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Publié parGéraud Auffret Modifié depuis plus de 11 années
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Radiothérapie pelvienne et sphincter artificiel urinaire chez la femme Bertrand Vayleux, Jérôme Rigaud, Julien Branchereau, Sébastien Larue, Georges Karam, Pascal Glémain, Olivier Bouchot, Loïc Le Normand Clinique Urologique, CHU Hôtel Dieu, Nantes Objectifs : Évaluation rétrospective de l’impact de la radiothérapie pelvienne (RP) sur l’implantation de sphincter artificiel urinaire (SUA) chez la femme incontinente urinaire par insuffisance sphinctérienne (IS) non neurologique .
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sur les 215 patientes avec SAU (IS non neuro)
Patientes et méthode De mai 1987 à décembre 2009, sur les 215 patientes avec SAU (IS non neuro) 9 (4.2%) avec antécédent de RP 2 groupes de femmes : groupe 1 (N=206) sans RP et groupe 2 (N=9) avec RP BUD pré opératoire Si >1 protection/jour échec ou explantation Résultats suivi moyen de 6 ans (ET 5.6 ans), âge moyen de 62.8 ans. délai moyen entre la RP et SAU : plus de 14 ans. Indications de la RP : cancers du col de l’utérus (78 % 7/9), endomètre et de l’ovaire (9% 1/9 chacun). groupe 2 : augmentation du taux d’érosion et d’explantations du SUA (p<0.001) fin de suivi : plus de 50% des ptes en échec (5/9) dont 60% pour érosion du SUA dans le groupe 2 vs 22% et 26% respectivement dans le groupe1. groupe 2 : toutes les SUA érodés ont été explanté (1/3), délai moyen de 59.3 mois (de 4 à 140) avec l’implantation.
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Conclusion : Le SUA n’est pas une contre indication chez la patiente aux antécédents de RP selon nous. Il s’agit d’une thérapie de recours dans cette situation où peu d’alternative existent.
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