Thomas Hobbes IIIème partie

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1 Thomas Hobbes IIIème partie

2 Thomas Hobbes hypothèse : « L’homme est un loup pour l’homme » à l’état de nature mais peut aussi être « un dieu pour l’homme » à l’état de société. Pourtant , ce n’est pas souvent le cas. spectacle des troubles de son époque, des désordres, des guerres, de l’instabilité despotisme puritain, austérité, massacres lors de la répression de la révolte irlandaise.

3 De Cive : dernière partie des Elements of the law
État de nature vs vie politique Il faut obéir à la loi parce que c’est la loi. Théorie du gouvernement : un état fort est indispensable Idée à rapprocher de celle de Machiavel sur ce point mais sur ce point seulement Le citoyen doit préserver sa vie et désobéir au souverain si celui-ci s’en prend à sa vie sans raison.

4 Le livre Du Citoyen a longtemps été commenté de façon assez étrange
Le livre Du Citoyen a longtemps été commenté de façon assez étrange. On a fait de Thomas Hobbes le penseur de l’absolutisme. C’est très faux. Si l’homme se soumet de manière inconditionnelle à l’autorité du souverain, c’est qu’il craint pour lui-même, pour sa vie. Dans l’état de nature, il se trouve en danger. Le passage à l’état de société est difficile puisqu’il oblige l’homme à une soumission totale.

5 Mais cette soumission est intelligente, réfléchie
Mais cette soumission est intelligente, réfléchie. Dans la crainte de la mort, l’homme accepte des compromis avec sa liberté mais il reçoit en retour des garanties : le pouvoir du souverain doit investir totalement le pouvoir religieux, le contrôler et le diriger. Hobbes se méfie du pouvoir religieux qui est un danger potentiel «Parce que chaque agent est naturellement sujet à être détruit par chaque autre, chacun a naturellement un droit sur sa vie et sur les moyens de sa vie selon le jugement qui est le sien»

6 C’est parce qu’il craint une arrestation à la suite de son ouvrage Léviathan, où il s’en prend directement au pouvoirs de l’Eglise, que Thomas Hobbes rentre en Angleterre. On comprend mieux l’image du double et du berceau évoquée par le philosophe pour raconter sa naissance.

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