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Publié parPauline Dutertre Modifié depuis plus de 11 années
1
Tester la structure nucléaire avec la diffusion de nucléons
E. Bauge, M. Dupuis (LANL), H. Arellano (Santiago du Chili) CEA DIF Service de Physique Nucléaire
2
Potentiel optique: hypothèse majeure
Cible (A) Projectile (1) U(1) : potentiel optique, complexe a priori non local, et dépendant de la cible
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Potentiel optique = opérateur de masse
j : nucléon de la cible (e) k : nucléon projectile (E) Antisymétrisé Somme sur tous les nucléons de la cible Veff ?
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Interaction effective très générale
P2=P Q2=Q Q=1-P PQ=QP=0 P+Q=1 Hamiltonien effectif Potentiel effectif Complexe Dépendance en E Dépend du spectre du noyau cible
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Interaction effective avec approximations
} Espace Q limité au excitation ph Dans la matière nucléaire Matrice g Equ de Brückner Bethe Goldstone Diagrammes en échelle (+ échange) + + +… = <Ψ|G|Ψ> = <Ψ|V|Ψ> + <Ψ|VgV|Ψ> + <Ψ|VgVgV|Ψ> +…
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Interaction effective avec approximations
Dans la matière nucléaire (densité r): La self-énergie d’un système nucléon(k)-matière nucléaire(kF) est : Approximation supplémentaires possibles : Sur couche d’énergie (k=f(E)) j = fct d’onde planes : OMP dans la matière nucléaire
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JLM : convolution (r) de l’opérateur de masse (NM) avec la densité radiale
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JLM : potentiel SEMI-microscopique Lane-consistant
l: facteurs de normalisation phénoménologiques E. Bauge et al., Phys. Rev. C 63, (2001)
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Calculs JLM+HFB(D1S) cible stable
Une seule expression du potentiel dépendante de l’isospin pour protons et neutrons incidents
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Calculs JLM+HFB(D1S) cibles stables déformées
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Calculs JLM+HFB(Gogny)+GCM cibles stables et instables
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JLM : sensible aux progrès de la structure
GCM b=0.31 QRPA b=0.19 Calcul QRPA S. PERU
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JLM prédictions extrêmes à la drip-line Sensibles à la structure nucléaire
Extrait de : « SPIRAL-2 : Scientific objectives »
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Melbourne: convolution (r) d’une matrice g avec la matrice densité
Pot. optique non local Informations de structure: matrice densité (HF ou RPA, SM) et fct d’onde à 1 particule Matrice g de Melbourne Non ajustée ! Calculée à partir de L’int. De Bonn
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Melbourne inélastique
Matrice g de Melbourne (isoscalaire, isovecteur, spin-orbite, s.t) Etats de cible initial et final information de structure nucléaire DWBA
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Calculs Melbourne+ (HF ou RPA) Cible stable
Pas d’ajustement M. Dupuis, et al., Phys Rev C 73, (2006)
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Influence de la collectivité
Opérateur RPA Opérateur particule-trou Opérateur particule-trou renormalisé Concentré à 98% sur une seule paire particule-trou
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Calculs Melbourne+ (HF ou RPA) Limites
La description des états Intermédiaires de la matrice g en p-h n’est pas suffisante à plus basse énergie : Il faudrait inclure le couplage aux excitations collectives
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ABL (Arellano, Brieva, Love) convolution (p) d’une matrice g avec la densité
H.F. Arellano, Phys Rev C 52,301 (1995) Si g a la symétrie sphérique U peut se réécrire (exact) 7D Avec: La sensibilité à la dépendance en densité est limitée à la surface H.F. Arellano et al., Phys Rev C 76, (2006)
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Le saint Graal Approche de Feshbach Ou de la fonction de Green
H. Feshbach, Ann. Rev. Nucl. Sci (1958). Ou de la fonction de Green N. Van Giai, J. Sawicki, N. Vinh Mau, Phys. Rev. 141, 913 (1966)
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Conclusions Toute une palette de modèles optiques microscopiques avec des approximations +/- brutales permettent de trier entre les modèles de structure sous-jacents. Il reste du travail à faire pour traiter les réactions sur un pied d’égalité avec la structure dans un formalisme à N-corps (saint graal).
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