Dispositif d’évaluation interne

Présentation au sujet: "Dispositif d’évaluation interne"— Transcription de la présentation:

1 Dispositif d’évaluation interne
Un moyen de répondre aux recommandations CTI

2 L’évaluation interne : quésaco ?
Dispositif visant à intervalles réguliers, à apprécier : la cohérence avec les orientations prioritaires, la pertinence (réponses adaptées aux problèmes identifiés), l’efficience (résultats/moyens), l’efficacité (résultats/objectifs) du service rendu.

3 Différence avec l’audit
L’audit est réalisé selon une norme qui fait consensus Une évaluation interne s'effectue à partir d'éléments définis ou choisis par les futurs utilisateurs (référentiel) L’évaluation interne est collective et faite sur mesure Temps de mise en œuvre >> audit

4 La méthode classique : mode projet
Étude de faisabilité Lancement (lettre direction / objectifs / Copil) Choix du référentiel Réalisation de l’auto-évaluation (groupes travail) Diagnostic qualité (points + / points à améliorer)  Rédaction du rapport d’évaluation Plan d’amélioration continue

5 La méthode utilisée à Polytech Montpellier
Un comité de pilotage : validation du référentiel et de la feuille de route Une cellule d’évaluation Des correspondants dans les départements (peu sollicités au final) Un outil (tableur) adapté à partir d’une grille de diagnostic ISO Des interviews et questionnements par courriel pour collecter les éléments preuves et les pratiques (personnels, élèves) Durée : environ 8 mois

6 Le référentiel utilisé
Basé sur le guide d’auto-évaluation CTI (v2012) 839 critères CTI ; 90 % du guide couvert ; 759 critères conservés au total. Le tableau de correspondance utilisé pour les cotations Cotations Explicitations Taux de conformité A l’école répond entièrement à la référence  100% B l’école répond en majorité à la référence  66% C l’école répond en partie à la référence  33% D l’école ne répond pas à la référence 0%

7 Synthèse des résultats
Conformité en %

8 Résultat par champs d’investigation

9 Conclusion S'auto-évaluer permet d'acquérir une connaissance globale de l'organisme ; Cette connaissance participe à un principe qui reconnaît le hors norme (qui peut s'avérer complètement bienfaisant) ; Cette connaissance permet l’orientation des actions d’amélioration par une approche factuelle.