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Francis Bacon IIIème partie. La tribu Nous pensons connaître les choses alors que nous ne les percevons qu’à partir de nos sens. « L’intelligence humaine.

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1 Francis Bacon IIIème partie

2 La tribu Nous pensons connaître les choses alors que nous ne les percevons qu’à partir de nos sens. « L’intelligence humaine est comme un miroir inégal, qui fausse les rayons partis des objets, y mêle sa propre nature, les fait dévier et les colore » Bacon appelle « fantômes de la tribu » ces erreurs provenant de notre interprétation de notre expérience sensible. Le Novum organum. La théorie des idoles.

3 La caverne Mais nos erreurs peuvent aussi provenir de notre éducation, de notre société, et qui nous empêchent de percevoir la lumière, la connaissance, comme si le monde qui constitue notre culture créait autour de nous une sorte de muraille infranchissable. « Chacun de nous porte en soi une caverne qui lui est propre, laquelle brise et corrompt la lumière de la nature ».

4 D’une certaine façon, c’est toute notre culture qui ne trouve grâce aux yeux de Francis Bacon. Les « fantômes de la caverne » investissent notre vision du monde dans son ensemble. « Ce sont les dispositions particulières de chaque personne, c’est l’éducation, le commerce des autres ; c’est la lecture de certains livres et l’autorité de ceux que l’on honore et que l’on admire ; ce sont enfin les premières impressions que reçoit un esprit ou préoccupé et prédisposé, ou égal et serein ».

5 En quelque sorte, si nous ne savons pas observer le monde par nous- mêmes, être véritablement sujets, nous sommes alors de bons sujets à l’erreur. « Ainsi, selon la diversité de nos dispositions, l’esprit de l’homme est changeant, plein de trouble et comme livré au hasard » Pascal?

6 Il nous faut nous méfier de notre facilité à interpréter les choses puisque le plus souvent cette célérité peut provenir de nos habitudes de pensée, de nos préjugés, d’opinions convenues. Notre sphère du visible est comme un espace trop familier parce que coutumier et dont les limites nous restent inconnues.

7 Elles existent bien pourtant et sont en elles-mêmes un obstacle à l’approche de l’univers. « Héraclite disait avec raison que les hommes cherchent leurs sciences dans leurs petits mondes et non dans le grand monde commun à tous. »

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