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Publié parHadrienne Kieffer Modifié depuis plus de 11 années
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MINISTERE DE L’ENERGIE ET DES MINES JOURNEE D’ETUDES SUR LE GASOIL
ALGER, LE 07/ JUILLET / 2007
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GAZ-OIL ET PRODUITS PROPRES
ENJEU ET DEFI
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Carburants classiques Produits propres (de substitution)
SOMMAIRE Carburants classiques Produits propres (de substitution) Essence sans plomb Gaz naturel/Carburant GPL/Carburant Biocarburants
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PRODUITS PETROLIERS Multitude de produits pétroliers commercialisés en Algérie : Carburants, Combustibles, GPL, Lubrifiants, Bitumes et produits spéciaux (solvants, cires, paraffines, etc..) Ces produits se distinguent par leurs natures physico-chimiques, leurs utilisations.
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CARBURANTS Les carburants sont : Essences, Gasoil, Fuel, Carburéacteur (Kérosène) et GPL/C. Les carburants sont utilisés dans tous les secteurs d’activités : Résidentiel, Tertiaire, Agricole, Hydraulique, BTP, Industrie, Transports.
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INTRODUCTION La consommation des carburants en Algérie obéit à certaines considérations, notamment : Energétiques : privilégier pour les besoins internes, l’énergie la plus disponible et la moins entamée. Environnementales : promouvoir l’utilisation des carburants propres pour lutter contre la pollution atmosphérique particulièrement pour les grandes agglomérations, (notamment celle d’échappement des gaz des véhicules).
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Produits de substitution
Pour mieux situer le rôle et l’importance des carburants de substitution en Algérie, il faut souligner la part qu’occupe chaque secteur d’activité dans la consommation des carburants. Ceci nous permettra d’avoir une clarté sur : L’image du ou des secteurs gros consommateurs en carburants. La vision pour dégager les solutions à prendre pour une meilleure adéquation entre l’offre et la demande des carburants.
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PART CONSOMMATION CARBURANTS PAR SECTEUR D’ACTIVITE (2005)
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STRUCTURE DE LA CONSOMMATION DU SECTEUR DES TRANSPORTS (2006)
CARBURANTS CONSOMMATION (Millions tonnes) 1- TERRE 8,46 DONT : GASOIL+FUEL 6,15 GPL/C 0,32 ESSENCES 1,98 KEROSENE DECLASSE 0,01 2- MARINE (GASOIL+FUEL) 0,34 3- AVIATION 0,36 CONSOMMATION TOTALE GASOIL+FUEL 6,5 TOTAL 1+2+3 9,16
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PART CONSOMMATION DU SECTEUR DES TRANSPORT PAR CATEGORIE (2006)
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PART CONSOMMATION CARBURANTS TERRE PAR PRODUIT (2006)
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PART CONSOMMATION GASOIL+FUEL PAR CATEGORIE (TERRE ET MARINE) (2006)
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EVOLUTION DE LA CONSOMMATION DES CARBURANTS POUR LE SECTEUR DES TRANSPORTS ( ) Milliers Tonnes CARBURANTS 1997 2006 EVOLUTION 1997/2006 (%) 1- TERRE : TOTAL 5068,9 8463,9 67 DONT : ESSENCES 1963,0 1974,0 1 GASOIL 2978,0 6151,0 107 2- MARINE : TOTAL 266,2 345,1 30 3- AVIATION : TOTAL 330,3 360,9 9 TOTAL 1+2+3 5665,4 9169,9 62 DONT : GASOIL+FUEL 3260,2 6500,1 99
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CONSTATATION SUR L’EVOLUTION DE LA CONSOMMATION DES CARBURANTS
Si on compare la consommation de l’année 1997 par rapport à celle de 2006, on constate : Evolution importante : Par catégorie, Carburants terre : 67% Par produit, Gasoil terre : 107%
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DEMANDE EN GASOIL L’évolution croissante du secteur des transports, s’est corrélativement accompagnée en Algérie d’une croissance quelque peu préoccupante de la consommation du gasoil. Déjà en 2006, la demande s’est rapprochée de l’offre (soit 6,1 millions de tonnes). Raisons de l’augmentation de la demande en gasoil. Accroissement du parc automobile Tendance de plus en plus élevée à la diésélisation du parc (La diésélisation du parc Véhicule, s’explique par le différentiel de coût entre l’essence et le gasoil). Relance des secteurs économiques agricole et industriel
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Parc véhicule diesel au 31/12/2005
Parc total véhicule : 3 millions GENRE NOMBRE VEHICULES DIESEL PART VEHICULES DIESEL/GENRE(%) PART CONSOMMATION GASOIL (%) Véhicule de tourisme 13 29,5 Camion 94 98,3 Camionnette 23 42,1 Autocar / Autobus 50 802 98 99,4 Tracteur Routier 50 016 99,8
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DEFIT La prédominance de la consommation du gas-oil, pourrait en 2008, conduire à une situation de déficit en ce produit, d’où la nécessité d’entreprendre un certain nombre de mesures pour une meilleure adéquation entre l’offre et la demande telles que : Encouragement de l’utilisation des gaz carburants, Encouragement de l’utilisation des autres carburants propres.
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LES CARBURANTS PROPRES
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Carburants classiques : Carburants gazeux :
INTRODUCTION Certains produits peuvent occuper une place plus ou moins conséquente dans le mix national des produits pétroliers. Il s’agit de : Carburants classiques : Essence sans plomb Carburants gazeux : GPL/C GNC Les biocarburants, ne peuvent, actuellement, occuper une place dans le bilan énergétique nationale, comme carburants de substitution.
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REMARQUE Le programme de réhabilitation de l’outil actuel de raffinage, a été lancé par l’entreprise Naftec, pour répondre aux besoins majeurs que sont : Le durcissement des spécifications des produits pétroliers, notamment des carburants. La préservation de l’environnement. La commercialisation des carburants vers le marché international et plus particulièrement européen. Ce programme une fois achevé permettra de rendre les carburants plus propres : Essence sans plomb, à basse teneur en souffre à teneur en aromatique réduite. Gasoil à très basse teneur en souffre et à teneur en polyaromatique réduite.
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LE GAZ NATUREL UTILISE COMME CARBURANT GNC
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LE GNC Le gaz naturel utilisé comme carburant est le même gaz que celui commercialisé par Sonelgaz aux ménages, pour être utilisé pour le chauffage et la cuisson et aux unités industrielles, sauf qu’il est comprimé à 200 bars.
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AVANTAGES Réduction énorme des émissions de CO2, CO, NOX. Réduction du bruit émis par le véhicule de -5 à -8 décibels. Un très bon indice d’octane (110). Plus léger que l’air : en cas de fuite, sa dispersion se fait facilement. Ne gèle qu’au dessous de -165°c : ce qui le rend insensible aux caprices de la météo. Acheminé principalement par des réseaux souterrains : supprimant ainsi les nuisances liées au transport du carburant par la route.
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infrastructure peu développée perte de puissance
INCONVENIENTS Le Gaz naturel utilisé comme carburant possède des avantages, mais aussi dispose aussi d’inconvénients par rapport aux carburants classiques : grande consommation faible autonomie infrastructure peu développée perte de puissance coûts élevés des investissements. L’entretien nécessite des compétences techniques avérées.
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ATOUTS POUR L’UTILISATION DU GNC EN ALGERIE
L’Algérie dispose à son avantage de certains atouts qui peuvent contribuer à la réussite du programme d’utilisation du GNC : A savoir : D’importantes réserves de gaz naturel (3500 milliards de m3). D’un réseau de gaz naturel, qui couvre l’ensemble de la partie nord du territoire national et le territoire des principales localités du pays. D’une configuration du réseau gaz couvrant parfaitement la configuration du réseau routier, permettant ainsi d’assurer la mise à disposition directe du produit sur les lieux de consommation. (installation de stations d’approvisionnement). D’une expérience internationale datant de plusieurs décennies.
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UTILISATION DU GNC DANS LE MONDE
Regain d’intérêt dans l’utilisation du Gaz Naturel comme carburant pour les véhicules dans le monde. Quelques données : Parc véhicule GNC : évalué à 4,6 millions. Une consommation de 4,3 millions de TEP/an. Le développement, de l’utilisation du GNC dans le monde est le résultat d’une politique de protection de l’environnement et d’encouragement financière (Mise en place des mesures incitatives).
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Le parc véhicule GNC dans les principaux pays
. Pays Nombre de véhicule (milliers) Argentine 1300 Brésil 800 Pakistan 475 Italie 400 Inde 220 Etats-Unis 130 Chine 80 Egypte 56 Venezuela 44
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Expérience de l’utilisation du GNC en Algérie
Vers la fin des années 80 : Lancement de la première expérience qui n’a pas abouti du fait d’absence de mesures d’accompagnement pour son encouragement. En 1998 : Sonelgaz, a été chargée de lancée une opération pilote, en sa qualité de distributeur de gaz naturel et propriétaire du réseau du GN. Opération coordonnée par le Ministère de l’Energie.
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Expérience Sonelgaz Cette opération s’est déroulée en deux phases : Première phase : Objectif essentiel : créer les conditions qui serviront d’assise au développement du marché du GNC Consistance : Mise en place de dispositifs réglementaires et tarifaire, Réalisation d’une infrastructure de distribution, Conversion d’une flotte de véhicules légers et Mise en circulation d’autobus. Deuxième phase : Objectif: généraliser l’utilisation du GN comme carburant à travers les grandes villes. Consistance : Réalisation de 25 stations de distribution de GNC et Conversion de véhicules.
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Constat établi à ce jour relatif à l’utilisation du GNC
Résultats demeurent largement en deçà des objectifs escomptés. Le développement de l’utilisation du GNC nécessite une implication totale des pouvoirs publics, à savoir, à l’instar de l’expérience des autres pays, : Mise en œuvre de moyens financiers. Octroi d’avantages fiscaux.
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Perspectives de développement du GNC
Stratégie préconisée pour le développement du GNC : lancer un programme de promotion au niveau des grandes villes qui représententent un marché captif. Les villes retenues présentent : Une forte concentration : d’institution publiques et de véhicules. Un taux de renouvellement du parc automobile appréciable. L’Etat se doit de dégager un financement en concours définitif : Programme à court terme pour la période 2ème programme à long terme pour la période
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Perspectives du développement du GNC
PROGRAMME A COURT TERME Destiné au profit exclusif des entreprises publiques de transport et des taxis. Alger pourrait constituer une phase pour le lancement du programme GNC au niveau des grandes villes du pays. Consistance du programme globale : Conversion de véhicules taxis, dont : 3400 pour Alger. Concrétisation du programme suivant :
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Perspectives du développement du GNC
CONSISTANCE ET EVALUATION FINANCIERE DU PROGRAMME (M: Millions) Consistance Nombre Coût unitaire Montant de l’investissement Stations Dont pour Alger 40 15 0,1 M € 4 M € Raccordement 4,8 Km 5257(DA/ML) 25,2 MDA Remisage 4 1 1,6 MDA Bus(euro) 175 100 0,32 M € 56 M € Total 7, 2 Milliards DA 2,7 Milliards DA
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Perspectives du développement du GNC
COUT DE L’INVESTISSEMENT DANS LE CAS DE LA CONTRIBUTION FINANCIERE DE L’ETAT Si l’Etat contribue pour la prise en charge d’une partie de ce programme, l’investissement consenti sera de 2,6 Milliards de DA, dont 11,9 Millions d’€uros. Sur la période , l’enveloppe financière (2,6 Milliards de DA), pourrait être dégagée par l’une des trois propositions suivantes : Sous forme de dotation en concours définitif qui sera accordée par l’Etat. Financée entièrement par le Fonds de Développement de l’Environnement et de la Dépollution ‘FDPE’ Inscrite au sein du Fonds National de la Maîtrise de l’Energie.
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Perspectives du développement du GNC
EFFETS INDUITS PROBABLES DU PROGRAMME A COURT TERME La mise en œuvre de ce programme permettra sur la période , sur la base d’un parc roulant GNC de véhicules légers et 175 bus : Substitution d’environ tonnes d’essence et de gas-oil Ces quantités sont évaluées à 55,5 millions de dollars.
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Perspectives du développement du GNC
PROGRAMME A MOYEN TERME Consistance du programme : 112 stations service GNC, réparties à travers l’ensemble des grandes villes du territoire national. Raccordement de ces stations services GNC au réseau Gaz Naturel. Acquisition de 500 bus dédiés au GNC. Le coût global du programme est estimé à environ 20,3 Milliards de DA, dont 168 Millions d’€uros. Le Montant global à supporter par l’Etat sera de 7,8 milliards de DA. Sa prise en charge financière est identique au programme à court terme.
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CONCLUSION L’intérêt du GNC/Carburant se situe actuellement principalement au niveau environnemental. L’intérêt sera économique, si l’Etat supporte la réalisation des programmes et leurs développements. Compte tenu de la baisse de rendement du moteur ainsi que de la faible autonomie, le GNC/Carburant est plus : Adapté aux véhicules lourds Propice aux zones à très forte urbanisation. Focaliser les efforts sur la création d’un réseau de stations de compression bien étudié.
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CONCLUSION L’impulsion du développement de ce carburant nécessite :
L’allégement des pressions fiscales et douanières La mise en œuvre de mesures incitatives. Les promoteurs identifiés sont: Sonatrach en sa qualité de producteur dont le rôle et de valoriser ses produits. Sonelgaz en sa qualité de distributeur du gaz naturel pour rentabiliser son réseau Naftal en sa qualité de distributeur final. Les importateurs de véhicules et d’équipements de GNC pour dynamiser le programme.
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GPL/CARBURANTS
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GPL Les Gaz du pétrole liquéfiés (GPL) sont des mélanges de butane et de propane Ils proviennent soit du raffinage du pétrole brut, soit du traitement du gaz naturel. Ils peuvent être utilisé comme carburant.
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INTRODUCTION Les GPL ont constitué depuis longtemps un choix de politique énergétique nationale, en raison : D’une part, des réserves importantes en GPL dont dispose notre pays. D’autre part, pour répondre mieux aux exigences de protection de l’environnement (lutter contre la pollution). Grace à leurs atouts d’énergie propre et transportable, les GPL ont réussi à pénétrer, à côté du pétrole et du gaz naturel, des secteurs aussi divers que le résidentiel, l’industrie et le transport (GPL/Carburant).
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PROGRAMME GPL/Carburant
Lancement depuis 1980, par les pouvoirs publics, des programmes de développement de l’utilisation de cette énergie comme carburant (GPL/C). Ce qui a permis de faire du GPL/Carburant un produit de large consommation, grâce à : Mise en place à travers le territoire national d’un réseau d’installateur de kits GPL sur véhicules. Accroissement du nombre de stations service distribuant le GPL/C. Prix attractif du GPL/C en comparaison au différentiel avec les essences Existence d’un dispositif d’aide mis en place par Naftal par la prise en charge financière de l’acquisition de l’équipement GPL/C au niveau des stations services des promoteurs privés intéressés. Existence d’un parc relativement important de véhicules convertis au GPL/C.
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QUELQUES DONNEES Premières livraisons de GPL/C : Année 1986.
Quantités consommées : de 4000 Tonnes en 1986 elles passent à Tonnes en 2006 Part de consommation GPL/C par rapport aux carburants terres (essences et gasoil) en 2006 : 3,5 % Conversion de véhicules : actuellement contre en 1995. Nombre de Stations services : de 130 en 1996, il est passé à près de 600 en 2006 (sur un total de stations service de 2000, soit 30% seulement distribuent le GPL/C). Nombre d’ateliers de conversion de véhicules : de 13 en 1997, il est passé à une centaine environ en 2006.
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CONTRAINTES Ceci, n’a pas empêché que des contraintes surgissent à l’encontre de sa généralisation sur tout le territoire national, par rapport aux objectifs assignés, en raison principalement du coût élevé des équipements relatifs à ce carburant. Les Objectifs fixés par le séminaire de Mars 1997 en matière de développement du GPL/Carburant visaient ainsi dans leur globalité à asseoir une stratégie de sa promotion. La journée d’étude sur la distribution des produits pétroliers, tenue le 29 Mars 2005, a consacré un atelier sur la valorisation du GPL/C sur le territoire national. Cet atelier a noté certaines contraintes (Déficit en matière de sensibilisation du public, Faible écart de prix entre le GPL/C et le gasoil et entre l’essence et le GPL/C, Absence de mesures incitatives).
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CONCLUSION Pour assurer la relance du programme d’utilisation du GPL/C, les recommandations suivantes ont été émises lors de cet atelier : Mise en œuvre d’un programme de sensibilisation et de promotion du GPL/carburant à travers les médias lourds. Mettre en place des mesures financières et fiscales incitatives à l’image de ce qui existe dans certains pays où l’expérience du GPL/C a connu un développement notable (Grande Bretagne, France, Italie…). Geler le prix du GPL/C et augmenter le différentiel du prix par rapport aux autres carburants. Actualiser la réglementation et introduire l’homologation des équipements du GPL/C. Améliorer la disponibilité du produit. Mettre en place un système d’évaluation périodique de la mise en œuvre de ces recommandations.
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ESSENCE SANS PLOMB
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INTRODUCTION L’introduction de l’essence sans plomb sur le marché national s’inscrit dans le cadre de : Politique de préservation de l’environnement. Diversification des carburants. Adaptation aux spécification internationales (réduction de vloa teneur en plomb) Existence d’un marché national de véhicules roulant en ce produit.
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OFFRE L’utilisation de l’essence sans plomb sur le marché national a débuté en 1998. Actuellement, il n’est fabriqué que dans la raffinerie de Skikda. La production de l’année 2005 est de 256 milliers de tonnes, représentant environ 12% de la production totale des essences.
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Elle est passée de 107 tonnes en 1998 à 153000 en 2006.
CONSOMMATION La consommation nationale de l’essence sans plomb a connu une croissance élevée. Elle est passée de 107 tonnes en 1998 à en 2006. En 2006, la consommation de l’essence sans plomb représente 7% de la consommation totale des essences.
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PERSPECTIVE DE L’UTILISATION DE L’ESSENCE SANS PLOMB
Il est prévu à court terme la généralisation de l’essence sans plomb en remplacement aux essence plombé qui ne seront plus commercialisé, grâce au programme d’investissement lancé par l’entreprise Naftec. Ce programme concerne : Réhabilitation et Modernisation des installations des raffineries pour adapter l’outil de raffinage aux durcissements des spécifications internationales des produits pétroliers, notamment les carburants.
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BIO CARBURANTS
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BIO CARBURANTS
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INTRODUCTION Les biocarburants, qui sont actuellement dans le monde au stade de lancement ou d’essai, sont produits à travers plusieurs filières : Ethanol-Carburants, Méthanol-Carburants : cette filière connaît des freins techniques, car le mélange obtenu dispose d’inconvénients, il est, notamment plus corrosif que les carburants classiques. Dérivées d’huiles végétales : constituent un progrès technique considérable et prometteur dans la mesure où le produit obtenu dispose de propriétés physicochimiques proches de celles du gasoil moteur. Au Brésil on compte déjà six usines. Le frein principal de cette filière, est son bilan énergétique qui est généralement négatif.
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BIOCARBURANTS EN ALGERIE
En Algérie, un projet a été lancé par une société privée algérienne (Nakheel El Djazair). L’objet de cette usine est d’exploiter la production non comestible de dattes pour produire du Bioéthanol. Objectif à horizon 2008 : Produire TM de Bioéthanol. Objectifs à Long terme : Produire plus de 50. 000TM de bioéthanol, à partir de dattes non commercialisable.
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CONCLUSION En Algérie, les biocarburants, ne peuvent pas constituer, actuellement, une solution alternative à grande échelle, en terme de produits de substitution, pour les carburants classiques, en raison de : Ils sont actuellement dans le monde au stade de lancement ou d’essai. Ils sont produits, notamment pour la filière Dérivées d’huiles végétales, à partir de produits agro-alimentaires.
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