La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

AMELIORATION DE LA SANTE HUMAINE DANS UN ECOSYSTEME RURAL : Cas du paludisme dans la région de Buyo (Sud-Ouest de la Côte d’Ivoire) Dr Bernard YAPO OSSEY.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "AMELIORATION DE LA SANTE HUMAINE DANS UN ECOSYSTEME RURAL : Cas du paludisme dans la région de Buyo (Sud-Ouest de la Côte d’Ivoire) Dr Bernard YAPO OSSEY."— Transcription de la présentation:

1 AMELIORATION DE LA SANTE HUMAINE DANS UN ECOSYSTEME RURAL : Cas du paludisme dans la région de Buyo (Sud-Ouest de la Côte d’Ivoire) Dr Bernard YAPO OSSEY (Chimiste Environnementaliste) Dr FOLQUET AMORISSANI Madeleine (Médecin Pédiatre) Mr BROU AHOSSI Nicolas (Doctorant Socio-anthropologue) Mr DOUMBIA MOHAMED (Doctorant Socio-anthropologue)

2 I- ETAT DES LIEUX (1) Superficie d’environ 11000 km2
Habitants (RGPH, 1998) Importante transformation de la région de Buyo à partir de 1968 Ecosystème originel forestier devenu depuis la mise en eau du barrage, une zone agricole avec un développement économique sans précédent.

3 I- ETAT DES LIEUX (2)  Modification de la trame spatiale,
Amplification certains problèmes environnementaux avérés ou potentiels, Bouleversement des structures sociales, Perte de la biodiversité,

4 Septembre 2002: Conflit armé
CONSEQUENCES ? Emergence ou recrudescence de maladies transmissibles liées à l’eau dont le paludisme . Septembre 2002: Conflit armé Flux migratoire important dans la zone.

5 II- DONNEES DE BASE (1) Sur le plan national 30 à 40 % de cas (OMS C.I) Mortalité hospitalière - 0 à 40 % en médecine - 10 à 50 % en pédiatrie Portage du parasite estimé à 87 % (Source : MSP/PNLP, Rapport d’activités 1998). Hôpital de Buyo: Paludisme = 56,32%

6 II- DONNEES DE BASE (2) Zone Buyo Zone urbaine (38,5%)
Paludisme = 56,32% au niveau de l’hôpital de Buyo. Prévalence = 27 %. chez les enfants moins de 15 ans Zone urbaine (38,5%) Zone rurale (21,2%). Mais taux de mortalité infantile plus élevé en zone rurale qu’en zone urbaine.

7 II- DONNEES DE BASE (3) Perception sociale = maladie liée:
Type d’habitat; Présence du barrage; Précarité du milieu de vie (manque d’hygiène et d’assainissement). Situation aggravée par l’extrême pauvreté des populations notamment des femmes.

8 III- JUSTIFICATION ET PROBLEMATIQUE (1)
1- Problème de santé publique en Afrique 2- 8 ième maladie la plus meurtrière dans le monde, mais la 1ère en Afrique. 3- Pèse lourd sur l’économie 4- Plusieurs actions d’éradication menées sans succès: - contre le vecteur (Anophèle gambiae): hygiène du milieu, moustiquaire imprégnée, insecticide - Contre le parasite (Plasmodium falciparum):Chimiothérapie Problème ? Résistance aux insecticides et à la chloroquine

9 - Souches de plus en plus résistantes aux molécules actuelles.
III- JUSTIFICATION ET PROBLEMATIQUE (2) Contexte de l’approche écosystémique à la santé - Souches de plus en plus résistantes aux molécules actuelles. - Traitement plus onéreux et inefficace « La résolution des problèmes de santé des populations doit dépasser le cadre biomédical » QUE FAIRE ? Nécessité d’une nouvelle approche: Approche écosystémique à la santé humaine 

10 III- JUSTIFICATION ET PROBLEMATIQUE (3)
Comment ? Prise en compte non seulement du cadre sanitaire et social mais aussi économique et environnemental de l’individu. Maintien des équilibres écosystémiques. Pour quels résultats? Amélioration de la qualité de la santé des populations.

11 Trois en zone d’étude (Source: Buyo 1996-2003)
III-CONSTATS Trois en zone d’étude (Source: Buyo ) Constat 1  Prévalence du paludisme en milieu rural liée aux facteurs environnementaux, socioculturels et socio- économiques. Constat 2  Différents itinéraires thérapeutiques traditionnels pour soigner le paludisme, qui en cas d’échec, retardent la prise en charge médicale. Constat 3  Femmes = premiers recours des enfants malades. Mais, mauvaise connaissance des signes de gravité du paludisme. Pauvreté relative: incapacité financière à se prendre en charge. Donc peu impliquées dans les actions de lutte contre le paludisme.

12 VI- OBJECTIFS (1) OBJECTIF GENERAL Réduire de 25 % la morbidité et la
mortalité liées au paludisme chez les enfants de moins de 5 ans et les mères dans les villages de GBILI et de LOGBOZOA.

13 VI- OBJECTIFS SPECIFIQUES
- Préciser les facteurs environnementaux, socioculturels et socio-économiques à risque de transmission du paludisme ; - Identifier les différents itinéraires thérapeutiques relatifs au recours aux soins ; - Impliquer les femmes dans la lutte contre le paludisme par un appui approprié aux mouvements coopératifs féminins dans les villages de Logbozoa et de Gbili.

14 Zone d’étude:, VII- METHODOLOGIE (1)
1- Délimitation de l’écosystème et de ses composantes Zone d’étude:, villages de Logbozoa, de Gbili (situés à 10 Km de la ville de Buyo), qui ont un faible niveau d’équipements, d’infrastructures socio- économique et d’assainissement.

15 VII- METHODOLOGIE (2) Populations Critères de choix
Populations vivant dans notre zone d’étude. (notamment enfants et femmes enceintes) Critères de choix Exposition au paludisme. NB: Participation active.

16 VII- METHODOLOGIE (3) Activités et protocoles détaillés
1- Collecte d’informations  Recherche bibliographique et Documentaire;  Entretiens avec les acteurs locaux; Enquête complémentaire actualiser les données existantes en intégrant les nouvelles données dues au conflit armé.

17 Objectif 1 Préciser le caractère des différents facteurs dans la transmission du paludisme; Réévaluer la qualité de l’écosystème rural; Actualiser nos informations en tenant compte de l’impact du conflit armé; Etudier la dynamique de la population; Actualiser les données sur le niveau d’éducation, le taux de morbidité et de mortalité, la santé de la reproduction, la structure familiale et l’accès au service de santé publique; Actualiser la dynamique économique; Etudier l’écologie du vecteur et du parasite; Documenter de façon spécifique la perception sociale du paludisme. Acteurs: Chimiste, Environnementaliste, socio - anthropologue, Economiste, Médecins pédiatre,généraliste et parasitologue, entomologiste médicale, acteurs locaux.

18 Objectif 2 - Identifier les différents moyens thérapeutiques
traditionnels et modernes utilisés dans le traitement du Paludisme; Etudier l’attitude et les pratiques de la population dans la prise en charge des cas du paludisme; Identifier les moyens de prévention locaux et modernes contre les vecteurs du paludisme. Acteurs: Médecins de l’hôpital de Buyo, socio - anthropologue, médecin parasitologue, entomologiste médicale.

19 Objectif 3 Régler avec les femmes le conflit de leadership;
Organiser des séances de formation en matière de mouvement coopératif ; Aider les femmes à lutter contre la pauvreté ; Renforcer l’alphabétisation fonctionnelle des femmes; Organiser des séances de formation sur la transmission du paludisme conseils sur le changement de comportement; Eduquer les mères au traitement de première intention, à la reconnaissance des signes de gravité du paludisme qui nécessite un recours immédiat à la formation sanitaire; Promouvoir l’action participative des femmes en vue de définir avec elles des stratégies visant à faire reculer le paludisme notamment chez les enfants de moins de 5 ans et chez elles-mêmes Former des agents relais parmi les femmes. Acteurs: Tous les acteurs du projet, appuyés par les ONG ASAPSU (Association pour l’Autopromotion Sanitaire en milieu urbain) et PROSAF ( Promotion pour la Santé de la femme).

20 ETHIQUE Convention d’Helsinki.
Comité de bioéthique mis en place par le Ministère de la santé en Côte d’Ivoire; Consentement volontaire couplé au droit de retrait des enquêtés; Confidentialité des données.

21 VIII -EQUIPE DE RECHERCHE (1)
TRANSDISCIPLINARITE Les chercheurs scientifiques Entomologiste médical; Médecin parasitologue; Médecin pédiatre; Expert en santé publique; Chimiste; Anthropologue; Sociologue; Statisticien.

22 VIII - EQUIPE DE RECHERCHE (2)
PARTICIPATION Les non- scientifiques (enquêteurs locaux, les agents de santé communautaire, la population..); Les décideurs (Chefs de village, Sous-préfet, le maire, directeur départemental de la santé…); ONG : PROSAF, ASAPSU. EQUITE. Le genre (Prise en compte du couple mère-enfant); les inégalités sociales (renforcer la capacité des femmes à se prendre en charge, promotion des droits de la femme).

23 IX- RESULTATS Meilleure connaissance des facteurs environnementaux,
socioculturels et socio-économiques à risque de transmission du paludisme;  Meilleure connaissance des différents itinéraires thérapeutiques relatifs au recours aux soins; Regroupement en comité de lutte et implication des femmes de Logbozoa et de Gbili dans la lutte contre le Paludisme; Réduction des taux de morbidité et de mortalité du paludisme de 25% chez les enfants de moins de 5 ans et les femmes; Appui aux mouvements coopératifs féminins et amélioration de leurs revenus de façon durable.

24 DUREE ET ETAPES DU PROJET (1)
Durée du projet: 3 ans Phase I Diagnostic post-conflit. Phase II Formation sur la méthode participative. Phase III Séminaire de lancement.

25 DUREE ET ETAPES DU PROJET (2)
Phase IV Diagnostic communautaire complémentaire sur le paludisme en ménage. Phase V Appui et organisation des mouvements coopératifs féminins (ASAPSU et PROSAF). Phase VI Atelier de restitution des résultats.

26 Dr Bernard YAPO OSSEY (Chimiste Environnementaliste)
Dr FOLQUET AMORISSANI Madeleine (Médecin Pédiatre) Mr BROU AHOSSI Nicolas (Doctorant Socio-anthropologue) Mr DOUMBIA MOHAMED (Doctorant Socio-anthropologue) NOUS VOUS REMERCIONS


Télécharger ppt "AMELIORATION DE LA SANTE HUMAINE DANS UN ECOSYSTEME RURAL : Cas du paludisme dans la région de Buyo (Sud-Ouest de la Côte d’Ivoire) Dr Bernard YAPO OSSEY."

Présentations similaires


Annonces Google