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Publié parLucile Piché Modifié depuis plus de 9 années
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Progressivité de l’enseignement grammatical A partir d’un document rédigé par : - Claudine GARCIA-DEBANC - Véronique PAOLICCI - Nicole RAMIREZ - Pierre BESSAGNET - Michel GANGNEUX - Claudine BEUCHER - Claire DUTRAIT Eric VASSEUR - CPC Castelsarrasin
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Progressivité ? (progression et programmation) l’organisation des objets à enseigner en un itinéraire temporel en vue d’un apprentissage (Chartrand 2009) planification raisonnée et économique (Chiss 2000) Enjeu important et difficile : - stabiliser les notions - proposer un ordre d’acquisition - évaluer les acquis sur le long terme
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3 notions : - Programme : liste de notions sans ordre défini pour les activités de classe - Progression : ordre dans les apprentissages, itinéraire, étapes parmi les notions, points de passage obligés, évite l’empilement et la juxtaposition des notions - Programmation : inscription temporelle dans le calendrier scolaire (distribution chronologique des séquences dans le calendrier scolaire)
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Pour concevoir une progression en syntaxe ? Souvent lié aux manuels scolaires et ne fait pas souvent l’objet de concertation dans l’école… - programmes : aucun ordre sur les notions ; pas de temps relatif qui doit leur être consacrées. - quel temps consacré à une notion pour sa maîtrise ? Enjeu divers : maîtrise orthographique, utilisation correcte de structures syntaxiques en rédaction, indices syntaxiques en lecture, maîtrise de la terminologie grammaticales, apprentissages d’une langue étrangère. - fréquence du phénomène linguistique étudié (3 ème personne du singulier du passé simple) - fait de langue lié à un projet d’écriture : phrase interrogative pour une interview - relation sujet-verbe : horaire massifié car concerne doublement la syntaxe et l’orthographe -Difficultés des élèves (repérer le sujet dans certains cas) -Notions préalables pré-requises : identifier le verbe avant de travailler la relation S-Vbe !!!
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Programmation raisonnée… Réflexion sur la place respective : - De l’observation - De l’analyse - De la pratique - Sur l’usage dans le temps scolaire - La mémorisation et la stabilisation des apprentissages par un retour permanent sur les notions centrales (activités ritualisées ou activités de production écrite)
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Corpus soumis aux élèves ? -Contrôlé en tenant compte de la complexité (linguistique et psycholinguistique) -Degrés d’exercice de la compétence : adjectif identifier ≠ utiliser dans une phrase ≠ pratiquer l’accord (exercice vs rédaction) Au-delà de la leçon sur la notion, concevoir des tâches : -stabilisation et entrainement : -activités ritualisées pour l’entrainement (accords s-v) -activités ritualisées mettant en jeu une pratique contrôlée de la langue sans utilisation d’un métalangage grammatical (ajouter des expansions du nom)
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La rentabilité d’un fait de langue se mesure en termes de fréquence : - segmentation des mots écrits - Verbe « être », exception de conjugaison est très rentable - règles d’engendrement (morphologie, organisation lexicale, dérivation sémantique, agencement syntaxique) Les élèves sont plus performants en production/réception qu’en capacités d’analyse (ils créent des phrases complexes très rapidement).
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