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Publié parAlphonse Archambault Modifié depuis plus de 9 années
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©jake/fotolia Collaboration AGIR 33 – ANPAA 33 Avril 2010 Inspiré du travail de la SFA RPIB SENIOR Collaboration AGIR 33 – ANPAA 33 Avril 2010 Les photographies sont issues de la brochure canadienne Educ’alcool « L’alcool et les aînés »
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©jake/fotolia 1- JUSTIFICATION
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©jake/fotolia QU’APPELLE T’ON SENIORS ? Une définition difficile pour une population hétérogène Un critère d’âge habituel : Plus de 65 ans (en restant souple) Un critère d’autonomie : Autonomes « Fragiles » Dépendants
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©jake/fotolia UNE POPULATION QUI AUGMENTE Plus de 9 millions de personnes ont plus de 65 ans en France 97,5 % des 70-80 ans 80% des plus de 80 ans vivent à leur domicile UNE POPULATION DE PLUS EN PLUS SOUVENT AUTONOME à un âge avancé
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©jake/fotolia Consommation15-2930-4445-5960-75 Tabac quotidien33% 23%9% Alcool quotidien2%7%19%37% Audit-C positif15%13%16%13% Ivresse/année30%16%8%2% Cannabis/année19%7%1%0% Autres illicites2%1%0% Psychotropes11%18%24%23% UNE POPULATION QUI CONSOMME Baromètre santé 2005 – Tendances n°67
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©jake/fotolia UNE CONSOMMATION CENTREE SUR LES PRODUITS LICITES ALCOOLTABAC MEDICAMENTS PSYCHOTROPES DONC La diminution du nombre de fumeurs avec l’âge est liée, en partie, à la mortalité prématurée L’augmentation du nombre de buveurs avec l’âge est liée surtout à une culture générationnelle
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©jake/fotolia Entre 70 et 75 ans Baromètre santé 2005 Une consommation selon le sexe
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©jake/fotolia LES RISQUES LIES A L’ALCOOL ? Les mêmes que chez l’adulte jeune mais pour des doses plus faibles Mais des risques plus spécifiques : –Chutes (et fractures) –Confusion, –Dépression, anxiété, faible estime de soi, appauvrissement relationnel, suicides –Dénutrition –Iatrogénie –Diminution de l’espérance de vie Moins de troubles cognitifs chez les consommateurs modérés ?
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©jake/fotolia Des modifications physiologiques diminuent la tolérance à l’alcool. Pour la même quantité d’alcool ingérée, le taux d’alcoolémie monte plus haut et décroît plus lentement Poly-pathologie et poly-médicamentation viennent accentuer ce phénomène
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©jake/fotolia Complications somatiques Hypertension artérielle, Asthénie, Variation de poids, Troubles digestifs, Diabète, Accidents, chutes répétés, Résultats biologiques perturbés: GGT, TG, VGM Recours plus fréquent aux soins
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©jake/fotolia Complications psycho- comportementales Anxiété Dépression (risque de suicide x 16) Troubles du sommeil Troubles sexuels Agressivité Troubles du comportement Autres addictions
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©jake/fotolia Difficultés relationnelles, sociales Problèmes conjugaux, familiaux, Inquiétudes de la famille, Difficultés financières, Isolement, rupture de tout lien social… Maltraitance
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©jake/fotolia LES RISQUES LIES AU TABAC ? Les mêmes que chez l’adulte jeune mais les pathologies induites par le tabac sont souvent déjà présentes (BPCO, cancers, maladies cardio-vasculaires……) Mais des risques plus spécifiques : –Ostéoporose –Soins dentaires compliqués –Complications infectieuses des suites opératoires ou des cicatrisations de plaies –Dénutrition –Diminution de l’espérance de vie
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©jake/fotolia LES RISQUES LIES AUX PSYCHOTROPES ? Très augmentés chez les seniors: –Chutes +++++ –Troubles cognitifs, confusion –Surdosage (insuffisance rénale et/ou hépatique plus fréquente) –Erreurs dans les prises –Interactions médicamenteuses –Bouche sèche et dénutrition –Constipation et fécalome –Addiction –2 à 7 fois plus d’effets indésirables –Potentialisés par l’alcool
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©jake/fotolia DES RISQUES SOUVENT CUMULES Plus de fumeurs et de consommateurs de psychotropes en cas de mésusage d’alcool Les effets secondaires se cumulent, notamment en terme de baisse de vigilance, de chutes, de dépression, de dénutrition, de perte du lien social UNE ESPERANCE DE VIE TRES DIMINUEE D’autant plus important que les années à vivre se réduisent
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©jake/fotolia QUEL QUE SOIT L’ÂGE Tout arrêt du tabac Toute diminution (ou arrêt) de l’alcool et des psychotropes (sauf indication persistante) Est bénéfique au patient en terme de quantité et de qualité de vie ….S’il adhère à cette démarche
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©jake/fotolia 2- LE RPIB SENIOR
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©jake/fotolia POURQUOI FAIRE UN RPIB SENIOR? Pour repérer les consommations qui font courir des risques Pour explorer les « raisons » des consommations (plaisir ou mal être, habitude, ennui) Pour amener la personne à envisager de diminuer certains risques Par et pour une meilleure qualité de vie Le tout en quelques minutes
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©jake/fotolia 2-1- LE REPERAGE
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©jake/fotolia DANS QUEL CONTEXTE ? 80% des plus de 80 ans vivent à domicile Des hospitalisations plus fréquentes et plus longues Recours plus fréquent aux soins Une fin de vie en institution pour les dépendants ou les « fragiles » A domicile A l’hôpital Au cabinet En EHPAD
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©jake/fotolia UN REPERAGE SYSTEMATIQUE et noté dans le dossier médical Tabac: OUI NON Alcool: OUI NON –Quantités consommées: –Diagnostic: Usage à risque (> seuils) Usage nocif (conséquences) Dépendance (DSM IV) Psychotropes: OUI NON –Quantités consommées: –Médicalement justifié: OUI NON
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©jake/fotolia 2 TYPES DE BUVEURS Le buveur chronique: 2/3 des buveurs excessifs A commencé jeune Est plus souvent un homme, fréquemment dépendant, avec des troubles cognitifs et sociaux Pathologies hépatiques, cardio-vasculaires, pulmonaires et rénales plus fréquentes Tabac fréquemment associé Le buveur tardif: 1/3 des buveurs excessifs A commencé le plus souvent après 50 ans Suite à des stress de la vie (deuil, retraite, maladie….) Les femmes sont plus représentées Environ 5 hommes abuseurs pour une femme
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©jake/fotolia POURQUOI BOIVENT-ILS ? Pour modifier l’humeur et l’état de conscience Pour se donner de l’énergie Pour se relaxer et faciliter la socialisation Mais aussi pour calmer la douleur physique, l’anxiété, l’insomnie, l’humeur dépressive et les troubles somatiques divers liés à l’âge. Les mêmes motifs poussent à la consommation de psychotropes ou d’antalgiques opiacés
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©jake/fotolia Les seuils à risque de l’OMS doivent être réduits au-delà de 65 ans Certaines recommandations étrangères fixent les seuils suivants : 1 à 2 verres standards par jour Pas plus de 3 verres par occasion Au-delà de ces seuils, les risques pour la santé augmentent = Usage à risque En l’absence de toute pathologie évolutive, ou de médicaments incompatibles avec l’alcool
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©jake/fotolia 1 verre standard = 10 g d'alcool Une bouteille de vin (75 cl) : 7 verres Une bouteille de whisky (70 cl): 22 verres Une cannette de bière (33 cl): 1,5 verre
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©jake/fotolia UN REPERAGE ALCOOL avec des questions standardisées Moins intrusif Mieux cadré Plus rapide Mais aucun questionnaire n’a été validé chez les plus de 65 ans La consommation déclarée d’alcool peut être évaluée sans spécificité
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©jake/fotolia Exemple de questions A quelle fréquence vous arrive-t-il de consommer des boissons contenant de l ’alcool ? A tous les repas ? Combien de verres standards buvez-vous au cours d’une journée ordinaire où vous buvez de l’alcool ? On additionne tous les verres de la journée, aux repas et aux apéritifs. A quelle fréquence vous arrive t’il de boire plus de 3 verres standards lors de la même occasion? Tous les jours? L’important est de noter les consommations dans le dossier médical (CDA quotidienne et occasionnelle): Pour suivre l’évolution Pour valoriser les changements positifs
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©jake/fotolia 2-3- INTERVENIR
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©jake/fotolia L’intervention brève : objectifs Provoquer une prise de conscience Inciter à un changement de comportement Respecter le choix de la personne…
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©jake/fotolia L’intervention brève: principes = F.R.A.M.E.S. Feed-back: restituer le repérage Responsability: reponsabiliser le patient Advice : avis d’arrêt ou de modération. Menu: moyens possibles. Empathy: pas de jugement. Self-efficacy: encourager.
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©jake/fotolia 1 - Restituer le repérage « la personne se situe » On résume le repérage : –La personne fume? –La personne est en mésusage d’alcool? –La personne consomme des psychotropes? Partager le diagnostic avec la personne –On évoque les seuils à risque d’alcool –On évoque la consommation des psychotropes, les risques, l’association éventuelle à l’alcool –On évoque la consommation de tabac FEEDBACKFEEDBACK
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©jake/fotolia 2- Impliquer la personne Qu’en pense t’elle? A-t-elle conscience des risques encourus? –Possibilité de modifier les idées reçues. –Rappeler les risques encourus s’ils ne sont pas connus –Les bénéfices en terme de qualité de vie attendus du changement Le changement éventuel lui appartient RESPONSABILISERRESPONSABILISER
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©jake/fotolia 3- Conseiller la personne Que faudrait-il faire? –Arrêter ou diminuer ? –L’alcool? Le tabac? –Limiter les psychotropes à ce qui est prescrit? Que veut ou peut faire la personne? –Ses priorités, sa motivation, ses craintes Fixer en commun un objectif possible. ADVICEADVICE
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©jake/fotolia A ce stade Il est possible de situer la motivation à changer du patient
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©jake/fotolia Le processus de changement Consommateur satisfait ou indécis Envisage de changer son comportement de consommation Décide de changer Essaie de changer Change son comportement de consommation Persévère dans son changement rechute Contemplation Intention Préparation Action Maintien
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©jake/fotolia Exercice: identifier les stades Si ma femme vous a parlé de ma consommation d’alcool, c’est son problème. Stade de contemplation
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©jake/fotolia Exercice: identifier les stades Si je pouvais le faire, je modérerais ma consommation d’alcool. Stade d’intention
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©jake/fotolia Exercice: identifier les stades Je vais diminuer le lexomil ® d’un quart, pour voir… Stade de préparation
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©jake/fotolia Exercice: identifier les stades Je n’ai pas fumé depuis ce matin Stade Action
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©jake/fotolia Exercice: identifier les stades J’ai juste pris un petit comprimé hier soir, exceptionnellement……. Oups! rechute
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©jake/fotolia 4- Aider la personne « comment réduire » Comment envisage-t-elle de changer ? (question ouverte): –Comment envisagez vous d’arrêter le tabac? De diminuer l’alcool? De diminuer le « Temesta ® »? On peut l’aider à rechercher une bonne stratégie: –Des patchs de nicotine? –Un petit verre de vin par repas au lieu de deux ? –Passer d’un comprimé de Temesta ® 2,5 mg à 2 comprimés à 1 mg? Puis on verra tout doucement. MENUMENU
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©jake/fotolia 5- Accepter le choix de la personne Si résistance: –« Je comprends que c’est difficile pour vous, même si je vous sens capable de changer ». –« On pourra en reparler la prochaine fois ou quand vous serez prêt » –« Je vous remets ce petit document qui explique bien les choses. Prenez le temps d’y réfléchir. » On comprend la position du patient, sans jugement, même si on ne partage pas son avis. –Rester authentique –Rester chaleureux –Écouter et réagir, de façon bien contrôlée EMPATHIEEMPATHIE
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©jake/fotolia 6- Encourager Renforcer la confiance: –« Je vois que vous avez bien compris les risques et que vous êtes bien motivée pour changer ». –« Vous avez déjà réussi à arrêter quelques semaines, c’est très encourageant pour votre prochaine tentative » –« Vous êtes toujours très active et vous voulez le rester. Voilà une bonne motivation pour diminuer les médicaments» –« Vous n’y êtes pas arrivé? C’est fréquent, essayons de comprendre pourquoi? » SELFEFFICACYSELFEFFICACY
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©jake/fotolia 7- Résumer Résumer ce qui a été dit au cours de la consultation: –Redéfinir les problèmes de la personne, –Intérêt des changements décidés par la personne, –Reformuler ce que la personne a prévu pour changer –Proposer de refaire le point lors d’une prochaine rencontre.
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©jake/fotolia 3- CONCLUSION Un RPIB senior pour identifier les risques Un RPIB senior pour permettre à la personne de diminuer les risques, si elle le souhaite Un RPIB senior pour une amélioration de la qualité des soins et de la qualité de vie.
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©jake/fotolia Un RPIB senior pour identifier les risques Un RPIB senior pour permettre à la personne de diminuer les risques, si elle le souhaite Un RPIB senior pour une amélioration de la qualité des soins et de la qualité de vie.
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©jake/fotolia ANNEXES
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©jake/fotolia DSM IV critères diagnostiques Dépendance si présence 3 ou plus des critères suivants sur les 12 derniers mois : Symptômes de sevrage : 2. Symptômes de sevrage : à la suite d'une période d'abstinence, évités ou améliorés par une nouvelle prise de la substance. Prise de la substanceen plus grande quantité 3. Prise de la substance : en plus grande quantité ou pendant plus longtemps que prévu. Tolérance : 1. Tolérance : besoin d'accroître les doses consommées pour obtenir l’effet désiré ou par une diminution des effets à dose constante.
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©jake/fotolia DSM IV critères diagnostiques suite contrôler la consommation 4. Désir persistant ou des efforts infructueux pour diminuer ou contrôler la consommation. Beaucoup de temps passé 5. Beaucoup de temps passé à utiliser ou à se procurer la substance. Abandon ou réduction 6. Abandon ou réduction des activités sociales, professionnelles ou de loisir à cause de l'usage. Poursuite de l’usage 7. Poursuite de l’usage malgré la connaissance des risques pour la santé.
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