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1- Approche des sociétés et des cultures :  Questionner les liens entre individu, société, culture: aspect transversal à toute recherche anthropologique.

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1 1- Approche des sociétés et des cultures :  Questionner les liens entre individu, société, culture: aspect transversal à toute recherche anthropologique  Questionner les liens entre individu, société, culture: aspect transversal à toute recherche anthropologique ■ Société, culture, normes, valeurs ■ Société, culture, normes, valeurs ■ Socialisation, acculturation ■ Socialisation, acculturation  Éléments de méthodologie pout travailler les tensions entre le singulier et le collectif / nous raisonnons sur des individus inscrits dans des sociétés et porteurs de cultures 2- Le corps : approche de ses dimensions sociales  Le corps est une matière socialisée : comment penser la « socialisation du biologique » ? Anthropologie de la santé : Plan

2 Anthropologie de la santé (9 heures) 3- La maladie : Réalité multidimensionnelle Insérée dans son environnement socioculturel  Soit la place centrale du travail de la pensée  De la représentation 4- Les soins : le produit de savoirs scientifiques, de rapports sociaux, de significations culturelles  Les représentations de l’autre, dans : ■ la relation de soin

3 Anthropologie : Définition générale Discipline constituée au 19° siècle (L.H. Morgan, E. Tylor) Intérêt pour l’altérité En dehors de nos frontières géographiques et culturelles Anthrôpos : L’homme - Logos : Science Intérêt pour l’individu inséré dans une société : Composée d’individus – de relations – de sens Société, individus et culture : 3 notions clés.

4 SOCIETE « Groupe d’êtres humains pourvus de la capacité à auto- reproduire leur existence collective, en fonction d’un système de normes et de règles pour l’action, et dont la durée de vie excède celle de chacun des individus qui constitue cette société » (E. Leach) -Constituée autour d’éléments matériels et immatériels, articulés -Exemple autour de l’alimentation : classer, sélectionner… Trois concepts pour circonscrire les environnements organisés que sont les sociétés : Statuts / Rôles et Normes sociales.

5 Statuts/ Rôles/ Normes sociales Statut : Place occupée dans une société, qui nous positionne par rapport aux autres. Rôles associés aux statuts. Rôles et statuts définissent un cadre de relation aux autres. Les normes : 3eme élément de ce cadre. Une norme = façon de faire prescrite. Attitude valorisée à un moment de l’histoire de la société. Les normes varient en fonction des sociétés et des milieux sociaux. Fonction des normes : Constituer un cadre moral, un ordre avec lequel nous organisons nos vies et nos rapports aux autres.

6 CULTURE Toutes les sociétés font cohésion autour d’éléments de culture. Trois dimensions : - Matérielle - Immatérielle (ou idéelle) - Corporelle La culture s’exprime dans les corps (Cf M. Mauss et ses « techniques du corps ») La culture = un ensemble de « biens » matériels et idéels « Un ensemble complexe incluant des savoirs, des valeurs, des croyances, des connaissances sur le monde, qui permettent à chacun de nous de produire du sens sur ce monde. Cet ensemble est acquis par l’homme vivant en société, pour penser, manipuler, contrôler son environnement. » La culture trouve des expressions spécifiques selon les sociétés.

7 Cultures et sociétés : Cadre de l’action. Eléments culturels = des ressources pour les individus. Orientation de l’action. Intériorisation de « Valeurs » constitutives d’une culture. Valeurs = des traits culturels normatifs : elles sont relatives et mouvantes Donc : il se produit de l’acculturation Comment les individus se saisissent-ils de ce cadre ? Les cadres sont d’abord collectifs avant de devenir individuels par la médiation de l’éducation et des socialisations.

8 Méthodologie Partir des actions concrètes des individus pour remonter vers les systèmes sociaux et culturels en arrière plan. Partir du point de vue des acteurs : Observations et entretiens Anthropologie compréhensive : Science de l’interprétation du sens que les individus investissent dans leur action. Une société existe en tant qu’un ensemble d’associations d’individus en interaction (Simmel, Weber) Socialisation : « Apprentissage de la vie sociale dans les formes et le fond qui sont ceux de son environnement social. »

9 Anthropologie de la santé Mettre en lien santé et sociétés Exemple des pratiques alimentaires : Travailler sur des sensibilités alimentaires Un ordre symbolique : du prescrit – du proscrit Claude Lévi-Strauss : Ce qui est bon à manger doit être bon à penser. Travailler sur la logique de proximité et les formes de classement Travailler sur la place des mythes : c’est-à-dire des histoires que les gens se racontent, ou qu’ils entendent raconter, qui se sont incorporées au patrimoine collectif…. Travailler sur les « aliments de base » d’une culture Interroger leur valeur identitaire

10 Anthropologie de la santé Mettre en lien les manières de penser la santé et la maladie, le risque, avec les comportements des individus et les environnements sociaux. Considérer santé et maladie, médecine et savoirs médicaux comme des constructions sociales. Constructions sociales : Exemple des Thonga d’Afrique de l’Est / les vers intestinaux – maladie infectieuse chez les Indiens d’Amazonie Différences de conceptions de la santé et de la maladie en fonction de la culture, de la société. Travailler sur des conventions sociales Exemple de la douleur : s’interroger sur l’expérience de la douleur et l’individu dans son entier qui la ressent : c’est un phénomène et un individu pour l’éprouver.

11 La construction sociale de la douleur Place du savoir profane Place de l’interprétation Place du genre : c’est-à-dire le « sexe social » __________

12 LE CORPS Elément privilégié sur lequel le social et le culturel viennent s’inscrire. Comment le corps est-il dompté par le social (socialisé) ? Marcel MAUSS et les techniques du corps (manières de se saluer, de marcher, se reposer) : étudiées dès 1925-30. Pour penser l’habitus (repris par Bourdieu notamment) Norbert Elias et le processus de civilisation Le traité d’Erasme « De la civilité puérile » : 1 ère traduc. Française 1537 Le corps permet de fabriquer de la distinction sociale

13 CORPS SUITE Travail sur un « ordre social incorporé » : Raisonner en passant du corps « naturel » au corps construit D. MEMMI Le corps comme lieu de contrôle social et de régulation Exemples autour du corps procréateur Place du cadre légal Place de l’incitation financière Place des catégories de l’acceptable et de l’inacceptable Place des valeurs sociales -> gouvernement des corps par la parole Donc : nécessité de penser un corps pluriel

14 Interprétation et représentations Interpréter = Elaborer des significations, donner du sens. Quel sens l’individu donne-t-il à cette action ? Approche compréhensive des conduites : Travail sur les représentations sociales. Représentation sociale : Forme de connaissance pratique qui permettra d’agir.

15 Pourquoi représentation sociale ? Elaboration de la représentation : - À travers les cadres de notre bagage culturel. - A partir des informations, savoirs propres à une société - A partir des codes, valeurs, idéologies liés aux positions sociales des individus. -Influencée par l’histoire personnelle d’un individu – ses expériences antérieures, singulières - A partir du contexte immédiat (facteurs contingents) Dans la représentation d’une maladie, d’un traitement, etc., le culturel, le social et l’histoire personnelle de l’individu se combinent.

16 Représentation -Représenter = Tenir lieu de, être à la place de… -Dimension sociale dans l’élaboration du contenu ET dans la production finale -Différence entre réel et réalité : la réalité = le réel représenté -> Exemple autour de la notion de traumatisme -> Un des objectifs de l’anthropologie : Décrire le contenu des représentations et affranchir la maladie de la seule dimension naturaliste.

17 REPRÉSENTATION DE LA MALADIE Maladie = réalité multi-dimentionnelle Disease : maladie du médecin et de la biomédecine La plus objective possible « d » de docteur Illness : maladie du malade Place de la représentation, du vécu, du ressenti « i » de individu Sickness : regard social sur la maladie « s » de société. Exemple de la tuberculose

18 LA MALADIE En anthropologie : la maladie est un mélange de biologique et de social « Etudier la maladie et la guérison rêvées, imaginées, fantasmées, représentées c’est -à -dire vécues » (F. LAPLANTINE) Et dans la science ? Y a-t-il des représentations ? Exemple de G. Vigarello : Inoculer pour protéger. Travail historique sur la variole Rôle de Mary Montagu Rôle des statistiques : Jurin

19 MÉTHODOLOGIE Différence entre explication et compréhension Avec l’explication : système cause - effet Nombre limité de facteurs Avec l’approche compréhensive: tenir compte de l’ensemble des faits qui conduisent à la compréhension d’un phénomène Comment est-ce qu’ils s’agencent ? Comment sont-ils mobilisés par les individus ? L’entretien qualitatif Pour formuler des questions, plutôt que faire répondre Exemplarité des cas : l’Individu est un témoin et un « produit » du social

20 Les itinéraires thérapeutiques Mettre l’accent sur l’ensemble des facteurs médicaux et sociaux impliqués dans la recherche de soin chez un individu malade, depuis l’apparition d’un trouble jusqu’à sa résolution. Modèle type d’itinéraire thérapeutique décrit par les anthropologues 1- Identifier une douleur, gêne comme un problème. 2- Donner un sens, attribuer une cause. 3- Trouver une solution. soit l’ensemble des éléments impliqués dans une quête thérapeutique singularisée

21 Les itinéraires thérapeutiques Un cheminement - une suite de raisonnements et de décisions qui s’agencent. Recherche autour de ces trois séquences : Articulation ? Organisation ? Reconstruction des raisonnements et des décisions des individus et recherche des dimensions sociales qui les sous-tendent. Reconstituer, autour d’une pathologie, les éléments matériels et immatériels, structurels et conjoncturels que l’individu va prendre en compte pour agir.

22 Précodage symbolique Précodage symbolique : Connexions possibles que l’individu peut établir a priori entre un mal et une cause = Registre profane d’interprétation d’une maladie Pour donner du sens, les sociétés possèdent des modèles de connexion a priori. Nous travaillons l’agencement de ces variables. Avec deux grands modèles étiologiques : registres des conceptions exogènes ou endogènes.

23 Les conceptions exogènes et endogènes Conceptions exogènes : Maladie issue d’un facteur extérieur néfaste - Conditions de vie… - Virus, bactérie… - Agent humain (sorcellerie…) Conceptions endogènes : Maladie dont la cause réside dans l’individu (Notion de responsabilité partielle de l’individu).

24 Le recherche du sens La recherche de sens face à la maladie ou son diagnostic comporte au plus 4 opérations et questions qui leur correspondent. (A. Zempléni ) 1 – Quelle maladie ? 2 – Comment est-elle survenue ? 3 – Qui ou quoi l’a produite ? 4 – Pourquoi ? (Recherche de la cause ultime ou finale) Universalité des opérations mais singularité de leur association en fonction des cultures.

25 Les causes de la maladie MaladieCauseAgentOrigine - Quelle maladie ? Terminologies courantes, entité nosologique. Symptômes - Comment ? Cause instrumentale ou immédiate. Moyen / mécanismes - Quoi ou qui ? Cause efficiente. Forces actives - Pourquoi ? Cause ultime Evénements Questions privilégiées par la biomédecine Questions privilégiées dans les sociétés traditionnelles

26 Désordre biologique… Peut être le signe d’un désordre social… D’où une prise en charge sociale. Maladie : « gendarme social », peut être pensée comme une « sanction ». Dans ce contexte, la maladie ne peut se limiter au corps individuel Médecine occidentale pouvant être perçue comme insuffisante car inefficace pour penser les connexions liées à l’origine du mal.

27 Lecture politique des itinéraires de soins Les soins appartiennent aussi à la sphère politique. En France, discours sur la prise en compte de l’individu dans sa complexité, son IDENTITE : ce que chacun de nous acquiert avec sa culture. Identité : Acquisition sociale et culturelle et rapport que l’individu entretient avec lui-même. Dispositifs pour prendre en compte les « cultures » autres : consultations transculturelles : Comment est pensée la différence dans les soins. T. Nathan Points positifs (prise en compte de la culture) mais effets pervers : Ex du saturnisme infantile

28 SATURNISME INFANTILE Intoxication liée aux vieilles peintures contenant du plomb Toxicité neurologique préoccupante chez les enfants Pathologie de l’habitat ancien et dégradé 84-85 : premiers cas diagnostiqués à Paris, dans une population d’origine Sub-saharienne Pathologie identifiée depuis le début du 20 ème siècle en Amérique du Nord Les premières mesures d’urgence : loi sur l’exclusion de 1998. - on culturalise le phénomène.

29 Attention au « tout culturel » Tout expliquer par le « culturel » met de côté l’origine différente de certains problèmes de santé (politique de logement…) Risque d’enfermer l’individu dans sa culture Permet d’éluder les questions comme les conditions d’existence de certains familles immigrées : les places qu’on leur laisse dans la société d’accueil. Ne pas tomber dans les deux extrêmes : Réifier la culture (la rigidifier) ou traiter les phénomènes culturels comme peu marquants : TOUT INDIVIDU EST EN TENSION ENTRE CES DEUX POLES

30 SATURNISME INFANTILE Qu’est-ce que la différence ? Question fondamentale : rapport entre changement (de société, d’identité…) et persistance : identité persistante / élément de culture etc… Assignation d’identité : mécanisme qui consiste à attribuer une ou des propriétés à un être, une chose…. Identification : processus sociaux sous-jacents à nos existences en société Identité versus Altérité

31 RELATION MÉDECIN MALADE Relation : interaction et échange d’informations dans un contexte précis : dans le cadre médical Relater, raconter sa maladie, donner des informations Dans un cadre historiquement asymétrique Dans le contexte de sociétés « traditionnelles » : soit événement isolé, soit forme atypique de la maladie Prise en charge rituelle Des thérapeutes qui s’appuient sur leur propre expérience de la maladie

32 Les rites de passage Rites d’agrégation Retour auprès des proches, des siens Redéfinition identitaire, nouveau statut de non malade Rites de marge Isolement Epreuves (physiques et morales) Règles différentes de celles de la vie quotidienne Rites de séparation Consultation des thérapeutes Préparation du malade à quitter les siens (pour un temps plus ou moins long Phase post-liminairePhase liminaire « no man’s land » Phase préliminaire Arnold Van Gennep (1909)

33 Les rites de passage (A. Van Gennep) Notion de « séquence cérémonielle » Rites de passage : Actes spéciaux, apprentissages ou cérémonies qui font passer l’individu d’une situation déterminée à une autre situation tout aussi déterminée Rites de passage : reflètent un changement d’état Forme ternaire.

34 RELATION MÉDECIN MALADE Alain de Broca : tensions entre le savoir et le croire Savoir sans croire = déni Croire sans savoir Ne pas savoir, ni croire : rupture thérapeutique But de la relation thérapeutique : savoir et croire dans ce savoir ? L’empathie est-elle nécessaire ? « L’empathie consiste à saisir avec autant d’exactitude que possible les références internes et les composantes émotionnelles d’une autre personne et à les comprendre comme si l’on était cette autre personne ». Carl Rogers Travail d’imagination

35 EMPATHIE Pas de confusion entre l’autre et soi Empathie n’est pas sympathie Pas de nécessité d’adhésion au « croire » de l’autre Apprentissage de la mise à distance dans la formation : soigner des maladies B. Good : « Le monde de la médecine se construit comme distinct du monde vécu (c’est-à-dire du monde de tous les jours) : c’est un monde empli d’objets qui ne font pas partie de notre monde de tous les jours. Etudier la médecine, c’est se familiariser avec cet univers particulier, cela implique d’entrer dans une tout autre réalité (…). Le corps humain s’y révèle en détail, hiérarchiquement, indéfiniment ».

36 LA « FABRICATION » D’UN MÉDECIN E. HUGHES : a étudié la trame de la formation des médecins (aux E.U.) Apprentissage d’une « culture » médicale Et d’une philosophie de base Apprentissage formel Initiation Conversion 4 moments : Séparation – Passage à travers le miroir – Dédoublement de soi - Identification au rôle professionnel A. Ehrenberg

37 E. FREIDSON : « Le propre de la médecine et des médecins, est de créer la maladie » ; Dans son aspect social : par le diagnostic : Il installe la personne dans son état de malade Possibilité pour le malade de se penser comme malade, et de se vivre comme tel La personne devient un patient, inscrit dans un ensemble d’institutions

38 Distanciation dans et par l’écrire et le parler Place de la technique dans ce processus : interroger sa fonction symbolique Distanciation = un moyen, non une finalité Le drame social du travail : différence fondamentale dans la conception de l’urgence : entre ceux qui demandent un service, et ceux qui le fournissent. « L’urgence des uns, est la routine des autres »

39 LA PROFESSION MÉDICALE L’autorité de la profession médicale : approcher ses dynamiques sociales M. Arliaud : chronologie problématisée Place des connaissances scientifiques dans cette évolution Place des ruptures sociales : à partir de la Révolution Française Cadres corporatifs supprimés en 1791 : peut exercer « tout citoyen muni d’une patente » 1792 : A bas les universités !! L’hôpital : mouroir. Institution de séparation, d’exclusion Place au officiers de santé

40 Officiers de santé (de 1791 à 1803) : tous les protagonistes des arts de guérir (docteurs en médecine et autres) 10 mars 1803 : loi qui pose que pour exercer, il faut le doctorat ou un brevet de santé : les officiers de santé sont alors uniquement ceux instruits dans une école de santé Jusqu’en 1892 1845 : Congrès médical et prise de position unifiée des docteurs en médecine : pour un arrêt de la formation des officiers de santé

41 Droit de syndicat : 1884 Place de l’organisation d’un combat collectif dans l’évolution de la « lutte sociale » Loi du 30 novembre 1892 : « nul ne peut exercer la médecine en France s’il n’est muni d’un diplôme de docteur en médecine, délivré par le gouvernement français, à la suite d’examens subis devant un établissement d’enseignement supérieur médical de l’Etat ». Cadre légal de la médecine contemporaine

42 Soit : reconfiguration des rapports de force Echanges de nature essentiellement politique Rôle crucial de l’Etat Des mouvements qui ont permis une modification du développement des connaissances médicales La profession médicale a acquis ses lettres de noblesses : sous l’effet de ses succès d’une profession plus structurée poursuivant les mêmes intérêts avec des patients de plus en plus réceptifs autorité médicale socialement distribuée

43 Noms utilisés en CM -L. H. MorganA. Zempleni -E. TylorT. Nathan -E. LeachA. Ehrenberg -P. Bourdieu A. De Broca -M. MaussA. Strauss -G. Simmel et WeberE. Hughes -C Lévi-StraussM. Arliaud -N. EliasA. Van Gennep -F. LaplantineE. Freidson -B. GoodD. Memmi


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