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HISTOIRE DE L’ÉCRITURE ET DES MOTS

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Présentation au sujet: "HISTOIRE DE L’ÉCRITURE ET DES MOTS"— Transcription de la présentation:

1 HISTOIRE DE L’ÉCRITURE ET DES MOTS
20059 LIB COURS 3 © S. Cormier 20059 LIB

2 Repères chronologiques
Apparition de l’agriculture Apparition de l’écriture Naissance du Christ Préhistoire Histoire Christian Lemay 20059 LIB

3 Naissance de l’écriture à Sumer en -3600
© S. Cormier 20059 LIB

4 Sumer en Mésopotamie Entre le Tigre et l’Euphrate, soit l’Irak contemporaine. © S. Cormier 20059 LIB

5 4 étapes de l’écriture Garder une trace des comptes
Les calculi Dessiner pour écrire des mots simples Les pictogrammes Écrire des signes en forme de clous Le cunéiforme Inventer des lettres pour identifier des sons (phonogrammes) L’alphabet Ils sont en général des signes phonétiques (phonogrammes), transcrivant uniquement un son, plus précisément une syllabe. Mais une autre catégorie importante de signes sont les logogrammes (souvent désignés comme des idéogrammes), qui représentent avant tout une chose et ne renvoient que secondairement à un son. © S. Cormier 20059 LIB

6 Chiffres en Mésopotamie
Jetons-calculi en argile Parfois enfilés sur une ficelle Bulle-enveloppe Dans laquelle on mettait des jetons de différentes valeurs selon leur forme et dimension © S. Cormier 20059 LIB

7 Les premières marques numérales
© S. Cormier 20059 LIB

8 Combien? © S. Cormier 20059 LIB

9 © S. Cormier 20059 LIB

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15 Le cunéiforme Le calame © S. Cormier 20059 LIB

16 Système babylonien-2350 Un système à base 60 Exemples
Symboles utilisés et position Exemples Permet d’écrire de très grands nombres 1 x 13 x © S. Cormier 20059 LIB

17 L’écriture cunéiforme
Un système très compliqué Environ 550 signes Nombreux signes polyphones Nombreux signes homophones Mots non séparés Pas de ponctuation © S. Cormier 20059 LIB

18 L’écriture cunéiforme
Issue de la civilisation mésopotamienne Le système graphique le plus important du Proche-Orient ancien Inventée par les Sumériens vers av. J.-C. Une écriture de marchands Histoire de l’écriture par A. Lévy © S. Cormier 20059 LIB

19 Brève histoire du cunéiforme
Écriture sumérienne archaïque D’abord purement idéographique Chaque signe désigne une réalité Plus de 1500 pictogrammes =problème Début de l’homophonie Début de la graphie phonétique Introduction d’éléments grammaticaux Sous forme de suffixe à prononciation similaire © S. Cormier 20059 LIB

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21 L’écriture sumérienne
Les Akkadiens empruntent l’écriture des Sumériens Adaptent certains éléments Rejettent les signes inutiles Ajoutent d’autres signes Formation graduelle de l’écriture cunéiforme classique Première écriture systématique © S. Cormier 20059 LIB

22 L’écriture cunéiforme
Apparition de nouvelles techniques Augmentation des richesses Besoin d’inventaire L’écriture répond à ces besoins Enseignement des techniques d’écriture L’usage se répand Un souci d’esthétique de l’écriture © S. Cormier 20059 LIB

23 Les scribes Nombreux Écoles de formation Issus de familles aisées
Tablette d’écolier © S. Cormier 20059 LIB

24 Cunéiforme = plusieurs langues
Langues isolées Élamite, Hurrite Langues sémitiques Akkadien, Cananéen, Ougaritique Langues indo-européennes Hittite, Luvite, Vieux-Perse © S. Cormier 20059 LIB

25 Déchiffrement du cunéiforme
Le caillou Michaux Un kudurru Ramené en France 1786 Par A. Michaux (botaniste) Ne sera compris que beaucoup plus tard © S. Cormier 20059 LIB

26 Déchiffrement Hypothèse de Grotefend
Lien de noms de personnages puissants Vers 550 av. J.-C. Règne des Achéménides Recherche de la trace de noms Cirrus le Grand Cambyse, Darius, Xerxès © S. Cormier 20059 LIB

27 Déchiffrement Henry Creswicke Rawlinson
Poursuit le travail de Grotefend Escalade le Rocher de Behistoun Rocher de Behistoun dans les monts Zagros © S. Cormier 20059 LIB

28 Rocher de Behistoun Trois écritures présentes © S. Cormier 20059 LIB

29 Signes-images: pictogrammes

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34 Mythe d’origine de l’écriture
C'est à Nabu, et à son épouse Tashmeton que les Mésopotamiens attribuaient l'invention de l'écriture. Enki et l'Ordre du Monde" raconte comment le plus sage des dieux, Enki, le maître de l'abîme - la masse d'eau douce sur laquelle flotte la terre -, établit les principes de la civilisation. Il confia l'écriture et la fonction scribale à la déesse Nisaba, à l'origine une divinité du grain et des roseaux qui servent à fabriquer le calame des scribes : "La sainte Nisaba a reçu la règle à mesurer et garde l'étalon du lapis-lazuli ; elle proclame les grands règlements, elle fixe les frontières, marque les bornes. Elle est maintenant le scribe du pays." Avec l'arrivée au pouvoir de populations sémitiques, Enki prit le nom d'Ea et il resta le plus intelligent des dieux et l'ami des hommes. Il envoya sur terre sept sages, dont le premier fut Adapa qui eut pour mission de transmettre aux hommes le connaissance divine, aux temps mythiques d'avant le Déluge, lorsque la royauté descendit du ciel. Le "Mythe des Sept Sages" rapporte que "les Sages, carpes brillantes de la mer, sont au nombre de sept ; sept sont les sages nés pour assurer le bon fonctionnement du ciel et de la terre." Maîtres des sciences liées à l'art scribal, " les sept sages de l'abîme ... semblables à Ea leur père sont doués grâce à lui d'une intelligence sublime", dit encore le "Poème d'Erra" (Erra, dieu des Enfers). Lorsque, au cours du IIe millénaire avant J.-C., Marduk, le fils d'Ea, devint le chef du panthéon babylonien, après avoir vaincu les forces du chaos, Nabû, son fils, fut désigné pour consigner par écrit les sorts fixés par Marduk dans la chapelle des destins. Il est le "seigneur du calame", le dieu des scribes. Les savants, qui tenaient une place primordiale dans le clergé de Babylonie et d'Assyrie, le firent prévaloir dans la hiérarchie divine. Deux statues dédiées dans son temple de l'Ezida, "la maison stable", dans la ville de Nimrud, capitale de l'Assyrie, l'invoquent comme un dieu tout-puissant : "Nabû, le très-haut, le sage, le puissant, le héros ..., dont la parole est primordiale, le maître des sciences, qui surveille la totalité du ciel et de la terre, celui qui sait tout, qui comprend tout, qui détient le calame du scribe ..., le Seigneur des seigneurs, dont la puissance est sans égale, le compatissant, le miséricordieux." Assurbanipal lui dédia sa bibliothèque, car il "tient la tablette d'argile et le calame des destins, prolonge les jours et fait revivre les morts, émettant la lumière pour les hommes en proie à la confusion". Il est encore "nimbé de la splendeur divine, un souverain au vaste entendement, un sage au vaste savoir, qui maîtrise l'écriture et dont les décisions sont sans appel".

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38 Logogramme / idéogramme
pictogramme Logogramme / idéogramme Représente une chose concrète Représente un mot ou une idée Un idéogramme est un symbole graphique représentant un mot ou une idée utilisé dans certaines langues vivantes (comme le chinois et le japonais) ou anciennes (comme les hiéroglyphes de l'Égypte antique). Le terme de logogramme est aussi utilisé par les francophones[réf. nécessaire]. Il faut les différencier des pictogrammes qui représentent une chose concrète par un dessin et des phonogrammes qui représentent un son. © S. Cormier 20059 LIB


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