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BRITO LOBATO Randy Anthologie Sur L’Amour.

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1 BRITO LOBATO Randy Anthologie Sur L’Amour

2 Préface La poésie, c’est quelque chose de libre, on peut s’inspirer de tout ce qui nous entoure, que ce soit de notre vie quotidienne, de la vie sentimentale, et de l’environnement (le paysage), qui à mon avis peut se transformer en poésie dès ces éléments nous ont inspirés. La poésie ce n’est pas une invention, un objet qu’on doit chercher à créer mais une inspiration magique qui vient soudain envahir notre pensée. Elle représente la liberté de s’exprimer avec un rythme qui résonne comme une chanson. J’ai choisi le thème de l’amour, car il est connu pour être un sentiment beau, comme la joie d’aimer, le bonheur d’aimer une autre personne et de se sentir aimé, mais aussi un sentiment douloureux, car sa durée est aléatoire et qu’il y a des moments de tristesse après une rupture amoureuse d’un couple. Il y a aussi plusieurs façons d’aimer. C’est un sentiment qui est beaucoup utilisé dans les poèmes par les poètes, le plus souvent adressé ou destiné à une personne, femme ou homme, mais aussi, à un objet, un animal, ou à un ami etc. Mon choix des poèmes porte sur l’amour entre les humains, entre deux personnes : - « O ma douce moitié », de Pierre de Ronsard ( ) : je l’ai choisi parce ce qu’il parle de l’amitié qui se transforme en amour. Le poète dit aussi que quelle que soit leur relation dans le futur, ils resteront toujours amis. - « Amour, adieu », de Pierre de Brach ( ) : je l’ai choisi parce que le poète dit dans son poème au revoir à un amour infidèle, à un amour qui n’est pas réciproque. Pour l’illustrer j’ai choisi « Les adieux de Coriolan a sa femme », d’Aubry Etienne, parce que par son titre l’illustration parle d’un homme qui fait ses adieux à sa femme et que le poème parle d’un homme qui dit adieu à une femme qu’il aime. - « Chagrin », de Pierre Corneille ( ) : je l’ai choisi parce qu’il parle du pouvoir de la femme sur l’homme, et aussi de la faiblesse de l’homme. - « A Laure », d’Alfred de Musset ( ) : j’ai choisi ce poème parce qu’il est adressé a une femme et que le poète se pose des questions sur leur relation, après qu’ils aient rompu.

3 - « Le premier amour », de Marceline Desbordes-Valmore ( ) : j’ai choisi ce poème parce qu’elle parle d’un souvenir d’amour qui n’a pas duré. Comme illustration, j’ai choisi une photographie d’un couple se regardant dans les yeux ; son traitement en noir et blanc peut faire penser à une photo souvenir, qui illustre bien le premier amour. - « L’amour caché », Félix Arvers ( ) : ce poème parle d’un amour impossible. L’illustration choisie est « Les amants » de René Magritte et montre un couple voilé, donc on pourrait penser que ce sont deux inconnus qui s’embrassent, puisque le poète s’adresse à une inconnue pour qui lui-même est inconnu. - « Jeune fille l’amour, c’est d’abord un miroir », de Victor Hugo ( ) : je l’ai choisi parce qu’il explique les deux faces de l’amour, d’un coté il est beau et de l’autre il est sombre. - « A celle que j’aime », de Nérée Beauchemin ( ) : j’ai choisi ce poème parce que pour Beauchemin, il faut avoir le mélange de trois éléments pour pouvoir aimer. - « Nouvel Amour », d’Alphonse Beauregard ( ) : j’ai choisi ce poème parce qu’il dit que l’amour amène à se poser des questions sur la durée d’une relation amoureuse, qui au début, est belle (parfaite) et qui finit par mourir. - « Je t’aime », de Paul Eluard ( ) : A mon avis ce poème s’adresse à une femme à qui il cherche à démontrer la grandeur de son amour. Pour l’illustrer j’ai choisi « Roméo et Juliette », de 1884, de Franck Bernard Dicksee parce que c’est une merveilleuse histoire d’amour connue. J’ai choisi de les classer par ordre chronologique, pour montrer l’évolution de l’amour au fil des années.

4 Ô ma douce moitié Voulant, ô ma douce moitié,  T'assurer que mon amitié  Ne se verra jamais finie,  Je fis, pour t'en assurer mieux  Un serment juré par mes yeux  Et par mon cœur et par ma vie. Tu jures ce qui n'est à toi ;  Ton cœur et tes yeux sont à moi  D'une promesse irrévocable,  Ce médis-tu. Hélas ! au moins  Reçoit mes larmes pour témoins  Que ma parole est véritable ! Alors, Belle, tu me baisas,  Et doucement désattisas  Mon feu, d'un gracieux visage :  Puis tu fis signe de ton œil,  Que tu recevais bien mon deuil  Et mes larmes pour témoignage. Pierre de Ronsard, Poésies diverses (1587). Pierre de Ronsard ( ) Célèbre poète français, il publie de nombreux œuvres comme en 1552 le recueil Les Amours où la plupart des poèmes sont destinés à Cassandre, à Marie et à Hélène, «  Sonnet pour Hélène » (1578). Son poème « O ma douce moitié » est publié dans le recueil Poésie diverse en 1587. Son poème parle d’un amour platonique de l’époque. Il aime une amie, et il dit que même s’ils ont une relation amoureuse pour lui rien ne changera et qu’ils seront toujours amis et qu’il peut le prouver.

5 Amour, adieu Amour, adieu, je prends congé de toi Amour, adieu, je m’en vais, je te laisse, Je ne veux plus aimer cette maitresse Qui m’a tenu si longtemps en émoi. Je ne veux plus la voir rire de moi, S’éjouissant de me voir en tristesse. Ni son bel œil, qui m’œillade sans cesse, Ni de sa bouche une parjure foi, Ni sa beauté, de moi tant admirée, Ni de ses yeux une flèche tirée, Ne me vaincront pour me rendre encor sien. Adieu donc, l’œil, adieu doncques, la bouche, Adieu, beauté, adieu, flèche sans touche, Cruelle, adieu, car je ne suis plus tien. Pierre de Brach, Les Amours d’Aymé (1971). Pierre de Brach ( ) Né à Bordeaux, c’est un avocat, un poète et éditeur français au XVIe siècle. Il fait des études de droit à Toulouse, après avoir fini ses études il retourne à Bordeaux où il exerce le métier d’avocat. Il est ami avec certains poètes (Guillaume du Bartas, Pierre de Ronsard, Michel de Montaigne). Et il publie : -Les poèmes de Pierre de Brach en 1576 -Imitation de Pierre de Brach en 1584 : Aminte, fable bocagère prise de l’italien, l’olymphe, et imitation de l’Arioste. Il y a aussi des éditions modernes sur Pierre de Brach comme par exemple les amours d’Aymé ou se situe le poème « Amour, Adieu » publié en 1971. Dans son poème « Amour, adieu », il dit au revoir à une femme qu’il aime d’un amour non réciproque parce qu’elle ne l’aime pas. Elle profite de sa faiblesse pour se moquer de lui, donc il lui dit au revoir parce qu’il ne veut plus être soumis, et que rien ne le fera revenir auprès d’elle.

6 Les adieux de Coriolan a sa femme, Aubry Etienne

7 Chagrin Usez moins avec moi du droit de tout charmer ;  Vous me perdrez bientôt si vous n'y prenez garde.  J'aime bien a vous voir, quoi qu'enfin j'y hasarde ;  Mais je n'aime pas bien qu'on me force d'aimer. Cependant mon repos a de quoi s'alarmer ;  Je sens je ne sais quoi dès que je vous regarde ;  Je souffre avec chagrin tout ce qui m'en retarde,  Et c'est déjà sans doute un peu plus qu'estimer. Ne vous y trompez pas, l'honneur de ma défaite  N'assure point d'esclave à la main qui l'a faite,  Je sais l'art d'échapper aux charmes les plus forts, Et quand ils m'ont réduit à ne plus me défendre,  Savez-vous, belle Iris, ce que je fais alors ?  Je m'enfuis de peur de me rendre. Pierre Corneille, Poésie diverse (1862). Pierre Corneille ( ) C’est un poète, dramaturge français du XVIIe siècle, il publie plusieurs pièces de théâtres dont les plus célèbres sont Le Cid, Cinna, Polyeucte et Horace. En 1628, il entame une carrière d’avocat, puis en 1629 après un chagrin amoureux, il écrit ses premiers vers, puis sa première comédie, Mélite. A partir de 1650, ses pièces ne connaissent pas un grand succès, il cesse d’écrire durant plusieurs années. Mais il ne se résigne pas et revient sur scène avec La tragédie d’Œdipe. Corneille meurt à Paris, en 1684. Le recueil, Poésies diverses, propose 27 poèmes de Pierre Corneille dont « Chagrin » fait partie. Il est publié en 1862 par Charles Marty-Laveaux. Dans son poème « Chagrin », Corneille dit que les femmes usent de leurs charmes, qu’elles aiment charmer et comme lui c’est un homme, il se sent faible face à leurs charmes, donc il les met en garde que lui ne cèdera pas.

8 A Laure Si tu ne m'aimais pas, dis-moi, fille insensée,  Que balbutiais-tu dans ces fatales nuits ?  Exerçais-tu ta langue à railler ta pensée ?  Que voulaient donc ces pleurs, cette gorge oppressée,  Ces sanglots et ces cris ? Ah ! si le plaisir seul t'arrachait ces tendresses,  Si ce n'était que lui qu'en triste moment  Sur mes lèvres en feu tu couvrais de caresses  Comme un unique amant ; Si l'esprit et les sens, les baisers et les larmes,  Se tiennent par la main de ta bouche à ton cœur,  Et s'il te faut ainsi, pour y trouver des charmes,  Sur l'autel du plaisir profaner le bonheur : Ah ! Laurette ! ah ! Laurette, idole de ma vie,  Si le sombre démon de tes nuits d'insomnie  Sans ce masque de feu ne saurait faire un pas,  Pourquoi l'évoquais-tu, si tu ne m'aimais pas ? Alfred de Musset, premières poésies (1829). Alfred de Musset ( ) Né a Paris, c’est un poète et un dramaturge français, il abandonne ses études supérieures pour se mettre a la littérature, il publie son premier recueil à l’âge de 19 ans en 1829 contes d’Espagne et d’Italie puis par la suite Premières poésies d’où nous vient le poème « A Laure » et il publie aussi bien d’autre œuvres tels que des romans. Il s’inspire de sa relation amoureuse avec George Sand, à qui il destine de nombreux poèmes. Il meurt à Paris, de la tuberculose. Dans son poème « A Laure » on sent qu’Alfred de Musset suite à une rupture douloureuse, se pose des questions sur leur relation et se répond à lui-même. Il ne se remet pas de cette relation et à travers ce poème, il lui dit ce qu’il ressent (A Laure).

9 Le premier amour Vous souvient-il de cette jeune amie, Au regard tendre, au maintien sage et doux ? À peine, hélas ! Au printemps de sa vie, Son cœur sentit qu'il était fait pour vous. Point de serment, point de vaine promesse : Si jeune encore, on ne les connaît pas ; Son âme pure aimait avec ivresse Et se livrait sans honte et sans combats. Elle a perdu son idole chérie : Bonheur si doux a duré moins qu'un jour ! Elle n'est plus au printemps de sa vie, Elle est encore à son premier amour. Marceline Desbordes-Valmore, Romance (1830). Marceline Desbordes-Valmore ( ) Née à Douai, c’est une poétesse française, elle part en voyage, qui devait être un nouveau départ et qui finalement tourne en calvaire. Une fois retournée en métropole elle devient comédienne. C’est en 1819, qu’elle publie son premier recueil Élégie, par la suite elle publiera Marie puis Romance en 1830 dans lequel se situe le poème « Le premier amour ». Dans son poème Desbordes-Valmore parle d’une jeune femme insouciante qui tombe amoureuse pour la première fois, donc elle est en pleine découverte de l’amour et des émotions qui s’ensuivent, elle pense que c’est une relation à long terme, alors qu’elle se trompe mais reste nostalgique et ne cesse d’y penser.

10 Photographie tiré du film « Aux yeux du souvenir », de Jean Delannoy prise par Sam Levin.

11 L’amour Caché Mon âme a son secret, ma vie a son mystère,  Un amour éternel en un moment conçu :  Le mal est sans espoir, aussi j'ai dû le taire,  Et celle qui l'a fait n'en a jamais rien su. Hélas ! j'aurai passé près d'elle inaperçu,  Toujours à ses côtés, et pourtant solitaire.  Et j'aurai jusqu'au bout fait mon temps sur la terre,  N'osant rien demander et n'ayant rien reçu. Pour elle, quoique Dieu l'ait faite douce et tendre,  Elle suit son chemin, distraite et sans entendre  Ce murmure d'amour élevé sur ses pas. À l'austère devoir, pieusement fidèle,  Elle dira, lisant ces vers tout remplis d'elle  " Quelle est donc cette femme ? " et ne comprendra pas. Félix Arvers, Mes heures perdues (1833) Félix Arvers ( ) C’est un poète français, il publie des pièces de théâtre qui après avoir eu leur heure de gloire tombent dans l’oubli. Il publie un recueil de poèmes en 1833 Mes heures perdues d’où est tiré « L’amour Caché » le seul sonnet qui l’a rendu célèbre. Dans ce sonnet il exprime l’expérience douloureuse concernant son amour pour une jeune femme inconnue et mariée, qu’il aime en secret. C’est déjà perdu d’avance puisqu’elle ne l’a jamais su, donc il est condamné à souffrir en silence.

12 Les Amants (1928), de René Magritte

13 Jeune fille, l'amour, c'est d'abord un miroir
Jeune fille, l'amour, c'est d'abord un miroir Où la femme coquette et belle aime à se voir, Et, gaie ou rêveuse, se penche ; Puis, comme la vertu, quand il a votre cœur, Il en chasse le mal et le vice moqueur, Et vous fait l'âme pure et blanche ; Puis on descend un peu, le pied vous glisse... - Alors C'est un abîme ! en vain la main s'attache aux bords, On s'en va dans l'eau qui tournoie ! - L'amour est charmant, pur, et mortel. N'y crois pas ! Tel l'enfant, par un fleuve attiré pas à pas, S'y mire, s'y lave et s'y noie. Victor Hugo, Les voix intérieures (1837). Victor Hugo ( ) Né à Besançon, en France, c’est un poète français, qui est aussi un romancier et un dramaturge. Ses romans les plus connus sont Notre Dame de Paris en 1831 et Les misérables en Il écrivait avec simplicité et puissance les bonheurs et les malheurs de la vie. Il publie le recueil Les voix intérieures en 1837 ou se trouve le poème « Jeune fille, l’amour, c’est d’abord un miroir », ainsi que d’autres recueils. Il meurt à Paris en Dans son poème Hugo fait une mise en garde à une jeune fille, sur l’amour, tout en expliquant les points positifs et petit à petit les points négatifs qu’engendre l’amour.

14 A celle que j’aime Dans ta mémoire immortelle, Comme dans le reposoir D’une divine chapelle, Pour celui qui t’est fidèle, Garde l’amour et l’espoir. Garde l’amour qui m’enivre, L’amour qui nous fait rêver ; Garde l’espoir qui fait vivre ; Garde la foi qui délivre, La foi qui nous doit sauver. L’espoir, c’est de la lumière, L’amour, c’est une liqueur, Et la foi, c’est la prière. Mets ces trésors, ma très chère, Au plus profond de ton cœur. Nérée Beauchemin, Les Floraisons Matutinales (1897). Nérée Beauchemin ( ) Poète canadien, né dans la région de Québec, c’est un médecin qui consacre ses loisirs à la poésie. Il publie son premier recueil Les Floraisons Matutinales en 1897 d’où est tiré son poème « A celle que j’aime ». Puis par la suite « Patrie intime » en Il publia deux recueils alors qu’il était déjà âgé. Dans son poème « A celle que j’aime » il dit que pour aimer, il faut avoir trois notions l’amour, l’espoir et la foi. Il parle aussi de l’ivresse de l’amour.

15 Nouvel amour Comment savoir d'avance Si ce nouvel amour sera la vague immense Qui transportera l'âme ivre d'émotion, Jusqu'où s'annonce, enfin, la révélation, Ou s'il ira se perdre en fol espoir vivide, En trépignements dans le vide ? À sa famille de pensées Une femme nous présenta ; Ravi, nous avons dit, en phrases nuancées, Vers quel bonheur tendaient nos pas. Un soir de clair de lune, Un moment de tendresse et de rêve charnel, Où le monde paraît simple et presque irréel, Cette femme devient la grisante fortune Oue notre désir appelait. Le songe autour de nous danse un pas de ballet. Tout à coup transparaît en l'aimée une tache Qui nous hallucine, grandit, Éclipse ses vertus et cache Son charme de jadis. Et parce que la dissemblance Inéluctable entre les cœurs, Avança par hasard son jour de délivrance, Le bel amour nouveau se meurt. Alphonse Beauregard, Les alternances (1921). Alphonse Beauregard ( ) Il est né au Canada, poète reconnu, mais peu connu en France, il abandonne ses études à la mort de son père. Il pratique divers métiers, et publie aussi des poèmes dès 1906 dans des journaux et des revues. Il publie de nombreuses œuvres telles que Les forces en 1912 et son recueil de poèmes Les alternances édité par Dupont et Roger Mallet à Montréal, où se situe le poème « Nouvel Amour » en 1921, qui est un poème classique. Alphonse Beauregard exprime dans son poème son sentiment lorsqu’un amour nait et montre peu à peu comment l’amour vient à se détruire.

16 Je t’aime Je t'aime pour toutes les femmes que je n'ai pas connues  Je t'aime pour tous les temps où je n'ai pas vécu  Pour l'odeur du grand large et l'odeur du pain chaud  Pour la neige qui fond pour les premières fleurs  Pour les animaux purs que l'homme n'effraie pas  Je t'aime pour aimer  Je t'aime pour toutes les femmes que je n'aime pas  Qui me reflète sinon toi-même je me vois si peu  Sans toi je ne vois rien qu'une étendue déserte  Entre autrefois et aujourd'hui  Il y a eu toutes ces morts que j'ai franchies sur de la paille  Je n'ai pas pu percer le mur de mon miroir  Il m'a fallu apprendre mot par mot la vie  Comme on oublie  Je t'aime pour ta sagesse qui n'est pas la mienne  Pour la santé  Je t'aime contre tout ce qui n'est qu'illusion  Pour ce cœur immortel que je ne détiens pas  Tu crois être le doute et tu n'es que raison  Tu es le grand soleil qui me monte à la tête  Quand je suis sûr de moi. Paul Eluard, Le Phénix (1951). Paul Eluard ( ) C’est un poète français. En 1913, il rencontre Helena Diakonova qu’il appelait Gala et publie son premier recueil Premiers Poèmes la même année. En 1929, il publie L’amour la poésie, un recueil qu’il dédie à Gala. Il publie bien d’autres œuvres par la suite telles que Poésie et vérité en 1942, Le temps déborde en 1947 qu’il publie une année après la mort de Nush qui l’a inspiré. Et Le Phénix en 1951 un recueil inspiré de l’amour de Dominique d’où est tiré le poème « Je t’aime ». Dans ce poème «  Je t’aime » Paul Eluard démontre à quel point son amour est fort et passe par divers exemples pour lui prouver l’étendue de ses sentiments

17 Roméo et Juliette, 1884, Franck Bernard Dicksee


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