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Publié parMagali Giraud Modifié depuis plus de 9 années
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Les nationalismes Annie et Joanie Groupe 13 – équipe 3
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Le nationalisme canadien et Wilfrid Laurier Wilfrid Laurier était un avocat, un journaliste, un homme politique et un premier ministre du Canada de 1896 à 1911. Sa stratégie politique principale étant le compromis, son objectif était de maintenir l’unité canadienne.
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L ’impérialisme et Robert Borden Tout comme Wilfrid Laurier, Robert Borden était un avocat, une homme politique et premier ministre du Canada de 1911 à 1920. Cependant, un contraire de Laurier, il était à la base de l’impérialisme. Sa stratégie, l’impérialisme, est le fait de garder des liens avec l’Angleterre pour le bien du Canada. En effet, les canadiens anglais craignaient que le Canada devienne indépendant puisque si tel en était le cas, les États-Unis l’emporteraient sur le Canada.
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Le nationalisme canadien (canadien-français) de Henri Bourassa et Olivar Asselin Henri Bourassa était un nationaliste canadien français qui tentait d’implanter au Canada une vision et un mode de vie bilingue et biculturel (il implante la fondation de la Ligue nationaliste canadienne dans le but de faire propager ses idées), où les droits des minorités anglophones et francophones sont respectés. Cependant, Henri Bourassa n’arrive pas à faire accepter aux Canadiens anglais sa vision face au Canada et même que dans quelques provinces anglophones, les franco-catholiques voient leurs droits scolaires réduits au début du siècle. C’était, entre autre, le chef de file du nationalisme canadien français. Bourassa s’oppose à Laurier au sujet de la guerre des Boers car il dit que les canadiens français se doivent d’être fidèles au Canada.
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Le nationalisme canadien-français (québécois) de Lionel Groulx et Jules-Paul Tardivel Prêtre et historien, Lionel Groulx devint maître après la guerre mondiale. Il tentait de mettre en valeur les bases de la vie inculquée par l’Église. Il suit la même ligne de pensée que les ultramontains (il se concentre au Québec). Son nationalisme s’appuie sur la tradition et les valeurs du passé. Pour lui, les canadiens français doivent nécessairement être catholiques et agriculteurs. De plus, Groulx insiste sur les aspects culturels et linguistiques et défend la cause de la reconnaissance des droits de la langue française. Il craint les valeurs nouvelles apportées par l’urbanisation et l’industrialisation pour la survie des francophones. Ses idées provoquent de nombreuses réactions chez les gens. Autant quelques-uns sont pour et approuvent, d’autres subissent des condamnations.
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Sources et crédits CIFRAQS – Histoire du Canada http://www.tu-dresden.de/sulcifra/GeschQuebec/guide1.htm HISTOR!CA – Encyclopédie canadienne en ligne http://www.histori.ca/ Le Devoir http://www.ledevoir.com/ L’aménagement linguistique dans le monde http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/index.shtml CALLISTO (Université de Sherbrooke) Le Canada à la veille de la guerre http://callisto.si.usherb.ca:8080/hm03/guerre14-18/accueil02.htm RESCOL – Les Canadiens dans le monde http://www.canschool.org/relation/history/4betwe-f.asp Anciens comabattants Canada http://www.vac-acc.gc.ca/general_f/ Charpentier et al., Nouvelle histoire du Québec et du Canada, Montréal, CÉC, 1990, 465 pages Lacoursière et al. Canada- Québec, synthèse historique, Montréal, ERPI, 1978, 629 pages Cardin, Jean-François, Le Québec, Héritages et projets, Montréal, HRW, 1984, 506 pages
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