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Séance n°2 : "L'achat en ligne"

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1 Séance n°2 : "L'achat en ligne"
Les types d’échanges du e-commerce La chaîne de valeur du B2C Les processus d'un site B2B Les modèles de revenus du e-commerce Le modèle S.W.O.T.

2 L’actualité de la semaine 41
Google s'offre Youtube pour 1,65 milliard de dollars Le moteur de recherche s'offre le premier site de partage et de diffusion de vidéos sur Internet. Le trafic du site est passé de 13 millions de visiteurs uniques en mai 2006 à plus de 20 millions en août, soit une hausse de 60 % en 3 mois. Une audience importante drainée par les quelques 100 millions de vidéos diffusées chaque jour. Et le nombre de films hébergés augmente à raison de nouvelles séquences par jour. Le montant colossal de la transaction n'a pas eu raison de l'enthousiasme des marchés. Mardi, l'action Google a débuté la journée en légère hausse (+0,3% à 430 dollars, à 18 heures), après le rachat la veille de YouTube pour 1,65 milliard de dollars. En effet, la plupart des analystes jugent l'opération chère mais profitable. « Google paie surtout pour le trafic », commente Merrill Lynch. Allié à YouTube, il détiendra 60% de la vidéo sur Internet, « alors que le marché de la publicité liée à la vidéo devrait atteindre 640 millions de dollars en 2007 et 1,5 milliard en 2009 », explique la banque d'affaires. Lancé en février 2005, YouTube totalise 100 millions de vidéos consultées par jour et occupe 46% du secteur aux Etats-Unis devant MySpace, tandis que Google se traînait jusqu'à présent en troisième position (11%). Or, son service avait été lancé à peu près au même moment que YouTube avec une marque déjà installée et davantage de moyens. « C'est la première fois qu'ils admettent leur défaite », remarque Nate Elliott, analyste chez Jupiter Research.

3 L’actualité de la semaine (suite)
YouTube racheté, Google dispose d'un nouveau débouché pour ses liens sponsorisés. Citigroup évalue ce nouveau réseau publicitaire à 200 millions de dollars pour 2007 et maintient sa recommandation d'achat et un objectif de cours à… 550 dollars. « Nous jugeons cette acquisition positive, car elle complète l'activité publicitaire de Google. La valeur est élevée, mais la dilution faible », résume Merrill Lynch. De fait, même s'il paye 20 fois le bénéfice net potentiel de YouTube en 2009, Google ne touche pas à ses réserves de cash puisque la transaction se fait intégralement en actions. Or, 1,6 milliard de dollars, cela ne représente qu'un peu plus de 1% de la valeur du groupe. « Le rachat de YouTube pour 1,65 milliard de dollars ne sera dilutif que de 0,15 dollar sur le bénéfice par action de Google en 2007 si YouTube est à l'équilibre », ajoute Merrill Lynch. Ce dont doutent cette fois nombre d'observateurs, au regard des coûts de fonctionnements considérables du site.

4 Les types d’échanges du e-commerce
PRESENTATION INFORMATION COMMUNICATION TRANSACTION INTEGRATION

5 La chaîne de valeur du B2C
Avant Modèle de distribution classique Après Conne Authen - Catalo - Acheteur Paiement Fournisseur tification gues Transaction Marke - - xion Paiement Logistique - ting Banques L’irruption d ’Internet dans le commerce bouleverse la donne des relations commerciales

6 Exemple de processus d’un site B2B
Gérer le cycle commande-facture-paiement Acheteurs Place de marché Fournisseurs Gestion des catalogues Ordre d’achat Intégration ERP Facture Paiement Allons un peu plus loin dans la description de notre projet. Son originalité réside notamment dans le fait que notre démarche prend en considération l’intégralité du cycle commande-facture-paiement à des fins de bouclage des flux. Un système de présentation de factures viendra donc s ’interfacer avec la place de marché. Au travers d ’un système homogène et intégré, il s ’agit de permettre à l ’entreprise de réaliser différents niveaux de réconciliation automatiques dans le cadre du déroulement de la transaction : commande - livraison commande - facture facture - paiement Réconciliation Automatique e-Procurement e-BPP Approvisionnement Présentation de factures (electronic Bill Presentation & Payment)

7 Les modèles de revenus (1)
E = MC3 (en fonction du segment d'activité) MARKETING, COMMUNICATION, CONTENU & COMMERCE

8 Les modèles de revenus (2)
TAUP (en fonction de l'origine et du type de flux) TRANSACTION, ABONNEMENT, UTILISATION, PUBLICITE Importance du type de revenu en fonction de l'activité principale * * * = important * * = Moyen * = Faible

9 Modèle de revenu selon les activités
* * * = important * * = Moyen * = Faible

10 Les facteurs influençant les revenus
La taille du marché (exemple : les US) loi de Moore : la puissance des processeurs est doublée tous les 18 mois à prix constant L'importance du réseau (masse critique, marketing viral) loi de Metcalf : utilité d'un réseau = (nombre d'utilisateurs)2 L'accélération des revenus (croissance du marché) développement des start-ups L'avantage du premier arrivé (first mover) Le capital client (fidélisation, marges, nouvelles prestations, effet de réseau) dot.com contre dot.corp La mise en oeuvre de partenariats win-win

11 Avantages & surcoûts du e-commerce
Les 10 avantages du e-commerce revenus supérieurs accueil & support client 24/24 et 7/7 accès externe plus rapide aux informations internes meilleure collecte de l'information externe dissémination plus rapide de l'information réduction des coûts de travail réduction des coûts de communication réduction des frais de fonctionnement réduction des frais de stockage bonne image auprès des actionnaires & investisseurs Les 5 surcoûts entraînés par le e-commerce salaires plus élevés coûts technologiques supérieurs coûts de maintenance plus élevés promotion et marketing plus coûteux cadre de travail plus cher

12 L’actualité de la semaine 42
Google lance sa suite bureautique contre Office Source : LExpansion.com Google réunit son traitement et de texte et son tableur en ligne dans une même interface, "Google Docs". Cette suite bureautique gratuite et pratique concurrence ouvertement Office dans le grand public. Mais Microsoft ne cèdera pas à la mode des logiciels en ligne. Google poursuit son grand mécano bureautique. Jusqu'alors éparpillés sur deux sites Internet, héritage de développements distincts, son traitement de texte et son tableur en ligne ont été fondus mercredi dans une seule et même interface aux vrais airs d'Office, baptisée « Google Docs ». Sans avoir à installer d'autre logiciel qu'un navigateur, l'internaute peut désormais créer en quelques clics des documents textes et remplir des tableaux. Mise en page, fonctions, ajout d'images, de tables, de liens, import, export, caractères spéciaux et correction orthographique, l'essentiel des fonctions basiques d'un Word ou d'un Excel est préservé. En parallèle, Google a mis l'accent sur le travail collaboratif puisque les fichiers, sauvegardés sur ses serveurs, peuvent être partagés entre différents internautes. Ce qui se montre, à l'usage, plutôt concluant, à condition d'accepter de stocker ses données hors de son disque dur.

13 L’actualité de la semaine 42
Aux Etats-Unis, Google Docs vient se loger dans une barre de navigation aux côtés de la messagerie Gmail, de Google Calendar et de Picassa, l'outil de partage de photos. Ce qui en dit long sur les ambitions de Google qui constitue depuis deux ans une suite de logiciels en ligne complémentaires. Tous les outils sont accessibles avec un même compte et des développements croisés sont envisagés. Par exemple, cliquer sur un document texte en pièce-jointe n'ouvrira plus Word mais Google Docs. Pourtant, le groupe américain n'abandonne pas son discours mâtiné de prudence, comme s'il cherchait à endormir Microsoft. Comme un symbole, Google a refusé d'appeler sa suite « Google Office », ce qui aurait été un choix somme toute logique. « C'est un produit complémentaire des applications bureautiques auquel il manque certaines fonctionnalités avancées », justifie Jonathan Rochelle, responsable du projet. Microsoft n'est pas dupe. Déjà alerté par le succès de ThinkFree Office, première suite bureautique en ligne en Corée du Sud, le groupe de Redmond – qui tire le quart de son chiffre d'affaires des ventes d'Office – prépare sa riposte. C'est tout l'enjeu de la stratégie « Office Live », mise en place depuis un an et qui servira de complément au futur Office 2007 dans le travail collaboratif ou la recherche de données. Mais pour le PDG de Microsoft, « les logiciels fonctionneront toujours sur un PC ». Autrement dit, il ne faut pas s'attendre à voir un Word ou un Excel débarquer en ligne. « Je suis convaincu que nous assistons à la transition d'une période pré-Internet vers logiciels qui peuvent disposer de fonctionnalités supplémentaires en ligne… », explique Steve Ballmer. Les sites Internet, qui proposent des services à grand renfort de technologie AJAX en utilisant les navigateurs, n'en étant que l'exemple le plus abouti.

14 Le marché européen des TIC enregistre une croissance de 3,1% Source : Atelier groupe BNP Paribas - 13/10/2006 Le marché des technologies de l'information et de la communication (TIC) devrait croître de 3,1 % cette année et atteindre une valeur de 644 milliards d'euros.  Un climat en général positif dans les entreprises, un meilleur développement économique et de nouvelles technologies de convergence numérique sont favorables aux investissements dans les TIC. Ce sont les technologies de l'information (TI) qui dopent cette croissance avec une augmentation de 3,8 %, soit un volume de 305 milliards d'euros. En revanche, le marché des télécommunications enregistre une croissance un peu moins élevée avec 2,5 % et un volume atteignant les 339 milliards d'euros. Selon les experts de l'EITO, cette différence de croissance devrait continuer de s'accroître pendant l'année 2007.  Quels sont les pays européens qui connaissent la plus forte croissance sur le marché des TIC ? C'est l'Espagne qui arrive en tête, puisqu'elle devrait enregistrer une belle hausse de 5,2 %. Viennent ensuite le Royaume-Uni (3,3 %), la France (2,7 %), l'Italie (2 %) et l'Allemagne (1,6 %). 

15 Le marché européen des TIC enregistre une croissance de 3,1%
Concernant les technologies de l'information, c'est le marché des logiciels qui obtient la croissance la plus importante avec ses 6,3 %. Sur ce secteur, la demande est très élevée pour les infrastructures systèmes et les solutions de sécurité. Le marché des services connaît également une croissance importante de 5,3 %. Ici, les moteurs de marché sont les services professionnels comme l'outsourcing, le conseil et l'intégration de systèmes. De nombreuses entreprises cherchent en effet à augmenter leur efficacité et leur productivité grâce aux fournisseurs de services TI. En ce qui concerne les télécommunications, les services de téléphones portables continuent d'augmenter de 3,8 % dans l'Union Européenne. En revanche, les services fixes de téléphones perdent 4,3 % cette année. "La voix fait encore du "cash" mais n'est plus un moteur de croissance. Le futur se trouve dans les services bande large, la télévision IP et le contenu en ligne tout frais".  Si le secteur des télécommunications connaît une croissance de 2,5 % c'est en partie grâce à la très forte augmentation de la demande d'Internet et de services de données. Les entreprises européennes implantées dans ce secteur enregistrent une progression de 10,6 % de leur chiffre d'affaires. En outre, les entreprises européennes des TIC sont généralement bien équipées pour faire face à la concurrence mondiale."L'Union Européenne a de solides bases dans tous les domaines et un énorme potentiel de qualifications, culture, connaissances, innovation et créativité »

16 L'analyse du e-commerce - le modèle SWOT
S = STRENGTHS W = WEAKNESSES O = OPPORTUNITIES T = THREATS Analyse S.W.O.T. du e-commerce pour l'économie

17 L'analyse SWOT pour les entreprises
Augmenter ses ventes sur un marché existant Fidéliser sa clientèle Réduire les coûts des produits & services offerts Accèder à de nouveaux marchés Analyse S.W.O.T. du e-commerce pour une entreprise

18 L'analyse SWOT de (Google, FNAC, la Redoute)
Analyse S.W.O.T. du e-commerce pour une entreprise S(trengths) W(eaknesses) O(pportunities) T(hreats)

19 L'analyse SWOT pour les consommateurs
Le client final devient roi, grâce à une concurrence accrue Les possibilités de choix et d'information augmentent mais la vraie qualité se paye ! Analyse S.W.O.T. du e-commerce pourle consommateur

20 Bibliographie & sites utiles
Ouvrages : "Le guide EBG du commerce electronique" ; Editions Publi-Union, 1999 Comment faire...votre commerce sur Internet ; Campus Press, 2000 e-Business Guide Le site à visiter : : les 5000 prestataires du commerce electronique ! (onglet « annuaire »)


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