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PARIS LE JARDIN DES TUILERIES vu par le petit bout de la lorgnette depuis les fenêtres du Musée des Arts décoratifs le 21 juillet 2011 Photographies et.

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1 PARIS LE JARDIN DES TUILERIES vu par le petit bout de la lorgnette depuis les fenêtres du Musée des Arts décoratifs le 21 juillet 2011 Photographies et textes de Jean-Paul BARRUYER

2 Un peu frisquet et pluvieux ce mois de juillet 2011 à Paris où nous avons décidé, mon épouse Christine et moi-même, de passer quelques jours de détente, flâneries, shopping et (re)découvertes culturelles. Comme à chaque passage dans la capitale, je ne peux mempêcher de traverser la majestueuse cour intérieure du Palais du Louvre, pourtant bondée de monde, avec ses files interminables de touristes étrangers devant lentrée du musée, cour que je connais fort bien depuis longtemps déjà, mais qui me procure à chaque fois un indicible plaisir des sens, surtout ceux du photographe. Je ne sais pas si cest la météo du jour qui en était la cause, mais soudain je me suis mis à rêver à dautres horizons, plus lointains, que javais visités en septembre 2010, lors de notre croisière au Proche-Orient, dans les sables brûlants dEgypte aux portes du Caire, au pied des Grandes Pyramides, sous une chaleur accablante de 40° et sans le moindre brin dombre salvatrice…

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7 Au cinéma, on appelle cela une transition, un fondu enchaîné, que je ne peux, hélas ! reproduire avec mon modeste appareil photo : En effet, Christine, pour me sortir de ma rêverie photographique et me faire accélérer le pas, me fait revenir à la dure réalité. Jétais bien devant de vieilles pierres, celle dune grande pyramide, mais pas tout à fait la même, et sous une température pas très chaleureuse…

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10 Quimporte ! La lumière était beaucoup moins violente, même pleine de douceur et de charme, car sil y a bien une chose que je déteste en photographie, ce sont les ciels uniformément bleus et les soleils accablants…

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12 Pour fuir la foule, nous nous réfugions dans un lieu culturel assez peu connu du grand public, donc beaucoup moins fréquenté que le grand Musée du Louvre, que je ne connaissais pas et que javais regretté de navoir pas découvert lors de ma précédente visite à Paris, je veux parler du Musée des Arts décoratifs auquel se joignent, dans les mêmes locaux, le Musée de la Mode et du Textile ainsi que le Musée de la Publicité. Ils sont, tous trois, regroupés dans laile nord-ouest du Palais du Louvre, le long de la rue de Rivoli, mais nont rien à voir avec le grand Musée du Louvre. Cest à voir, oui, mais sans plus. On y voit un peu de tout et de rien, de lintéressant et du moins intéressant. Cest très traditionnel dans la présentation muséographique. Je ne dirais pas que ça sentait la naphtaline, mais il y avait comme un air provincial avec cette chose qui magace toujours au plus haut point, le craquement des parquets, celui que lon rencontre souvent dans les vieux musées de province, sauf tout le respect que je dois à ces derniers. Il faut dire aussi que javais été assez vexé par un gardien du Musée de la Publicité qui somnolait paisiblement sur sa chaise (mais que dun œil), en attendant que sa journée de travail ne sachève, mais se mit soudainement à minterpeller pour minterdire la photo, moi qui la réalise toujours sans flash en ce genre de lieu pour le respect des œuvres et la sérénité des autres visiteurs ! De nos jours, cest souvent ainsi, vous payez un droit dentrée souvent important et navez pas même la possibilité de rentabiliser votre investissement culturel en vous réservant pour plus tard le plaisir de faire partager passions et émotions à vos proches. Il faut sans doute y voir là une exclusivité que le musée se réserve sur la vente de catalogues, reproductions et autres produits dérivés. Que voulez-vous, plus la manivelle du tiroir-caisse se met à tourner et sonner, meilleur cest pour la gestion de linstitution. Populaire la culture en France ?… Les une ou deux portes ouvertes organisées dans lannée sur tout le territoire laisseraient penser que oui. Moi, jen doute encore quand je me promène dans les grands musées de Londres, gratuits pour la plupart ! Heureusement, jai pu trouver une échappatoire à lennui pesant de ce musée en satisfaisant mes incessantes pulsions photographiques. Car ma curiosité ma poussé vers des fenêtres et œils-de-bœuf ouvrant sur le jardin des Tuileries ainsi que sur la rue de Rivoli au bord de laquelle trônait la Grande Roue. Dommage que les vitres fussent poussiéreuses, hypothéquant un peu la qualité des clichés à réaliser. Décidément, malgré les tarifs élevés du billet dentrée, les musées sont difficiles à entretenir. Mais, avouez quand même, le regard inhabituel porté sur ce haut lieu de la capitale valait vraiment le détour…

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54 Dommage que la magnifique Pyramide de verre de la cour du Louvre fût si difficile daccès à mon appareil depuis mon perchoir improvisé sous les toits. En cadrage, je nai pas pu aller au-delà de cette prise de vue…

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56 Si vous vous rendez prochainement à Paris, allez-y de nuit, cest tout simplement magique, comme ici lors dun reportage que jai réalisé en septembre 2004. Je ne connais pas de haut lieu architectural où le moderne se marie avec lancien avec autant délégance… Jean-Paul BARRUYER Mai 2012 Mai 2012

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58 jean-paul.barruyer@orange.fr


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