(12): 12. Papaioannou A, Kennedy CC, Ioannidis G et coll. The impact of incident fractures on health-related quality of life: 5 years of data from the Canadian Multicentre Osteoporosis Study. Osteoporos Int 2009; 20(5): 1. Papaioannou A et coll. Osteoporos Int 2001; 12(10): 2. Wiktorowicz ME et coll. Osteoporos Int 2001; 12(4): 3. Ioannidis G et coll. CMAJ 2009; 181(5): 4. Papaioannou A et coll. J SOGC 2000; 22(8): 5. Tosteson AN et coll. Osteoporos Int 2007; 18(11): 6. Papaioannou A et coll. J SOGC 2000; 22(8): 7. Colon-Emeric C et coll. Osteoporos Int 2003; 14: 8. Lindsay R et coll. JAMA 2001; 285: 9. Sawka AM et coll. Osteoporos Int 2005; 16: 10. Cranney A et coll. J Rheumatol 2005; 32(12): 11. Pasco JA et coll. Osteoporos Int 2005; 16(12): 12. Papaioannou A et coll. Osteoporos Int 2009; 20(5):

6 Répercussions sur le fonctionnement et la qualité de vie
Lignes directrices 2010 Répercussions sur le fonctionnement et la qualité de vie On a signalé une perte de confiance et la crainte de tomber après tous les types de fractures < 40 % des victimes d’une fracture de la hanche retrouvent la capacité de marcher comme avant1,2 Les fractures cliniques réduisent l’autonomie et la mobilité et sont associées à la douleur chronique3 Notes pour le conférencier : On a signalé une perte de confiance et la crainte de tomber après tous les types de fractures et moins de 40 % des victimes d’une fracture de la hanche retrouvent la capacité de marcher comme avant suite à une fracture1,2. Chez les femmes, les fractures vertébrales cliniques réduisent l’autonomie et la mobilité en plus d’être associées à la douleur chronique3. Références : 1. Cranney A, Coyle D, Hopman WM et coll. Prospective evaluation of pRéférences : and quality of life in women with hip fractures. J Rheumatol 2005; 32(12): 2. Pasco JA, Sanders KM, Hoekstra FM et coll. The human cost of fracture. Osteoporos Int 2005; 16(12): 3. Papaioannou A, Kennedy CC, Ioannidis G et coll. The impact of incident fractures on health-related quality of life: 5 years of data from the Canadian Multicentre Osteoporosis Study. Osteoporos Int 2009; 20(5): 1. Cranney A et coll. J Rheumatol 2005; 32(12): 2. Pasco JA et coll. Osteoporos Int 2005; 16(12): 3. Papaioannou A et coll. Osteoporos Int 2009; 20(5):

7 Traitement insuffisant de l’ostéoporose post-fracture chez les femmes1
Lignes directrices 2010 Traitement insuffisant de l’ostéoporose post-fracture chez les femmes1 Notes pour le conférencier : Malgré un taux élevé de fractures dans la population canadienne, moins de 20 % des victimes de fractures reçoivent un traitement afin de réduire les risques de nouvelle fracture dans l’année qui suit1-3. Le fossé thérapeutique est encore plus large en ce qui concerne les hommes : moins de 10 % des Canadiens aux prises avec des fractures de fragilisation reçoivent quelque traitement anti-ostéoporotique que ce soit4. En outre, les taux de traitement après une fracture sont plus bas chez les résidents des centres d’hébergement de soins de longue durée (CHSLD)5. Le traitement insuffisant des patients après une fracture de fragilisation1 contraste nettement avec le traitement administré après un infarctus du myocarde (IM), pour lequel on a réussi à combler un important fossé thérapeutique au cours des 15 dernières années : environ 80 % des victimes d’IM reçoivent désormais des bêtabloquants pour aider à prévenir les récurrences d’IM6. Références : 1. Bessette L, Ste-Marie LG, Jean S et coll. The care gap in diagnosis and treatment of women with a fragility fracture. Osteoporos Int 2008; 19:79-86. 2. Bessette L, Jean S, Davison KS et coll. Factors influencing the treatment of osteoporosis following fragility fracture. Osteoporos Int 2009; 20(11): 3. Papaioannou A, Giangregorio L, Kvern B et coll. The osteoporosis care gap in Canada. BMC Musculoskelet Disord 2004; 5:11. 4. Papaioannou A, Kennedy CC, Ioannidis G et coll. The osteoporosis care gap in men with fragility fractures: the Canadian Multicentre Osteoporosis Study. Osteoporos Int 2008; 19(4): 5. Giangregorio L, Jantzi M, Papaioannou A et coll. Osteoporosis management among residents living in long-term care. Osteoporos Int 2009; 20(9): 6. Austin PC, Tu JV, Ko DT et coll. Factors associated with the use of evidence-based therapies after discharge among elderly patients with myocardial infarction. CMAJ 2008; 179(9): Ce fossé thérapeutique est encore plus large chez les hommes et chez les résidents des CHSLD2,3 Une fracture est à l’ostéoporose ce qu’une crise cardiaque est à la maladie cardiovasculaire. MAIS... le fossé thérapeutique est beaucoup plus large après la fracture qu’après l’infarctus4. 1. Bessette L et coll. Osteoporos Int 2008; 19:79-86. 2. Papaioannou A et coll. Osteoporos Int 2008; 19(4): 3. Giangregorio L, Osteoporos Int 2009; 20(9): 4. Austin PC et coll. CMAJ 2008; 179(9):

8 Lignes directrices 2010 Voir au-delà de la DMO À l’heure actuelle, une DMO basse est le principal signal pour amorcer le traitement TOUTEFOIS, La plupart des fractures de fragilisation se produisent lorsque la DMO se trouve à l’intérieur des valeurs non ostéoporotiques (T-scores plus élevés que - 2,5)6 Notes pour le conférencier : Quiconque reçoit un diagnostic d’ostéoporose est plus susceptible de recevoir un traitement, la DMO constituant le principal signal pour son instauration1-5. Or, de nombreuses personnes victimes d’une fracture (voire de multiples fractures) ont des scores de DMO qui se situent à l’intérieur de l’éventail des valeurs basses (autrefois appelé ostéopénie) (T-score : -1 à -2.5). Ces personnes, dans bien des cas, ne reçoivent pas de traitement, car on considère à tort qu’elles ne sont pas exposées à un risque élevé de fracture6,7. Ceci constitue une occasion manquée de prévenir des fractures en raison d’une trop grande confiance accordée à la DMO. En outre, dans une large mesure, on a encore mal évalué l’impact cumulatif des facteurs de risque autres que la DMO sur le risque de fractures, d’où l’importance d’une approche encore plus globale à l’évaluation du risque de fracture (décrite à la Section 4 de ce programme). Références : 1. Bessette L, Ste-Marie LG, Jean S et coll. The care gap in diagnosis and treatment of women with a fragility fracture. Osteoporos Int 2008; 19:79-86. 2. Papaioannou A, Giangregorio L, Kvern B et coll. The osteoporosis care gap in Canada. BMC Musculoskelet Disord 2004; 5:11. 3. Elliot-Gibson V, Bogoch ER, Jamal SA et coll. Practice patterns in the diagnosis and treatment of osteoporosis after a fragility fracture: a systematic review. Osteoporos Int 2004; 15: 4. Papaioannou A, Kennedy CC, Ioannidis G et coll. The osteoporosis care gap in men with fragility fractures: the Canadian Multicentre Osteoporosis Study. Osteoporos Int 2008; 19(4): 5. Cranney A, Tsang JF, Leslie WD. Factors predicting osteoporosis treatment initiation in a regionally based cohort. Osteoporos Int 2009; 20(9): 6. Cranney A, Jamal SA, Tsang JF et coll. Low bone mineral density and fracture burden in postmenopausal women. CMAJ 2007; 177(6): 7. Langsetmo L, Goltzman D, Kovacs CS et coll. Repeat low-trauma fractures occur frequently among men and women who have osteopenic BMD. J Bone Miner Res 2009; 24(9): Il s’agit d’une occasion manquée de prévenir d’éventuelles fractures en raison de la trop grande confiance accordée à la DMO6,7. 1. Bessette L et coll. Osteoporos Int 2008; 19:79-86. 2. Papaioannou A et coll. BMC Musculoskelet Disord 2004; 5:11. 3. Elliot-Gibson V et coll. Osteoporos Int 2004; 15: 4. Papaioannou A et coll. Osteoporos Int 2008; 19(4): 5. Cranney A et coll. Osteoporos Int 2009; 20(9): 6. Cranney A et coll. CMAJ 2007; 177(6): 7. Langsetmo L et coll. J Bone Miner Res 2009; 24(9):

9 Documentation additionnelle
Lignes directrices 2010 Documentation additionnelle On peut accéder à d’autres diapositives en utilisant les hyperliens présents dans les diapositives principales Section deux – Fractures de fragilisation et fossés thérapeutiques

10 La fracture est un prédicteur de fractures ultérieures
Lignes directrices 2010 La fracture est un prédicteur de fractures ultérieures Risque de subir une autre fracture au cours de l’année suivant une fracture de la hanche* : 5 % – 10 %1,2 Risque de subir une autre fracture vertébrale dans l’année suivant une fracture vertébrale† : 20 %3 Les fractures vertébrales prévalentes prédisent aussi la fracture de la hanche*4,5 40 % des Canadiens qui subissent une fracture ont des antécédents de fracture6 Notes pour le conférencier : Une fracture demeure l’un des plus importants facteurs de risque permettant de prédire la survenue de fractures ultérieures1. Le risque de subir une autre fracture dans l’année suivant une fracture de la hanche se situe à 5 % – 10 %2,3 et à 20 % après une fracture vertébrale4. Les fractures vertébrales augmentent également le risque de fractures de la hanche5,6. Quarante pour cent des Canadiens qui subissent une fracture ont déjà des antécédents de fractures7. Références : 1. Chen P, Krege JH, Adachi JD et coll. Vertebral fracture status and the World Health Organization risk factors for predicting osteoporotic fracture risk. J Bone Miner Res 2009; 24(3): 2. Papaioannou A, Wiktorowicz ME, Adachi JD et coll. Mortality, independence in living, and re-fracture, one year following hip fracture in Canadians. JOGC 2000; 22(8): 3. Colon-Emeric C, Kuchibhatia M, Pieper C et coll. The contribution of hip fracture to risk of subsequent fractures: data from two longitudinal studies. Osteoporos Int 2003; 14: 4. Lindsay R, Silverman SL, Cortet B et coll. Risk of new vertebral fracture in the year following a fracture. JAMA 2001; 285: 5. Ismail AA, Cockerill W, Cooper C et coll. Prevalent vertebral deformity predicts incident hip though not distal forearm fracture: results from the European Prospective Osteoporosis Study. Osteoporos Int 2001; 12(2):85-90. 6. Melton LJ 3rd, Atkinson EJ, Cooper C et coll. Vertebral fractures predict subsequent fractures. Osteoporos Int 1999; 10(3): 7. Hajcsar EE, Hawker G, Bogoch ER: Investigation and treatment of osteoporosis in patients with fragility fractures. CMAJ 2000, 163: 1. Papaioannou A et coll. JOGC 2000; 22(8): 2. Colon-Emeric C et coll. Osteoporos Int 2003; 14: 3. Lindsay R et coll. JAMA 2001; 285: 4. Ismail AA et coll. Osteoporos Int 2001; 12(2):85-90. 5. Melton LJ 3rd et coll. Osteoporos Int 1999; 10(3): 6. Hajcsar EE et coll. CMAJ 2000, 163: * chez l’homme et chez la femme † chez la femme ménopausée Retour à la présentation principale

11 Risque de mortalité dans l’année suivant une fracture de la hanche
Lignes directrices 2010 Risque de mortalité dans l’année suivant une fracture de la hanche % de mortalité après un an Notes pour le conférencier : Une personne (homme ou femme) victime d’une fracture de la hanche est exposée à un risque de mortalité de 25 % dans l’année suivant sa fracture. Ce risque excédentaire persiste au cours de la seconde année, indépendamment de l’âge et des comorbidités1. Pour les résidents des CHSLD victimes d’une fracture, la mortalité dans l’année qui suit une fracture de la hanche s’élève à 39 %2. Références : 1. Ioannidis G, Papaioannou A, Hopman WM et coll. Relation between fractures and mortality: results from the Canadian Multicentre Osteoporosis study. CMAJ 2009; 181(5): 2. Papaioannou A, Wiktorowicz ME, Adachi JD et coll. Mortality, independence in living, and re-fracture, one year following hip fracture in Canadians. J SOGC 2000; 22(8): 1 2 1. Ioannidis G et coll. CMAJ 2009; 181(5): 2. Papaioannou A et coll. J SOGC 2000; 22(8):

12 Risque accru de mortalité après une fracture vertébrale
Lignes directrices 2010 Risque accru de mortalité après une fracture vertébrale Notes pour le conférencier : Les femmes victimes de fractures vertébrales sont exposées à un risque plus grand de mortalité au cours de la première année de suivi (RR ajusté 3,7, IC à 95 % 1,1–12,8), de même qu’au cours de la seconde année (RR ajusté 3,2, IC à 95 % 1,2–8,1). Référence : Ioannidis G, Papaioannou A, Hopman WM et coll. Relation between fractures and mortality: results from the Canadian Multicentre Osteoporosis study. CMAJ 2009; 181(5): Retour à la présentation principale Ioannidis G et coll. CMAJ 2009; 181(5):

13 Retour à la présentation principale
Lignes directrices 2010 Déficits HUI3 associés aux fractures chez la femme, selon le type de fracture Multi (HUI2) - 0,05 - 0,1 - 0,15 - 0,2 - 0,25 Mobilité (HUI2) Douleur (HUI2) Autonomie (HUI2) Multi (HUI3) Ambulation (HUI3) Douleur (HUI3) Autres Côtes Colonne Hanche Notes pour le conférencier : (Please review and compare to Eng notes on this slide) Cette étude s’est penchée sur les changements de la qualité de vie liée à la santé (mesurée au moyen de l’indice HUI) chez des sujets victimes et indemnes de nouvelles fractures cliniques. L’indice HUI est un système générique utilisé pour mesurer l’état de santé ainsi que la qualité de vie liée à la santé (QVLS). Les scores obtenus à l’indice HUI peuvent aussi servir à calculer les années de survie ajustées pour la qualité de vie (Quality- Adjusted Life Years), une mesure couramment utilisée par les chercheurs en économie de la santé. L’indice HUI3 comprend huit attributs : vision, audition, parole, marche, dextérité, émotion, état cognitif et douleur. Pour chaque attribut, de trois à six niveaux de fonctionnement sont décrits, allant de « gravement déficient » à « normal ». Selon des études cliniques, une diminution de 0,03 ou plus du score HUI3 global moyen est considérée comme étant cliniquement importante. Parmi les huit attributs du HUI pris individuellement, la plus petite différence entre les niveaux est de 0,05; une différence de 0,05 est donc considérée significative et des différences plus petites le sont probablement aussi. La cohorte de l’étude se composait de femmes et hommes (de 50 ans et plus) de l’étude CaMos. L’indice HUI a été mesuré au départ et après cinq ans. Les participants ont été subdivisés en différents groupes ayant subi de nouvelles fractures (hanche, côte, colonne vertébrale, avant-bras, bassin, autre) et ont ensuite été comparés aux sujets indemnes de ce type de fractures. Les auteurs ont mesuré les effets du temps et du type de fracture sur les indices HUI au moyen d’analyses de régression multivariées. Comparativement aux sujets indemnes de fractures, les hommes et les femmes victimes de fractures de la hanche présentaient des indices HUI plus bas, allant de - 0,05 à - 0,25. Tant les hommes que les femmes victimes de fractures vertébrales présentaient des déficits significatifs sur le plan des paramètres douloureux (- 0,07 à - 0,12). Chez les femmes, l’autonomie (- 0,06), la mobilité et la capacité ambulatoire (- 0,05) ont aussi été affectées négativement. Les femmes victimes de fractures de côtes présentaient des déficits semblables à celles qui avaient subi des fractures vertébrales et ces effets ont persisté dans le temps. Chez les hommes, les fractures des côtes n’ont pas significativement affecté les indices HUI. Les fractures du bassin et de l’avant-bras n’ont pas substantiellement influé sur les indices HUI. Référence : Papaioannou A, Kennedy CC, Ioannidis G et coll. The impact of incident fractures on health-related quality of life: 5 years of data from the Canadian Multicentre Osteoporosis Study. Osteoporos Int 2009; 20(5): Retour à la présentation principale Papaioannou A et coll. Osteoporos Int 2009; 20(5):

14 Coûts croissants associés à la fracture de la hanche ($CAN)
Lignes directrices 2010 Coûts croissants associés à la fracture de la hanche ($CAN) Notes pour le conférencier : Au Canada, le coût annuel des fractures de la hanche seulement a été estimé à 650 millions de dollars en 1993 et on s’attend à ce qu’il atteigne 2,4 milliards de dollars d’ici 2041. Référence : Wiktorowicz ME, Goeree R, Papaioannou A et coll. Economic implications of hip fracture: health service use, institutional care and cost in Canada. Osteoporos Int 2001; 12(4): Retour à la présentation principale Wiktorowicz ME et coll. Osteoporos Int 2001; 12(4):

15 Retour à la présentation principale
Lignes directrices 2010 Fossé thérapeutique : La plupart des hommes ne reçoivent aucun traitement anti-ostéoporotique après une fracture Notes pour le conférencier : Le fossé thérapeutique est particulièrement large en ce qui concerne les hommes canadiens; plus de 90 % de ceux qui ont subi des fractures de fragilisation n’ont reçu aucun traitement anti-ostéoporotique. Référence : Papaioannou A, Kennedy CC, Ioannidis G et coll. The osteoporosis care gap in men with fragility fractures: the Canadian Multicentre Osteoporosis Study. Osteoporos Int 2008; 19(4): Retour à la présentation principale Papaioannou A et coll. Osteoporos Int 2008; 19(4):

16 Retour à la présentation principale
Lignes directrices 2010 Fossé thérapeutique post-fracture : Comparaison avec l’infarctus du myocarde Notes pour le conférencier : Le traitement insuffisant des patients après une fracture de fragilisation1 contraste nettement avec le traitement administré après un infarctus du myocarde, pour lequel on a réussi à combler un important fossé thérapeutique au cours des 15 dernières années : environ 80 % des personnes victimes d’un infarctus du myocarde (IM) reçoivent désormais des bêtabloquants pour aider à prévenir les récurrences d’IM2. Références : 1. Bessette L, Ste-Marie LG, Jean S et coll. The care gap in diagnosis and treatment of women with a fragility fracture. Osteoporos Int 2008; 19:79-86. 2. Austin PC, Tu JV, Ko DT et coll. Factors associated with the use of evidence-based therapies after discharge among elderly patients with myocardial infarction. CMAJ 2008; 179(9): 1 2 1. Bessette L et coll. Osteoporos Int 2008; 19:79-86. 2. Austin PC et coll. CMAJ 2008; 179(9): Retour à la présentation principale

17 Retour à la présentation principale
Lignes directrices 2010 La plupart des fractures de fragilisation chez les femmes postménopausées surviennent en présence de masse osseuse faible (« ostéopénie ») Nbre de fractures 100 200 300 400 500 > 0,0 0,0 à -0,5 -0,5 à -1,0 -1,0 à -1,5 -1,5 à -2,0 -2,0 à -2,5 -2,5 à -3,0 -3,0 à -3,5 < -3,5 Normal Catégorie OMS T-score 60 50 40 30 20 10 Taux de fractures Il s’agit d’une occasion manquée de prévenir des fractures en raison d’une trop grande confiance à la DMO. Taux de fractures par années-personnes Notes pour le conférencier : De nombreuses personnes victimes d’une fracture (voire de multiples fractures) ont des scores de DMO qui se situent à l’intérieur de l’éventail des valeurs basses (autrefois appelé « ostéopénie ») (T-score : -1 à -2,5) 1,2. Ces personnes, dans bien des cas, ne reçoivent pas de traitement, car on considère à tort qu’elles ne sont pas exposées à un risque élevé de fractures1,2. Ceci constitue une occasion manquée de prévenir des fractures en raison d’une trop grande confiance à la DMO. Ces données proviennent d’une étude de cohorte historique canadienne dont la période moyenne d’observation s’échelonnait sur 3,2 ans1. Le groupe de l’étude ( femmes de 50 ans ou plus) provenait de la base de données d’un programme manitobain de surveillance de la DMO, qui incluait tous les résultats de densité minérale osseuse pour le Manitoba. Les mesures de base de la DMO pour la colonne lombaire et la hanche ont été obtenues par absorptiométrie biphotonique (DXA). L’âge moyen était de 65 ans et les T-scores moyens pour tous les sites se trouvaient à l’intérieur de la catégorie ostéopénique. On a dénombré 765 nouvelles fractures. Les taux de fractures étaient significativement plus élevés chez les femmes de 65 ans ou plus que chez les femmes de 50 à 64 ans. Bien que les taux de fractures aient été significativement plus élevés chez les femmes présentant des T-scores ostéoporotiques, la plupart des fractures sont survenues chez les femmes qui présentaient des valeurs non ostéoporotiques (min – max : 59,7 % – 67,8 %). Références : 1. Cranney A, Jamal SA, Tsang JF et coll. Low bone mineral density and fracture burden in postmenopausal women. CMAJ 2007; 177(6): 2. Langsetmo L, Goltzman D, Kovacs CS et coll. Repeat low-trauma fractures occur frequently among men and women who have osteopenic BMD. J Bone Miner Res 2009; 24(9): Ostéo- pénie Ostéo- porose Retour à la présentation principale Cranney A et coll. CMAJ 2007; 177(6):


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