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Adrian Patronea, médecin résident en épidémiologie LES EFFETS SECONDAIRES POST-VACCINAUX.

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1 Adrian Patronea, médecin résident en épidémiologie LES EFFETS SECONDAIRES POST-VACCINAUX

2  Sont d’événements medical indésirables, temporellement associés avec les vaccins ou la vaccination et qui peut être ou ne peut pas être causés de la vaccin ou de la vaccination.  Pour mise en association l’événement medical avec la vaccination, le début doit apparaître en les premières 4 semaines après la vaccination (exception=BCG).  Depuis 1996, en Roumanie a été introduit un système de surveillance de les effets secondaires post-vaccinaux:  La lymphadénite consécutive de l'administration de BCG  L’abcèses développés au site de l'administration d’un vaccin  Le décès, l'hospitalisation et tout autre incident medical grave que peut être considéré comme associés avec la vaccination. DÉFINITIONS

3  Pour diagnostiquer une réaction adverse postvaccinale il est besoin d’une définiton standard de cas: 1.L’abcès au site de l'administration- c’est une lésion fluctuante ou suppurative centrée sur le site de l’administration de vaccin. 2.La lymphadénite- au moins 1 ggl lymphatique>1,5 cm ou fistulisée. 3.Encéphalopathie- apparition aiguë, caractérisée par: convulsions, altération de la conscience ou modification du comportement pour minimum 1 jour. 4.Convulsions- fébrile ou afébrile avec une durée maximale de 15 minutes, sans des signes neurologiques de focaux. DÉFINITIONS OMS

4  E S associés du programme de vaccination:  erreurs dans la maintienage, manutention ou l’administration de vaccins.  sont représenté de l’abcès au site de l'administration ou le syndrome de choc toxique et septique.  E S induites par le vaccin :  réaction d’un individuel à un vaccin particulier.  réaction févrile, éruptions cutanées, réactions locales ou convulsions.  E S coïncidentes:  événements médicaux qui semblent en l'absence de l’administration de la préparée vaccinale.  E S de cause inconnue:  manifestations que ne peuvent être inclus dans une catégorie, être impossible de spécifier un facteur causal jusqu'à présent. LES CAUSES DE LES EFFETS SECONDAIRES

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6  Réactions locales, fièvre et des symptômes systémiques peut entraîner dans le cadre de le réponse immunitaire.  En plus, certains composantes de le vaccin peut conduire à des réactions.  Un vaccin de succes réduit ces réactions à minimum pendant qu’ll offre la mieux immunité. EFFETS SECONDAIRES MINEURS, HABITUELES

7  La plupart des les rares effets secondaires graves ne conduit pas au des problèmes à long terme.  L’anaphylaxie, bien que est potentiel fatale, est traitables sans laisser d’effets à long terme.  Quoique l’encéphalopathie est connue comme une rare réaction à la rougeole ou le DTP vaccin, il n’est pas certaine que ces vaccins réalement caussent encéphalopathie.  Même qu’autres serieux événements ont été raportés aprés l’immunisation, peut être qu’il y a des autres événements coïncidentes, plutôt les réales réactions. EFFETS SECONDAIRES GRAVES

8  BCG: l’infection généralisée, qui se manifeste aux les immunodéficients  D’environ 1 cas sur 1 million des doses vaccinales  VPO: la PPAV, qui se manifeste par la paralysie aiguë moue apparue depuis 4-30 jours(75 jours-les contacts) ou par le déficit neurologique qui persiste minimum 60 jours après la vaccination.  1 cas sur 3,3 mil. doses, en Roumanie 19 fois plus fréquent  Aprés la première dose aux enfants: 1 cas sur 750.000 doses  aux immunodéficients le risque est 3.200 fois plus élevée  OMS: entres 250-500 cases annuelle en monde  Sdr. Guillain-Barré:  VTA: 1 cas sur 2,5 mil doses  Le vaccin antigripal: 1 cas sur 100.000 doses, sans aucune association prouvée  Le vaccin contre le méningocoque: quelque cases raportés en monde  Les Vaccins HVB et rougeoliques- sans aucune association prouvée  PESS (aprés la rougeole):  L’implication en PESS n’été pas confirmée  Il est prouvé que le vaccin protège contre le PESS EFFETS SECONDAIRES GRAVES

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10  Le vaccin humaine quadrivalent contre le papillomavirus(HPV) a été licencié pour utilisation le Juin de 2006.  Depuis son approbation plus de 26 million doses du vaccin ont été distribués parmi le monde.  Il se débat la sécurité du vaccins, avec des théories d’une liaison entre le vaccin et les événements syncopales, et l’étiologie de plusieurs conditions croniques comme le syndrome Guillain-Barré. EFFETS SECONDAIRES APRÉS LE VACCIN CONTRE HPV

11  Jusqu'à le 4 Juliet 2008, 3.7 million doses de vaccin quadrivalent contre le HPV ont étaient distribués dans l’Australie, avec plus des 26 million doses distribué parmi le monde entier.  Jusqu'à 26 Juliet 2008, 1013 cases suspectes de effets secondaires au vaccin quadrivalent contre le HPV ont été raportés dans l’Australie. L'EXPÉRIENCE AUSTRALIENNE Ils ont étaient raportés 91 cases de reactions urticarienne et 12 cases suspectes de reactions anaphylactiques

12  Jusqu'à 30 Avril 2008, plus que 12 million doses du vaccin quadrivalent contre le HPV ont étaient distribués dans les États-unis, et ils sont reçus 7802 cases de effets secondaires.  Moins que 7% des cases raportés ont étaient classés comme graves(impliquant le décès, l’hospitalisation, des handicapées permanentes ou des maladies qui menaçent la vie).  Une secteur d’intense intérêt dans l'expérience des États- unis a été la relation entre le vaccin quadrivalent contre le HPV et le syndrome Guillain-Barré (GBS). L'EXPÉRIENCE AMERICANNE

13 10 des ces cases ont étaient confirmés; cinque ont reçus aussi des vaccination avec vaccin quadrivalent contre le méningocoque (MCV4), qui était prouvée d’accelerer le syndrome Guillain-Barré. 9 des ces cases sont évalués plus détaillés. 7 des ces cases n’accomplit pas la définition du cas pour le GBS. 4 des ces cases ont étaient des rapports non confirmées, et 1 cas a eu des symptoms du GBS avant la vaccination. LES VAERS ONT REÇUS 31 RAPPORTS DU GBS APRÉS LA VACCINATION AVEC LE VACCIN QUADRIVALENT CONTRE LE HPV.

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15  L’impact des vaccinations sur la santée de la population était exceptionnelle.  Les vaccins ont reduit la mortalitée, ainsi l’esperance de vie est augmenté.  Les effets secondaires sont la pluspart d’elles mineurs, autolimitant.  Les effets secondaire graves sont exceptionnelles, la plupart du temps on ne peut pas établir aucune liaison avec la vaccination.  Le rapport bénéfice / risque est incontestable en faveur de la vaccination. CONCLUSIONS

16  Robert J Douglas BA, Quadrivalent HPV vaccination reactions. Reprinted from Australian Family Physician Vol. 38, No. 3, March 2009  Brumboiu MI, Bocsan IS. Metode epidemiologice de prevenire si combatere a bolilor infectioase. Cluj Napoca, 2006.  Bocsan IS, Brumboiu MI. Vaccinuri si vaccinari in practica medicala. Cluj Napoca, 2005  Yu O, Bohlke K, Hanson CA, Delaney K, Rees TG, Zavitkovsky A, et al. Hepatitis B vaccine and risk of autoimmune thyroid disease: a Vaccine Safety Datalink study. Pharmacoepidemiol Drug Saf. 2007 Jul;16(7):736-45. Yu OBohlke KHanson CADelaney KRees TGZavitkovsky A  www.who.int www.who.int  www.cdc.gov www.cdc.gov  www.vaccine.net RÉFÉRENCES


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