Peurs, Mythes et Croyances: de puissants alli é s? Regroupement d ’é tablissements de sant é et de services sociaux, r é gion Saguenay-Lac-Saint-Jean Vendredi.

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1 Peurs, Mythes et Croyances: de puissants alli é s? Regroupement d ’é tablissements de sant é et de services sociaux, r é gion Saguenay-Lac-Saint-Jean Vendredi 13 octobre 2006

2 De la complexit é na î t le r é seau

3 …l’organisation en réseau implique le partage par tous ses acteurs d’une vision commune, de valeurs, de principes, conditions sine qua non d’un fonctionnement satisfaisant… le « que faisons-nous ensemble? » constitue l’origine fondatrice puis le moteur fédérateur du réseau. Hervé Sérieyx

4 Gérer dans la complexité: une question d’intention partagée

5 La question : « Qu ’ est-ce qu ’ on veut faire ensemble? »

6 Le leadership en r é seau ne repose pas n é cessairement sur l ’ expertise ou le fait d ’ avoir plus de connaissances, mais dans la capacit é à amener les gens à faire du sens ensemble de ce qu ’ ils veulent faire ensemble.

7 L ’ enjeu n ’ est plus d ’ être le meilleur mais d ’ être meilleurs ensemble. De l ’ exploit solitaire à la r é ussite solidaire

8 La mise en r é seau se cr é e par notre capacit é à la rencontre.

9 Est-ce que nos r é unions sont des rencontres?

10 Des le ç ons de deux artistes : « L ’ important ce n ’ est pas d ’ apprendre à faire, c ’ est d ’ apprendre à voir. » Jano « Voir c ’ est retarder son jugement. » Christian Lasalle

11 L ’ exercice des oppos é s

12 « Si la pyramide met de l’ordre, le réseau met de la vie. » Hervé Sérieyx «Nous pouvons essayer de contrôler l’incontrôlable en cherchant la sécurité et la prévisibilité, espérant constamment nous sentir confortable et sécure. Mais la vérité est que nous ne pouvons éviter l’incertitude. Cela fait partie de l’aventure, et c’est aussi ce qui nous fait peur.» Pema Chödrön

13 « Mais la réussite de ces nouvelles technologies de l’intelligence ne peut se fonder que sur la confiance et sur des valeurs partagées. Celui-ci ne viendra que de la volonté et de la capacité des hommes à partager la connaissance, à établir des coopérations, à faire confiance, à reconnaître à l’autre son altérité et le droit à sa subjectivité, à s’engager avec d’autres sur des chemins qui ne sont pas écrits à l’avance. » Dominique Genelot