DÉMARCHE DE PRÉVENTION DU DÉCROCHAGE

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1 DÉMARCHE DE PRÉVENTION DU DÉCROCHAGE
Marie-Martine Dimitri CTREQ Pierre Potvin Dept. Pyschoéducation, UQTR Présentation de Pierre et moi Remerciements pour l’invitation Je vais vous présenter un projet qui n’est pas une recherche, mais un projet pilote d’accompagnement qui se déroule actuellement dans 4 écoles secondaires au Qc. Avant de vous dire en quoi consiste le projet je vais vous parler de son origine

2 Origine du projet Mission du CTREQ Besoin des milieux © CTREQ 2009
Ce projet est issu d’une rencontre entre la mission du CTREQ et des demandes du milieu scolaire Le Centre de transfert pour la réussite éducative du Québec est un OLTIS qui a pour mission le transfert de connaissances scientifiques ou de pratiques exemplaires dans les milieux de pratiques. Production d’outils ou de services issus de ces connaissances et dont l’objectif est de favoriser la réussite éducative ou de lutter contre le décrochage scolaire. Nos outils peuvent servir à sensibiliser, intervenir ou à dépister. Service d’accompagnement des outils Nombreux contacts avec les milieux de pratique À l’occasion de ces contacts les milieux ont demandé au CTREQ un accompagnement plus global pour les aider à concevoir, mettre en œuvre et évaluer un plan global de lutte au décrochage scolaire. Questionnement sur le rôle du CTREQ par rapport à cette demande (belle occasion de vérifier le réel transfert) Constats: de la grande diversité des ressources humaines, matérielles et financières auxquelles les écoles ont accès (dans le cadre de divers projets poursuivant des objectifs plus ou moins semblables ou complémentaires). besoin d’arrimage et de cohérence entre toutes les actions que pose une école Donc comme nous avions une certaine expertise, des outils de dépistage et d’intervention déjà produits, un réseau de contact auprès d’experts nous avons donc décidé de faire un projet pilote © CTREQ 2009 Dimitri, M-M, Potvin, P. 2

3 Démarche de prévention du décrochage scolaire
Projet dont les éléments s’appuient : sur notre expertise notre expérimentation sur la recherche (résultats, méthodologie; outils;) Ce projet s’est appuyé sur: notre expertise (Pierre;Prof d’éduc. Phys. Psychoeduc+ chercheur; moi=enseignante;C.P. et directrice adjointe) Expertise du CTREQ - sur la recherche tant au niveau de ses résultats qu’au niveau de sa méthodologie ou de ces outils Résultats de recherche: Recherches sur les écoles efficaces recherche sur les élèves à risque et sur les décrocheurs recherches sur les déterminants de la réussite; Recherches sur les pratiques efficaces PP recherche sur l’accompagnement et les changements de pratique 1. Archambault, J. et Chouinard, R. (2003). Vers une gestion éducative de la classe. 2e édition. Gaëtan Morin, éditeur 2. Archambault, J. et Harnois, L. (2006). Diriger une école en milieu défavorisé Des caractéristiques des écoles efficaces provenant de la documentation scientifique. Programme de soutien à l’école Montréalaise. Ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport. 3. Brunet, L., Brassard, A. et Corriveau, L. (1991). Administration scolaire et efficacité dans les organisations. Éditions Agence D’Arc 4. Darling-Hammond, L. (2008). Powerful learning. What we know about teaching for understanding. Jossy Bass 5. Gauthier, c., M’hammed, M., Bissonnette, S. et Richard, M. (2005). Écoles efficaces et réussite scolaire des élèves à risque Un état de la recherche. GRIFPE Université de Laval. 6. Marzano, R. J. (2007). The art and science of teaching. ASDC © CTREQ 2009 Dimitri, M-M, Potvin, P. 3

4 LES VISÉES DU PROJET Développer une démarche qui permette à une équipe école de concevoir, mettre en œuvre et évaluer un plan de lutte au décrochage Développer un accompagnement qui permette à l’école de devenir autonome par rapport à cette démarche Développer un modèle de transfert Le projet a plusieurs visées: 1- Développer….donc de créer une démarche appuyée sur différents éléments de la recherche, des bonnes pratiques et documenter son implantation 2- vérifier son efficacité à favoriser la réussite éducative, réduire le risque de décrochage et le décrochage lui même (3 à 5 ans) 3- donc penser à une façon d’accompagner qui permette à l’équipe école de bien s’approprier la démarche afin qu’elle devienne autonome dans le processus de révision et de mise en œuvre. L’idée n’étant pas que le CTREQ développe un service permanent d’accompagnement aussi intensif que ce que nous faisons maintenant 4-Si comme on le pense ce modèle démontre une certaine efficacité, comment pouvons nous l’étendre à une plus grande échelle. Actuellement nous allons environ 15 fois par année dans les écoles = pas économique © CTREQ 2009 Dimitri, M-M, Potvin, P. 4

5 NOS PARTENAIRES Commission scolaire de Montréal
Commission scolaire de la Capitale Commission scolaire des Samares Les ressources humaines des services centraux (SIAA, conseillers,..) © CTREQ 2009 Dimitri, M-M, Potvin, P. 5

6 L’effet école «…la recherche sur l’efficacité des écoles ne se limite plus à la question de savoir si les écoles influencent ou non les résultats des élèves puisque, de toute évidence, la réponse est affirmative (Bressoux, 1994; Good et Brophy, 1986; Henchey, 2001; Lezotte, 1995; Marzano, 2000; National Institute for Direct Instruction, 2003; Reynolds et al. 2002; Teddlie et Reynolds, Teddlie et al, 1989…)» cité dans Gauthier, C., Mellouki, M., Bissonnette, S., Richard M. . Écoles efficaces et réussite scolaire des élèves à risque: Un état de la recherche.(2005).CRIFPE, Université de Laval. Trois points de vue quant à l’impact de l’école sur le rendement: 50% du rendement est basé sur les effets de l’école et de la classe (Victorian Accountability Framework, Building High Performance Schools. Paper presented to OECD New Zealand Conference Combating failure at School 25 % de la variance Kovacs 1998Combating Failure at school: An International Perspective. In No quck Fixes: perspectives on schools in difficulty, L. Stool and K Myers, Eds. London Falmer press 8% à 14% (stoll et Fink Changing Our schools. Philadelphia: Open University Press Cité dans Henchey Norman et autres: Des écoles qui font une différence: Rapport final. Nov 2001 Colombie britannique Donc on s’interesse à l’amélioration des écoles et on cherche à mettre en place différentes caractéristiques des écoles dites efficaces: Définition: généralement des écoles de milieu defavorisé dont la performance scolaire des élèves mesurée à l’aide d’épreuves standardisées rejoint ou surpasse celle d’élèves provenant de quartiers mieux nantis (bressoux 1994;Teddlie et Reynolds, 2000)

7 QUELQUES PRINCIPES DE BASE
Co-construction Mobilisation de l’équipe école Partenariat d’une durée de 3 à 5 ans Co-construction: souci de rendre automne les écoles…L’école sera donc autant active que nous sinon plus. On veut leur input; situation complexe = pas de solution unique et miraculeuse On espère malgré tout dégager un modèle de démarche efficace….et transférable Mobilisation : Murphy, Weil, Hallinger, Mitman (1985) La direction d’école devrait féliciter les enseignants individuellement pour leurs efforts et la qualité de leur enseignement et faciliter aux enseignants l’accès à des perfectionnements, ou leur confier de nouveaux rôles, etc. Bossert, Dwyer, Rowen et Lee (1982) valorisation des habiletés de chacun, soutien et motivation du personnel Durée: PP nos expériences antérieures d’accompagnement ou de recherche-action nous ont enseigné que le min. est de 3 ans mais souvent pas suffisant pour l’appropriation – l’autonomie… © CTREQ 2009 Dimitri, M-M, Potvin, P. 7

8 Centration sur les apprentissages des élèves
QUELQUES PRINCIPES DE BASE Peu de cibles Centration sur les apprentissages des élèves Révision de certaines pratiques éducatives, de certaines pratiques organisationnelles et de pratiques de gestion (encadrement des élèves) Peu d’objectifs : Achiles (1987). Pour accéder à l'efficacité, les écoles doivent faire notamment ceci : avoir peu d'objectifs mais tenter de les atteindre en exploitant différentes méthodes Centration sur les apprentissages : priorité accordée à l’enseignement des matières de base (Edmonds : 1979 Effective schools for urban poor. Educational Leadership, 37 10, pp15-24 ); objectifs scolaires clairement établis (Rutter et al, 1979); La mission de l’école porte d’abord sur l’apprentissage et sur la réussite des élèves. Une mission claire, des buts et des objectifs d’apprentissage précis ainsi que des standards rigoureux pour tous les élèves. La lecture : une priorité (Archambault, Harnois et Ouellet : 2006) Révision des pratiques de l’école Pourquoi: Deux courants de recherches : un qui met l’accent sur des facteurs tels que le milieu socio-économique, la famille, le quotient intellectuel de l’élève et un autre qui met l’accent sur les processus internes de l’école (Éthier 1989, Ouellet, 1996). 50% du rendement est basé sur les effets de l’école et de la classe (Victorian Accountability Framework, Building High Performance Schools. Paper presented to OECD New Zealand Conference Combating failure at School 25 % de la variance Kovacs 1998Combating Failure at school: An International Perspective. In No quck Fixes: perspectives on schools in difficulty, L. Stool and K Myers, Eds. London Falmer press 8% à 14% (stoll et Fink Changing Our schools. Philadelphia: Open University Press Cité dans Henchey Norman et autres: Des écoles qui font une différence: Rapport final. Nov 2001 Colombie britannique Nous n’excluons pas du tout le travail avec les parents et la communauté c’est notre ordre du priorité des révisions des pratiques que nous plaçons de la classe vers l’extérérieur Attention centrée sur ce qui se passe dans l’école © CTREQ 2009 Dimitri, M-M, Potvin, P. 8

9 Un modèle d’accompagnement d’un milieu scolaire
pour la lutte au décrochage scolaire En quoi consiste le projet: Accompagner dans la conception d’un plan de lutte au décrochage. Nous avions au CTREQ des outils (Logiciel, guide, Appui Motivation, pare chocs, etc…) mais très vite on s’est rendu compte qu’il fallait pousser plus loin la réflexion =définir ce qu’est un plan de lutte au décrochage et quel serait un bon plan de lutte Il a fallu simultanément trouver une façon de travailler avec une équipe école. Le fait-on en petits groupes , toute l’équipe ensemble? Par quoi commence-t-on? Donc on a expérimenté une méthode travail Il a fallu également définir notre approche et notre style d’accompagnement Puis la préoccupation d’évaluer est arrivée et celle d’un modèle de transfert car on se dit que si de ces 3 écoles pilotes émerge une démarche qui semble démontrer une efficacité comment pourrons nous transférer cette expérience à d’autres milieu de façon économique Pour chacun de ces éléments nous avons dû nous poser les questions: Qu’est ce que c’est?= définition En quoi ça consiste =différentes composantes; revue de littérature Faire des choix en fonction de la recherche et de notre expérimentation © CTREQ Dimitri, M-M, Potvin, P.

10 LE PLAN DE LUTTE AU DÉCROCHAGE
1-Cibler deux ou trois déterminants prioritaires de la réussite ou du décrochage scolaire en lien avec la mission de l’école 2 ou 3: une des caractéristiques des écoles efficaces Déterminants: sur lesquels l’école peut et doit intervenir (mission) 2-Pour chaque déterminant sélectionnée, : -Analyse de ce qui se fait déjà au regard des pratiques efficaces, des conditions d’efficacité des pratiques et du contexte socioéconomique et culturel -proposition et mise en œuvre des améliorations ou de nouvelles pratiques reconnues efficaces Recherche : Prévention de la violence et aide aux élèves en difficulté: prévention et signalisation continue (Ouellet, 1996); L’enseignement explicite est efficace avec es élèves ayant des difficultés d’apprentissage (Swanson, 2001) Concernant la gestion des comportements difficiles et des problèmes d’apprentissage Vers une gestion éducative de la classe (Archambault et Chouinard, 2003) Recherches : L’enseignement des stratégies d’apprentissage  : Gestion du temps et des ressources matérielles, les stratégies de mémorisation. les stratégies de compréhension, les stratégies de gestion de l’activité cognitive, utilisation des ressources humaines, gestion des ressources affectives (Vers une gestion éducative de la classe P. 190 à 200 : Archambault et Chouinard) Autres exemples de pratiques efficaces : leçon structurée et identifiant les éléments clés à retenir, vérification de la compréhension des élèves, questionnement fréquent et varié, feedback et encouragement continus (Écoles efficaces et réussite scolaire des élèves à risque Un état de la recherche : Gauthier et al, 2005) 3-Ces pratiques sont de nature différente (préventives, éducatives, rééducatives) 4-Les pratiques s’adressent aux élèves à risque, aux groupes classe ou à l’ensemble des élèves de l’école 5-Les approches sont variées (approche coopérative, magistrale, enseignement explicite et systématique, individuelle, etc..) Recherche : présence d’une variété d’approches et d’interventions, recherche de nouvelles façons d’enseigner, l’expérimentation comme mode de stimulation, un enseignement et un apprentissage de qualité pour tous les élèves, une pédagogie intégrant des notions reliées aux valeurs culturelles des élèves, un monitoring fréquent de l’apprentissage et de l’enseignement, une amélioration continue du curriculum. (Archambault , Harnois et Ouellet, 2006) 6-Crée une synergie des actions d’abord à l’interne de l’école puis en impliquant la famille et la communauté (approche systémique) -actions auprès des élèves à risque -actions dans la classe -actions dans l’ensemble de l’école -actions avec les parents -actions avec la communauté © CTREQ Dimitri, M-M, Potvin, P.

11 MÉTHODE DE TRAVAIL © CTREQ 2009 Dimitri, M-M, Potvin, P. 11
Deux éléments essentiels dans la méthode de travail: 1- la démarche de résolution de problème : Analyse de situation, choix des cibles , analyse des moyens mis en place; choix des améliorations ou des nouveaux moyens, mise en oeuvre, suivi et évaluation 2- une organisation en comité : détails diapo suivante © CTREQ 2009 Dimitri, M-M, Potvin, P. 11

12 Que ce soit au niveau des caractéristiques des écoles efficaces, des programmes efficaces, au niveau des approches comme SIAA, les expressions suivantes reviennent toujours comme étant une des conditions d’efficacité: -mobilisation de l’équipe école -mobilisation des parents et de la communauté -relation école/ famille/communauté -concertation des acteurs -cohérence d’intervention Nous avons conçu et expérimenté le mode de fonctionnement qui vise ce développement de la mobilisation des acteurs et la cohérence d’intervention Recherche : La direction d’école consulte régulièrement les enseignants et sollicite leur implication dans les décisions importantes à prendre. L’implication des enseignants dans les choix à faire à propos des différents curriculum et de l’assignation des groupes d’élèves (Mortimore 1988). Soutien au personnel enseignant (Levine et Lezotte, 1990) Une collaboration et une coopération de tous les partenaires (parents, communauté) favorisant un partage de connaissances et d’expériences, une communauté apprenante désireuse d’améliorer continuellement leurs pratiques d’enseignement, d’innover (Archambault, Harnois et Ouellet, 2006) Cohérence : une constance entre les enseignants dans les méthodes d’enseignement (Mortimore 1988 in Gauthier et al, 2005) La complexité du phénomène du décrochage amène la nécessité de recourir à une approche systémique Mais comment concrétiser cette approche? Comment mobiliser le personnel scolaire? À partir de quoi cette mobilisation, concertation et cohérence d’actions va pouvoir se faire? Travailler d’emblée avec toute l’équipe école ne nous semblait pas la meilleure façon de faire Donc formation de différents comités Expliquer composition, mandats (tâches et pouvoir décisionnel) et interrelations Parler des conditions gagnantes (volontariat, reconnaissante du temps de réunion dans la tâche) Parler du rôle des membres des chantiers et du comité de pilotage lors d’animation d’équipe école. Qui joue le rôle d’animateur comme nous le jouons nous même dans les chantiers But= former des gens qui agiront comme nous par la suite =creer une masse critiques de gens impliqués environ le tiers Notre modèle cherche avant tout à créer une mobilisation et une cohérence d’intervention à l’intérieur de l’école avant d’étendre la synergie des actions à d’autres systèmes (parents et communauté)

13 NOTRE APPROCHE © CTREQ 2009 Dimitri, M-M, Potvin, P. 13
L’ensemble de l’approche vise à développer le sentiment de compétence et de contrôle de l’équipe école. Les écoles efficaces semblent inculquer aux élèves…un sentiment de contrôle face à leur propre réussite (Bressoux 1994) nous avons quelques points commun avec la recherche action: le projet se passe dans le milieu même, on part d’un problème concret, on met à contribution les participants au niveau de l’identification du problème et de la recherche des solutions;: On utilise les outils de la recherche (collecte des données, analyses quantitatives et qualitatives) Tous ces éléments sont moteurs de changement et de mobiisation De l’approche réflexive, à date on utilise: Le questionnement On commence à peine l’autoévaluation des compétences On procède par petits pas ou spirale ascendant comme la décrit Saats PP Petit pas ou défi significatif – menant vers le succès car les milieux sont souvent “dévalorisés” et peu confiance dans l,effet de leurs actions Faire le lien avec une des caractéristiques des écoles efficaces: attentes élevées face aux élèves…Mais il faut redonner aussi confiance aux intervenants face à leurs capacités d’influencer le rendement des élèves. Il faut donc faire des succès tant aux enseignants qu’aux élèves © CTREQ 2009 Dimitri, M-M, Potvin, P. 13

14 NOTRE RÔLE © CTREQ 2009 Dimitri, M-M, Potvin, P. 14
M. Huberman(1984) Du projet éducatif au plan de formation, Université d’été Grenoble (Suisse): Les 4 postures de l’accompagnateur externe cité dans Garand, Michèle. Pilotage et accompagnement de l’innovation dans un établissements scolaire, dans L’innovation levier de changement dans l’institution éducative. Men, Paris 1998 Catalyseur Questionne; met en évidence les incohérences; provoque les réactions, interpelle sur les choix et sur leur applicabilité…favorise le changement Mettre en évidence comment ce volet de notre rôle vient appuyer notre volonté d’autonomie de l’école (on ne donne pas tout de suite de solutions) favorise la mobilisation Facilitateur: tant au niveau de la tâche que des relations. Aide à s’organiser, à se structurer, offre des méthodes et des outils de travail, offre des services 9traitement de données- vitesse de réponse). Position externe ( permet d’échanger dans un climat de confiance veille à l’implication de tous Conseil, accompagnateur: Pas de position de prescripteur Apporte des informations, des façons de faire, des outils, En faisant émerger du discours des praticiens les éléments de connaissances théoriques Liaison: Ressources documentaires, ressources externes experts © CTREQ 2009 Dimitri, M-M, Potvin, P. 14

15 © CTREQ 2009 Dimitri, M-M, Potvin, P. 15
Il faut concevoir ce projet comme un perpétuel un mouvement d’aller retour entre l’expérimentation et la théorie.. On est parti de quelques principes de bases issus des recherches sur les décrocheurs, sur les écoles efficaces et nous avons expérimenté un accompagnement d’équipe école et tranquillement tracer les grandes lignes des différentes composantes mentionnées précédemment PP nous procédons également à une validation par la recension des écrits, par la consultation d,expert (évaluation Marthe, Renée P., ) une validation également par le transfert (Daniel Lafrance) AJOUTER DANS CE PPT L’ÉVALUATION © CTREQ 2009 Dimitri, M-M, Potvin, P. 15

16 Les témoignages Coopération Rigueur, structure
Création de sens (on sait où on va…) Centration des efforts Développement de compétences professionnelles Prises de conscience: Mécanismes de mobilisation et de concertation Circulation de l’information dans les écoles Connaissance de ce qui se fait dans l’école Évaluation des impacts des actions © CTREQ 2009 Dimitri, M-M, Potvin, P. 16

17 Quelques constats Émergence de cohérence et de sens
Sensation d’un meilleur contrôle de la tâche Appropriation du plan de lutte par plus de gens Souci de se référer aux données validés Changements de langage Mise en évidence de sous-groupes dans l’école © CTREQ 2009 Dimitri, M-M, Potvin, P. 17