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Publié parBerenger Champion Modifié depuis plus de 11 années
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ASSURER UN IMPACT DURABLE: «LE RÔLE DE LAPPROPRIATION NATIONAL ET DES DIFFÉRENTS ACTEURS » EXPÉRIENCE BURUNDAISE Bamako, 05 mai 2011 REPUBLIQUE DU BURUNDI DEUXIEME VICE-PRESIDENCE SECRETARIAT PERMANENT DU COMITE NATIONAL DE COORDINATION DES AIDES SP/CNCA
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A PPRÉCIATION GÉNÉRAL DU N IVEAU D A PPROPRIATION o Elaboration et mise en œuvre du CSLP et du CCP; o Elaboration de la vision 2025 o Elaboration du CSLP 2eme Génération; o Implication de tous les acteurs; Contraintes o Faiblesse des capacités institutionnelle en matière de planification stratégiques, o Problématique dincohérence sur la chaîne de coordination Défis o Renforcer les capacités de planification stratégiques; o Mettre en cohérence les fonctions de planification, de budgétisation et de coordination 2
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P LANIFICATION S TRATÉGIQUE AU B URUNDI Outils principaux de planification stratégique (vision 2o25, CSLP, Stratégies sectorielles) Participation des acteurs a la définition des politiques (gage de leurs adhésion) Les stratégies pays des donneurs prennent référence aux priorités du CSLP (ajustement du UNDAF) pour contribuer aux résultats escomptes; Un nombre limités de donneurs discutent de leurs stratégies avec le gouvernement ( moins dimplication des autres acteurs); Le gouvernement ne joue pas le lead dans ce processus Les résultats escomptes sont souvent irréalistes et difficilement mesurables Absence dapproches basée sur le rapport cout - efficacité 3
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P ARTICIPATION DES ACTEURS AU PROCESSUS DE PLANIFICATION Consultations communautaires (Ass, adm, élus, etc), Consultations sectoriels (SC, PTF, SP, Gov) Analyse et validations des résultats des consultations dans les Fora stratégique et politique (SC, PTF, SP, Gov, Parl, etc) Participation des mêmes acteurs aux revues annuelles des politiques et stratégies nationales et sectorielles, et a la validation dautres documents Renforce aussi la cohérence et la complémentarité entre les différentes interventions des PTF, Cette implication renforce ladhésion des acteurs aux priorités fixées, Les PTF se sentent progressivement responsables des priorités arrêtées (niveau de responsabilité mutuelle) 4
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L E M ÉCANISME DE S UIVI ET D E VALUATION Absence dun cadre de référence pour le suivi-évaluation Non fiabilité des statistiques nationales, Faiblesses des capacités nationales, Ces contraintes sont un obstacle a lappropriation nationale de lévaluation de limpact de la coopération Les donateurs utilisent leurs propres systèmes de suivi et dévaluation pour évaluer les résultats de leur coopération, Un nombre limite de fonctionnaires sont associes aux revues d évaluation, Une participation significative des fonctionnaires est remarquée la ou les revues conjointes ont été effectuées 5
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F RAGMENTATION DE L AIDE Elle se traduit par un éparpillement de laide; Une augmentation inutile du coût de transaction liées à la gestion des projets; Au Burundi ont totalisait, en 2009, 244 projets Lengagement par projet variait entre 18 312 USD à 84 millions; Le nombre de projets/Ministère variait entre 1 et 43 Perspective: Participation de tous les acteurs dans les travaux des Groupes sectoriels; Elaboration des politiques, stratégies, plans dactions et CDMT sectoriels Les ministères accroîtront la maitrise des interventions qui sont de leurs ressort; Amélioration de lalignement sur les priorités nationales 6
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R ECOMMANDATIONS Les nations Unies et autres donneurs devraient aider davantage le pays a assainir le cadre institutionnel et renforcer ses capacités dans les secteurs de la planification stratégique, de la statistique et du suivi-Evaluation, Les gouvernement doivent jouer pleinement le rôle de leadership dans les processus de planification et d évaluation des impacts de actions menées dans le cadre de la mise en œuvre de leurs politique de développement, y compris l évaluation de limpact de la coopération Les donneurs devraient progressivement avancer vers une planification commune et ouvrir ce processus a tous les acteurs pour avoir une même appréhension des défis et de la réponse a y apporter Les donneurs et les gouvernement doivent se sentir davantage coresponsables des erreurs et des réussites; 7
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J E VOUS REMERCIE 8
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