La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Hypnose et maladies neurologiques

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Hypnose et maladies neurologiques"— Transcription de la présentation:

1 Hypnose et maladies neurologiques
Saad Kassnasrallah

2 C’est quoi l’hypnose? L’hypnose ericksonienne

3 Ce n’est pas: magie sommeil placebo

4

5

6

7 Contrairement a l’effet placebo, l’analgésie hypnotique n’est pas liée aux endorphines: l’injection de naloxone n’annule pas l’effet antalgique en cours.

8 L’hypnose moderne Milton Erickson

9 État modifié de la conscience

10 Un état d’hyperconcentration détendue.

11 Définition de l'Association médicale britannique : « L'hypnose est un état passager d'attention modifiée chez le sujet, état qui peut être produit par une autre personne et dans lequel divers phénomènes peuvent apparaître spontanément ou en réponse à des stimuli verbaux ou autres.

12 Ces phénomènes comprennent un changement dans la conscience et la mémoire, une sensibilité accrue à la suggestion et l'apparition chez le sujet de réponses et d'idées qui ne lui sont pas familières dans son état d'esprit habituel. En outre, des phénomènes comme l'anesthésie, la paralysie, la rigidité musculaire et des modifications vaso-motrices peuvent être, dans l'état hypnotique, produits et supprimés. »

13 Pourquoi l’hypnose? Pour toucher l’inconscient
Dans l’état d’hypnose, l’inconscient occupe l’avant-plan, laissant en veilleuse le conscient habituellement hyperactif. Pour défaire le nœud

14 L’hypnose est une thérapie
Thérapie brève Thérapie de communication Thérapie de réconciliation Mobilisation des ressources inconscientes Equilibre interne

15 Les études sur le fonctionnement hypnotique en imagerie fonctionnelle ont débuté vers 1999 et ont permis de découvrir que les suggestions hypnotiques activent et recouvrent les zones anatomiques de l’émotion : le cortex préfrontal et le cortex cingulaire antérieur ainsi que le tronc cérébral.

16

17 Rainville, P. (Department of Neurology, University of Iowa Hospital and Clinics, USA)

18 Rainville, P. (Department of Neurology, University of Iowa Hospital and Clinics, USA)

19

20 Cerebral activation during hypnotically induced and imagined pain
Stuart W.G. Derbyshire,a,* Matthew G. Whalley,b V. Andrew Stenger,c and David A. Oakleyb a Departments of Anesthesiology and Radiology, University of Pittsburgh Medical Center, Pittsburgh, PA 15213, USA b Department of Psychology, Hypnosis Unit, University College London, London WC1E 6BT, UK c Department of Radiology, University of Pittsburgh Medical Center, Pittsburgh, PA 15213, USA Received 3 December 2003; revised 24 February 2004; accepted 28 April 2004 NeuroImage 23 (2004) 392– 401

21 significant changes during this hypnotically induced (HI) pain experience within the thalamus and anterior cingulate (ACC), insula, prefrontal, and parietal cortices. These findings compare well with the activation patterns during pain from nociceptive sources and provide the first direct experimental evidence in humans linking specific neural activity with the immediate generation of a pain experience.

22 Les indications de l’hypnose

23

24 Selon Erickson : “Dans toute douleur vécue, il y a les douleurs du passé, l’expérience présente et l’anticipation d’une souffrance future”. Dans le contrôle de cette douleur, Price et Barber ont démontré que l’hypnoanalgésie diminuait la composante affective de la douleur de 80 % et sa composante sensorielle de 45 %.

25 Hypnosis in Contemporary Medicine
Comparison of Self-Hypnosis and Propranolol in the Treatment of Juvenile Classic Migraine PEDIATRICS Vol. 79 No. 4 April 1987, pp Hypnosis in Contemporary Medicine JAMES H. STEWART, MD Mayo Clin Proc. • April 2005;80(4):  Self-hypnosis training for headaches in children and adolescents  Kohen DP, Zajac R J Pediat. 2007 ; 150 :

26

27

28 Un cas clinique Madame BP, 42 ans Consultation janvier 2007
Plusieurs suivis neurologiques et psychiatriques

29 2003 : douleurs diffuses 2004 : trouble du langage et de la mémoire 2005 : mouvements anormaux myocloniques au départ, le bilan détaillé a éliminé une épilepsie. Les mouvements sont devenus choréiques. 2006 : Elle présente des mouvements stéréotypés d’enroulement des 2 épaules avec flexion des 2 membres supérieurs prédominant du côté gauche, durant quelques secondes, déclenchés au bruit et à l’initiation des mouvements. Traitement : Orap, puis Keppra. L’ensemble du bilan étiologique est négatif.

30 2006 : Elle présente des mouvements « cloniques » assez erratiques non systématisés, associés à un bégaiement avec quelques latences dans la réponse. Il n’y a pas de signes de la lignée aphasique, ni d’arguments en faveur d’une pathologie dégénérative.

31 Janvier 2007 Elle a fait hôtesse de caisse, puis a pris des responsabilités, sans contrepartie, puis a saturé, puis retour en caisse, puis apparition de douleurs... En AT depuis 2004 Disparition des mouvements anormaux pendant une discussion prenante Couleur bleue depuis plusieurs années

32 Mariée, 1 fille de 16 ans Regrette ne pas avoir fait plus de choses avec ses parents, et plus de communication avec eux IVG en 2003, après toxoplasmose et problèmes financiers

33 Thérapie avec relaxation et hypnose

34 Plus détendue, plus à l'aise, amélioration de la mémoire
Elle a eu des "spasmes" chez ses parents... Se plaint d'être hypersensible Pendant une séance : spasmes et pleure. Elle a pensé à son père , qu'elle n'a pas bien connu. Elle a vécu très peu de choses avec son père. Son père lui avait confié un secret de famille la veille de son décès, ne sait pas quoi faire de ce secret depuis 8 ans.

35 Elle a dit le secret de famille à son frère.
Elle prend sa place, répond, dit ce qu'elle pense et veut, peut pleurer parfois, beaucoup moins de mouvements anormaux et de douleur, normalisation du langage. Elle arrive à être décontractée, ne se serre plus les mains et les mâchoires.

36 Octobre 2007 : nette amélioration selon elle et son mari.
Elle garde encore quelques symptômes : spasmes, bégaiements. Ils estiment l'amélioration à 70-80% JANVIER 2008: Commence à utiliser autres couleurs que le Bleu Mai 2008 : Disparition complète des spasmes à l'endormissement.

37 Conditions: Patient: volonté, laisser faire, timing …
Thérapeute: formation, respect, modestie, empathie…

38 Outil supplémentaire dans notre stratégie thérapeutique
L’hypnose est un Outil supplémentaire dans notre stratégie thérapeutique

39


Télécharger ppt "Hypnose et maladies neurologiques"

Présentations similaires


Annonces Google