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THE SHINING
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De Stanley Kubrick
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Don de Danny : « the shine » en anglais
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De l’idéal à l ’enfer
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Dans l’espace labyrinthique
Une circulation par des couloirs qui s’étirent sans fin et se croisent sans repérage topographique possible, une moquette à dessins géométriques qui enferment, et jusqu’au labyrinthe de buis taillé devant l’hôtel où se joue la conclusion du film que je ne peux pas livrer, mais qui a un contenu fortement psychanalytique et donc métaphorique.
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La géométrie et la perspective
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Un espace étouffant
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Un espace vide qui se peuple étrangement
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Le motif du labyrinthe
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Et l’angle de vue : une présence inquiétante
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Labyrinthe temporel
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Passé + Présent = Futur ?
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L’écriture labyrinthique
La création comme un instinct meurtrier.
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La peur est l’objet essentiel du film, celui qui se manifeste avec le plus d’insistance, qui détermine le genre donc la nécessité de l’œuvre. trace d’une présence étrangère dans la maison regard hébété de la jeune femme, rupture totale du récit pour passer à l’imagination.
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L’autre ingrédient est une description méticuleuse de violence physique : poursuites, bruits de pas, coups de haches, éclats de sang.
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L’isolement, le froid et le vide
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La musique Kubrick a choisi des œuvres de compositeurs contemporains
(deux Hongrois et un Polonais) dont le travail à l’intérieur de formes relativement classiques s’établit sur la dissonance : Bartok, Legeti, et Penderecki. La dissonance, en particulier celles des violons dans les notes les plus aiguës, est sans doute ce que nos oreilles, encrassées par plusieurs siècles d’harmonie traditionnelle et plusieurs heures d’écoute journalière de la radio, supportent avec le plus de difficulté.
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Quant au jeu de Jack Nicholson, c’est
sans doute l’élément le plus intéressant du film. D’abord pour le plaisir de voir l'acteur, toujours à l’aise, jamais en défaut. Mais Nicholson est un acteur qui en fait beaucoup et souvent trop. Comme ici, dans The Shining : sourcils, grimaces, rictus, il joue à fond de tous ses moyens, de tous ses tics. Il déborde parfois le rôle que Kubrick lui assigne dans sa construction. Il a un côté grand guignol dans un film parfois empesé. Il donne donc un surplus d’émotion et en même temps désamorce un peu les morceaux de bravoure par un excès d’énergie. Il ne s’est pas plié, apparemment plus revêche que la musique, et cette bataille est réjouissante. Jean-Pierre Le Pavec Cinéma n°263 - nov 80
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Le trio familial
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Le fils
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Le fils et le père
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La mère et le fils
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La mère
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Thèmes Le père
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Le fantastique et l’horreur dans Shining
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Le cuisinier
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Voir ou ne pas voir l’invisible et l’insupportable
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Les jumelles
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Eros et thanatos
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Eros
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Thanatos
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Passé et péché pour l’éternité
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Le meurtre originel
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Les thèmes L’autre La violence La création La famille La folie
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Une fable politique ?
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All work and no play makes Jack a dull boy "Tout ce travail et pas de jeu font de Jack un garçon morne"),
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