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Publié parAuben Robinet Modifié depuis plus de 9 années
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B.S. Hansen et al. Acta Anaesthesiologica Scandinavica
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* La dysurie post-opératoire peut n’être que transitoire et n’être qu’une source d’inconfort pour les patients. Cependant elle peut aussi causer des dysfonctions vésicales séquellaires. * Objectif : déterminer les facteurs de risque de dysurie post-opératoire en SSPI chez les patients hospitalisés.
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* Design : étude monocentrique prospective, non randomisée. * Recrutement consécutif de 794 patients hospitalisés passants par la SSPI, ASA I à IV, d’août 2004 à janvier 2005. * Inclus : 18 ans et plus. * Exclus : patients ayant déjà une sonde vésicale en pré ou per-opératoire, et patients avec analgésie péridurale post-opératoire. * Critère de jugement principal : échec de miction à la demande 1h après un bladder scan montrant un volume vésical ≥ 400 ml.
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* Validité interne : biais de sélection et de classement * Les patients de l’étude ne représentaient que 20% des patients opérés pendant la période de l’étude * Comparabilité = ? Possibles comorbidités impliquées dans les dysuries, non prises en compte apparemment. * Définition arbitraire de la dysurie par un volume vésical ≥ 400 ml * Validité externe : * Effet centre possible (étude monocentrique) * Patients hospitalisés et non ambulatoires
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* Cette étude montre comme les précédentes le lien entre dysurie post- opératoire et le type de chirurgie et d’anesthésie. * Elle montre l’intérêt d’un développement de l’usage du bladder scan en SSPI.
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