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Diaporama réalisé en mode manuel, pour vous permettre d’apprécier au mieux ce magnifique village de France; Saisissez votre souris, et d’une auguste.

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3 Diaporama réalisé en mode manuel, pour vous permettre d’apprécier au mieux ce magnifique village de France; Saisissez votre souris, et d’une auguste et délicate pression de votre index sur sa touche gauche, faites défiler à votre cadence les pages. IL Y A DE QUOI VOIR ROUGE !

4 Histoire de Collonges la Rouge. En 785, les terres de Collonges, nom dérivé du latin Colonia, font l'objet d'une donation par le Comte de Limoges pour financer en partie la construction du monastère de Charroux, en Poitou. Collonges se développe ensuite et a la chance de faire partie, dès 844, de la Vicomté de Turenne, qui est indépendante de la Couronne de France : Les Collongeois bénéficient ainsi de précieuses exemptions fiscales, libertés, franchises, privilèges, immunités, et du droit d'exercer la justice : d'où la naissance d'une impressionnante lignée de praticiens du droit, qui, avec la noblesse d'épée, ornent Collonges de superbes castels et manoirs. Au XVI e siècle, Collonges traverse les guerres de religion de manière plutôt pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées en alternance pour le culte catholique et le service protestant… cas unique selon les historiens. Le XVII e et surtout le XVIII e siècles sont moins favorables : records de froid, disette, vente de la Vicomté à la Couronne en 1738 et donc fin des privilèges, tous ces événements entraînent le début du déclin de Collonges. Le XIX e siècle est marqué par le phylloxéra, qui décime les vignes et par l'exode rural qui lui fait perdre 40 % de sa population. Enfin, l'alarme est donnée au XX e siècle : la municipalité obtient le classement de l'église dès 1905. En 1923, son tympan est remis en place comme on le verra plus loin, et en 1927, la création de la Société des Amis de Collonges donne le signal du renouveau, de la " seconde Renaissance " de ce village.

5 Situé sur la faille géologique dite de Meyssac, le village est construit en pierres de grès rouge. Ce matériau pourpre, particularité locale, n’est plus ni moins qu’une roche sédimentaire composée de grains de sable agglomérés. Il est le résultat de la dégradation du Massif Central il y a plus de 200 millions d’années! Le mystère de la couleur du grès de Collonges réside dans sa composition de plus de 2% d’oxyde de fer.

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16 MAISON DE LA SIRÈNE Maison datant du XVI e siècle. Les lauzes de sa toiture sont en grès rouge, d'une dimension de 40 x 30 cm ne laissant apparaître que 2 à 3 cm de pierre. Ce type de toiture primitive qu'on trouve dans l'ensemble du village, église comprise, exige de très solides charpentes de châtaignier. Sur sa porte à accolade, on voit à droite la sculpture d'une sirène qui tient un miroir d'une main et de l'autre un peigne, et à gauche probablement celle d'un homme à longue chevelure chevauchant un dauphin : Sirène qui séduit les hommes et les perd, et dauphin qui aime les hommes et les sauve. Aujourd'hui, cette magnifique maison est le siège d'une association : " les Amis de Collonges ". Elle y conserve le patrimoine de Collonges en quatre salles : 1) Musée lapidaire, instruments aratoires 2) Les Chemins de Saint-Jacques 3) Collection de fossiles de Collonges 4) Mobilier et objets usuels d'autrefois.

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18 L’EGLISE SAINT PIERRE Son clocher roman (qu'on peut dater des environs de 1100) à gables, à la solide architecture, s'élance fièrement aux côtés du clocher carré et de la tour du guetteur. Entre la base carrée du clocher roman qui repose sur les arcs robustes qu'on peut admirer à l'intérieur de l'église, et la toiture circulaire, les étages intermédiaires, dont l'un a une forme octogonale, assurent une élégante transition. De style limousin et bâties sur la croisée du transept, les voûtes de la nef ont été reconstruites au XVe siècle. Le système défensif de l'église a été renforcé au cours des guerres de religion, au XVIe siècle, où le grand donjon carré fut pourvu d'une salle de défense communiquant avec un chemin de ronde. Mais n'oubliez pas de lever la tête, afin d'admirer le tympan à l'architecture raffinée (vers 1130-1140).

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20 LE TYMPAN. Il représente l'Ascension du Christ au registre supérieur, tandis que la Vierge, humble et priante, entourée des onze apôtres, occupe le registre inférieur. Œuvre admirable d'artistes limousins réalisant la synthèse entre les écoles des pays de Toulouse et d'Auvergne, il est en pierre calcaire de Nazareth, proche de Turenne : un véritable ivoire dans un cadre de rubis. Dispersé très haut sur la façade à l'époque des guerres de religion, il a été remis en place par le service des Beaux-Arts en 1923.

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23 LA HALLE ET LE FOUR BANAL Proche de la Porte plate, voici la halle aux grains et aux vins (XVI e siècle). Elle est pavée de grès rouge et de calcaire, et possède une imposante charpente couverte d'ardoises. Elle abrite le four banal, toujours utilisé à l'occasion du traditionnel Marché d'Antan (organisé chaque année par le Foyer rural). Bordant la halle à main droite quand on s'éloigne de la place de l'église, le tribunal de la Châtellenie possède une tour ronde et des fenêtres d'angle typiques de l'époque Renaissance.

24 LE FOUR BANAL Le four banal, toujours utilisé à l'occasion du traditionnel Marché d'Antan

25 LE CASTEL DE VASSINHAC Situé rue de la Garde. Daté de 1583, il a été construit par les Vassinhac, jadis la plus puissante famille de Collonges. Orné de deux tours hexagonales et d'une tourelle en poivrière, la porte d'entrée est à accolades et à gorge (moulure creuse arrondie) gothique et croisillon Tudor. Fenêtres à meneaux, escaliers à hélice. Cet édifice, qui avait à la fois une fonction défensive et une vocation résidentielle, est imposant. Il est bien conservé et bien entretenu.

26 LE CHÂTEAU DE BENGES La plus grande partie de ce beau castel a été érigée peu après 1560. On y voit des vestiges de mâchicoulis, une tour, des tourelles, meurtrières, créneaux et sur le toit, une gracieuse fenêtre Renaissance. Juste avant Benges, on passe sous un porche : jadis existait, à gauche, un guichet où les renseignements étaient donnés aux pèlerins qui, par Saillac, L'Hôpital-Saint-Jean, Martel et Rocamadour poursuivaient leur route vers Cahors ou vers Agen, puis vers Saint-Jean-Pied-de-Port, Ronceveaux et Compostelle.

27 LA MAISON DE LA RAMADE DE FRIAC En face de la maison Boutang du Peyrat, et donc à l'extérieur de l'enceinte fortifiée, cette maison possède deux tours de guet remarquables. Construite à la fin du XVIe ou au début du XVIIe siècle, elle était la propriété de la branche des Ramade (famille importante pour l'histoire de Collonges) qui possédait le château de Friac, à l'extérieur de Collonges.

28 LA DEMEURE DES RAMADE DE LA SERRE (XVIème siècle) Près d'une fontaine aux bassins de grès rouge, en face de la nouvelle mairie, sa tour carrée s'élève entre deux maisons d'habitation avec, sur le toit de l'une d'elles, trois fenêtres semblables surmontées d'un écusson. Elle appartenait à une branche de la famille Ramade.

29 LA RUE NOIRE Actuellement pavée, ses maisons sont bâties en retrait les unes des autres pour faciliter la défense de la ville. Dans cette rue se trouvent la maison du célèbre comédien Maurice Biraud, qui fit beaucoup pour la notoriété de Collonges, ainsi que sa plaque commémorative.

30 LE CHÂTEAU DU MARTRET Castel du début du XVIe siècle, avec sa tourelle d'angle, ses échauguettes, son beau toit Louis XIII et sa garenne, il domine le bourg de Collonges, offrant une vue admirable sur le village.

31 LE CASTEL DE MAUSSAC (début du XVI éme siècle) Tour carrée qui a conservé son crépi, fine tourelle en poivrière aux gracieuses proportions, portail à auvent et, un peu à l'écart, porte Renaissance ornée d'une splendide coquille en parfait état de conservation : Tels sont les principaux éléments de ce qui reste de l'important logis seigneurial où s'éteignit, en 1832, la famille de Maussac.

32 PHOTOGRAPHIES Véronique, Fréderic et net. MUSIQUE G. Rossini « Ouverture de Tancrède » MONTAGE, EFFETS SPECIAUX, REALISATION Frédéric TOUTES MES EXCUSES POUR LES DALTONIENS !

33 27 MAI 2011


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