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SYSTÈME DE GESTION DE BASES DE DONNÉES

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1 SYSTÈME DE GESTION DE BASES DE DONNÉES
Animateur : M. HAIJOUBI

2 SOMMAIRE Traduire les opérations de l’algèbre Relationnelle en requêtes SQL. Exploiter l'environnement du SGBDR pour interroger une base de données. Exploiter les commandes de description de données. Exploiter les commandes de manipulation des données. Gérer des transactions. Utiliser les différents types d’objets sur une base de données. Sécuriser les données.

3 1

4 1. Traduire les opérations de l’algèbre Relationnelle en requêtes SQL
Le langage SQL Utiliser L’ordre SELECT Base de données exemple : Groupe(codeg,nomg) stagiaire(cin,nom,prénom,adresse,dn,ln,sexe, nb,codeg)

5 L’algèbre relationnelle
L'algèbre relationnelle est à l'origine du langage SQL (Structured Query Language) d'IBM, langage d'interrogation et de manipulation de tous les SGBDR actuels (Oracle, PostgreSQL, MySQL, MS SQLServer, MS Access et tous les autres). Une bonne maîtrise de l'algèbre relationnelle permet de concevoir n'importe quelle requête aussi complexe soit elle avant de la mettre en œuvre à l'aide du langage SQL Les opérations de base Projection Sélection Jointure Les opérations ensemblistes Union Intersection Différence Produit cartésien

6 La projection nom prénom ln dn Amrani Med Sefrou 30/12/1987 Saadi Maha
Opération qui consiste à extraire toutes lignes d’une table pour un sous ensemble de colonnes Exemple : Liste des nom,prénom des stagiaires Select nom,prénom from stagiaire nom prénom ln dn Amrani Med Sefrou 30/12/1987 Saadi Maha Fes 12/10/1988 Ayachi Rachida 11/08/1986 nom prénom Amrani Med Saadi Maha Ayachi Rachida SELECT nom, prénom FROM stagiaire

7 La sélection nom prénom ln dn Amrani Med Sefrou 30/12/1987 Saadi Maha
Permet de retenir les lignes répondant à une condition de sélection La condition est exprimée à l'aide des opérateurs =, >, <, >=, <=, <>, opérateurs logiques de base ET, OU, NON et éventuellement des parenthèses Exemple : SELECT * FROM stagiaire WHERE ln=‘FES’ nom prénom ln dn Amrani Med Sefrou 30/12/1987 Saadi Maha Fes 12/10/1988 Ayachi Rachida 11/08/1986 SELECT nom, prénom FROM stagiaire Where ln=‘Fes’ nom prénom ln dn Saadi Maha Fes 12/10/1988 Ayachi Rachida 11/08/1986

8 La jointure Cet opérateur porte sur 2 tables qui doivent avoir au moins un attribut défini dans le même domaine La condition de jointure peut porter sur l'égalité d'un ou de plusieurs attributs définis dans le même domaine nom prénom ln dn codeg Amrani Med Sefrou 30/12/1987 TDI1B Saadi Maha Fes 12/10/1988 TDI1A Ayachi Rachida 11/08/1986 TDI1C codeg nomg TDI1A Groupe A TDI1B Groupe B TDI1C Groupe C SELECT * FROM stagiaire,groupe WHERE stagiaire.codeg = groupe.codeg nom prénom ln dn codeg nomg Amrani Med Sefrou 30/12/1987 TDI1B Groupe B Saadi Maha Fes 12/10/1988 TDI1A Groupe A Ayachi Rachida 11/08/1986 TDI1C Groupe C

9 Union (OU) Cet opérateur porte sur deux tables qui doivent avoir le même nombre d'attributs définis dans le même domaine. On parle de tables ayant le même schéma. La table résultat possède les attributs des tables d'origine et les lignes de chacune, avec ou sans élimination des doublons éventuels.

10 Intersection (ET) Cet opérateur porte sur deux tables de même schéma
La table résultat possède les attributs des tables d'origine et les lignes communes à chacune.

11 Différence Cet opérateur porte sur deux tables de même schéma
La table résultat contient les lignes de la première table qui n'appartiennent pas à la deuxième

12 Produit cartésien Cet opérateur porte sur deux tables
La table résultat est formé par la concaténation de chaque ligne de la première table avec l'ensemble des lignes de la deuxième 18/2/2008 TDI1B 5h 21/2/2008 TDI1C 5h

13 TP01 : Création de la BD (30mn)
Dans cet exercice vous allez utiliser SQL Server pour créer la base de données EFP comprenant les deux tables : groupe et stagiaire. Démarrer SQL Enterprise manager Enregistrer votre serveur Créer la base de données Créer les tables Créer le schéma de la base de données Utiliser l’analyseur de requêtes pour interroger la BD

14 Le langage SQL En 1970, SQL (Standard Query Language, en français langage de requêtes structurées ) est né à la suite des travaux mathématiques de Codd (Directeur de recherche du centre IBM à San-José) , travaux qui ont fondé les bases de données relationnelles Suite à ces recherches plusieurs langages sont apparus : •IBM Sequel (Structured English Query Language) en •IBM Sequel/2 •IBM System/R •IBM DB2 En 1982, SQL fut lancé commercialement par IBM. SQL a subit 3 normalisations : •SQL1 en 1986 (version minimale) •SQL1 en 1989 (+ intégrité) •SQL2 en 1992 •SQL3 en 1999 Aujourd'hui SQL constitue le point d'entrée obligatoire sur une Base de Donnée relationnelle.

15 Utiliser l’ordre SELECT
SELECT [DISTINCT] */liste d’attributs FROM nom(s) de table(s) WHERE condition de sélection GROUP BY nom de l’attribut de regroupement HAVING condition de regroupement ORDER BY critère(s) de tri [ UNION | INTERSECT | MINUS SELECT ….. ] 22/2/2008 TDI1B 2h

16 DISTINCT Le résultat d’un SELECT étant un ensemble, il peut y avoir des doublons Le mot clé DISTINCT permet de préciser que l’on ne veut qu’un seul exemplaire de ces enregistrements Remarque : le résultat est une liste triée Exemple : liste des prénom des stagiaires SELECT prénom FROM stagiaire SELECT DISTINCT prénom FROM stagiaire

17 Opérateurs Arithmétiques
Vous pouvez utiliser les opérateurs arithmétiques * / pour effectuer des calculs Priorité des opérateurs : * et / sont prioritaires sur + et – Vous pouvez utiliser les parenthèses Exemple : SELECT nom, 2*nb FROM stagiaire

18 Les Valeurs NULL Une valeur NULL est une valeur non disponible, non affectée, inconnue ou inapplicable. Une valeur NULL est différente du zéro ou de l'espace. Le zéro est un chiffre et l'espace est un caractère Exemple : SELECT * FROM stagiaire WHERE nb IS NULL

19 Alias de Colonne Renomme l’en-tête de colonne
Est utile dans les calculs Suit immédiatement le nom de la colonne avec le mot-clé AS Doit obligatoirement être inclus entre guillemets s’il contient des espaces, des caractères spéciaux ou si il faut tenir compte des majuscules/minuscules Exemple : SELECT nom, 2*nb AS note FROM stagiaire

20 Opérateur de Concaténation
L'opérateur de concaténation (+) permet de concaténer des colonnes à d'autres colonnes, à des expressions arithmétiques ou à des valeurs constantes Exemple : SELECT nom + ’ ‘ + prénom AS NP FROM stagiaire

21 TP02 : Utiliser SELECT (20mn)
Écrire les requêtes qui permettent : Afficher la liste de tous les stagiaires Afficher la liste des villes de naissance sans doublons Afficher une liste qui comprend deux colonnes : une pour le nom et prénom concaténés et une autre pour l’adresse Afficher la liste des lieux et dates de naissance en définissant des aléas pour ces deux colonnes 28/2/2008 TDI1C (5h) 28/2/2008 TDI1A (2h)

22 la Clause WHERE Dans la clause WHERE, les chaînes alphanumériques et les dates doivent être incluses entre simples quottes Opérateurs de Comparaison Opérateur = > >= < <= <> Signification Egal à Supérieur à Supérieur ou égal à Inférieur à Inférieur ou égal à Différent de

23 L'Opérateur BETWEEN L'opérateur BETWEEN permet d'afficher des lignes en fonction d'un intervalle de valeurs Vous spécifiez un intervalle comprenant une limite inférieure et une limite supérieure Exemple : SELECT * FROM stagiaire WHERE nb BETWEEN 12 AND 13

24 Opérateur IN Permet de comparer une expression avec une liste de valeurs, utilisez l'opérateur IN Opérateur d’appartenance à un ensemble de valeurs Exemple : SELECT * FROM stagiaire WHERE ln IN (‘taza’,’sefrou ‘,’rabat’)

25 Opérateur LIKE L'opérateur LIKE permet d’effectuer une comparaison partielle Il est surtout employé avec les colonnes contenant des données de type alphanumériques Il utilise les jokers % et _ (‘pour cent’ et ‘blanc souligné’). Le joker % remplace n'importe quelle chaîne de caractères, y compris la chaîne vide. Le blanc souligné remplace un et un seul caractère. Exemple : SELECT * FROM stagiaire WHERE nom LIKE ‘%BA%’

26 AND Intersection OR Union NOT négation Opérateurs Logiques
Un opérateur logique combine le résultat de deux conditions pour produire un résultat unique ou inverse le résultat d'une condition unique. SQL inclut trois opérateurs logiques : AND Intersection OR Union NOT négation 25/2/2008 TDI1B (4h) + (1h nettoyage)

27 L’opérateur AND = intersection
sexe=‘M’ AND ln=‘Fes’

28 L’opérateur OR = Union sexe = ‘M’ OR ln=‘Fes’

29 Le tri ORDER BY ORDER BY colonne1 | 1 [ASC ou DESC ] [, colonne2 | 2 [ASC ou DESC ] ... La clause ORDER BY sert à trier les lignes ASC (ascending) classe les lignes en ordre croissant. C'est l'ordre par défaut. DESC (descending) classe les lignes en ordre décroissant. Exemple : SELECT * FROM stagiaire ORDER BY sexe, nb DESC

30 La clause TOP La clause TOP n permet d’afficher les n premières lignes de la requête Exemple : SELECT TOP 5 * FROM stagiaires ORDER BY nb DESC

31 TP03 : la clause WHERE (30mn)
Développer les requêtes suivantes : Liste des stagiaires ayant une note du bac supérieure à 12 Liste des stagiaires de sexe féminin puis celle des stagiaires masculins Liste des stagiaires né à Taza puis ceux qui ne sont pas nés à Fes Liste des stagiaires qui portent les prénoms : Fatima, Meryem ou Ahmed Les stagiaires qui habitent le quartier Benslimane Les stagiaires de sexe masculin ayant plus de 12 dans la note du Bac Les stagiaires ayant une note entre 11 et 12 Liste des stagiaires triée dans l’ordre décroissant des notes Liste des stagiaires triée par sexe puis par nom 26/2/2008 TDI1B 2h

32 Fonctions mono ligne Fonctions de traitement des chaînes de caractères
Fonctions numériques Fonctions Date Fonctions de Conversion de type

33 Fonctions de traitement des chaînes
Les fonctions scalaires suivantes effectuent une opération sur une valeur de type chaîne et renvoient une valeur numérique ou de type chaîne. LEN : longueur d’une chaîne LEFT RIGHT SUBSTRING : extraction LOWER UPPER : majuscule/minuscule LTRIM RTRIM : supprimer espaces REVERSE : Renvoie l'inverse d'une expression de type caractère DIFFERENCE : compare deux chaînes et renvoie une valeur de 0 à 4 (0 indique peu ou pas de similarité, 4 indique une forte similarité )

34 La fonction LEN Renvoie le nombre de caractères d'une expression de chaîne, à l'exception des espaces de droite en fin de chaîne Syntaxe LEN ( string_expression ) Exemple : dans l'exemple ci-après, le nombre de caractères et les données figurant dans le nom du stagiaire sont sélectionnés SELECT LEN(nom), nom FROM Stagiaire

35 Les fonctions LEFT,RIGHT et SUBSTRING
Extraction d’une sous chaîne de caractères Syntaxe : LEFT ( chaîne , longueur ) RIGHT ( chaîne , longueur ) SUBSTRING ( chaîne , début , longueur )

36 Les fonction UPPER et LOWER
Conversion majuscule (UPPER) et minuscule (LOWER) d’une chaîne de caractères alphabétiques Syntaxe : UPPER ( chaîne ) LOWER ( chaîne )

37 Les fonction LTRIM et RTRIM
Suppression des espaces à gauche (LTRIM) ou à droite (RTRIM) d’une chaîne de caractères Syntaxe : LTRIM ( chaîne ) RTRIM ( chaîne )

38 TP05 : Traitement des chaînes (20mn)
Développer les requêtes suivantes Liste des noms et longueurs des noms des stagiaires. Puis trier la liste dans l’ordre décroissant des longueurs des noms. Afficher une liste contenant les cinq premiers caractères du nom. Puis une autre liste avec les cinq derniers caractères du nom. Liste des adresses en majuscule avec les lieux de naissance en minuscule. Liste des adresses inversées Afficher tous les prénoms similaires à « FATM » 27/2/2008 TDI1D 5h 28/2/2008 TDI1A 5h

39 Fonctions numériques Les fonctions numériques utilisent et ramènent des valeurs numériques. ROUND : calculer l’arrondi CEILLING : trouver l’entier immédiatement supérieur ou égal FLOOR : valeur entière

40 Fonctions Date Date = Année, mois, jour, heure, minute, seconde, milliseconde Les fonctions scalaires suivantes effectuent une opération sur une valeur d'entrée de type date et heure et renvoient une valeur numérique, une valeur de type date ou heure, ou une chaîne. Quelques fonctions DATEADD DATEDIFF DATEPART DAY MONTH YEAR

41 La fonction DATEADD Renvoie une nouvelle valeur datetime calculée en ajoutant un intervalle à la date spécifiée. Syntaxe DATEADD ( intervalle , nombre, date ) Intervalle Abréviations year yy, yyyy quart qq, q month mm, m dayofyear dy, y day dd, d week wk, ww weekday dw hour hh minute min second ss, s millisecond ms

42 La fonction DATEDIFF DATEDIFF : renvoie le nombre de limites de date et d'heure traversées entre deux dates données. Syntaxe DATEDIFF ( intervalle , dateDebut , dateFin ) Exemple : calcul de l’age des stagiaires SELECT DATEDIFF(year, dn, getdate()) FROM stagiaire

43 La fonction DATEPART Renvoie un entier représentant l'élément de date précisé dans la date spécifiée. Syntaxe : DATEPART ( intervalle , date ) Exemple : SELECT DATEPART(month, dn) FROM stagiaire

44 DAY, MONTH et YEAR Ces fonctions renvoient respectivement le jour, mois et année d’une date donnée Syntaxes : DAY ( date ) MONTH ( date ) YEAR (date)

45 TP06: gestion des dates (30mn)
Développer les requêtes suivantes : Liste des nom et année de naissance des stagiaires Liste des noms et ages des stagiaires Liste des stagiaires nés un Jeudi Liste des stagiaires nés au mois de Juillet Les noms et prénoms des stagiaires nés entre 15/3/1985 et le 14/3/1987 6/3/08 TDI1C (5h) correction à faire la séance prochaine

46 Fonctions de conversion de type
STR Convertit un nombre en chaîne de caractère ASCII Renvoie le code ASCII du caractère placé à l'extrême gauche d'une expression de caractères CHAR : convertit un code ASCII int en un caractère CAST et CONVERT : Convertit explicitement une expression d'un type de données en une expression d'un type de données différent. CAST et CONVERT offrent la même fonctionnalité.

47 Interroger plusieurs tables
Le produit cartésien L’équi-jointure L’auto-jointure Les jointures externes Opérations ensemblistes

48 = X Le produit cartésien
Le produit de deux tables permet d’obtenir toutes les combinaisons de lignes de ces deux tables SELECT * FROM stagiaire, groupe cin nom codeg B2501 Ali tdi1a C2103 Laila D1254 Said codeg nomg tdi1a Groupe A tdi1b Groupe B X cin nom codeg nomg B2501 Ali tdi1a Groupe A C2103 Laila D1254 Said tdi1b Groupe B =

49 L’equi-jointure = = = ≠ ≠ ≠
On appelle équi-jointure une jointure dont la qualification est une égalité entre deux colonnes. Select * FROM stagiaire, groupe WHERE stagiaire.codeg = groupe.codeg Select * FROM stagiaire INNER JOIN groupe ON stagiaire.codeg = groupe.codeg cin nom codeg nomg B2501 Ali tdi1a Groupe A C2103 Laila D1254 Said tdi1b Groupe B = = =

50 Alias de table Il est possible d’utiliser des aléas des tables utilisé dans une jointure pour simplifier l’écriture de la requête SQL Exemple : SELECT nom, nomg FROM stagiaire s, groupe g WHERE s.codeg = g.codeg

51 L’auto-jointure C'est une jointure d'une table avec elle-même
Utile lorsqu'on souhaite relier des attributs qui se trouvent à l'intérieur d'une même table Exemple : afficher les couples de stagiaires (noms) nés à la même ville SELECT s1.nom, s2.nom FROM stagiaire s1, stagiaire s2 WHERE s1.ln = s2.ln AND s1.cin<>s2.cin

52 Les jointures externes
Une equi-jointure ne renvoie des lignes que si la colonne de jointure d'une table est égale à la colonne de jointure de l'autre table Il peut être utile d'afficher toutes les lignes d'une table qu'il y ait ou non correspondance avec l'autre table de jointure Les colonnes pour lesquelles il n'y a pas de correspondance sont remplies avec la valeur NULL Cette opération s'appelle une jointure externe Il existe deux type de jointures externes : jointure externe gauche et jointure externe droite Notation Jointure externe gauche *= ou LEFT JOIN Jointure externe droite =* ou RIGHT JOIN 3/3/2008 TDI1B (5h)

53 TP07 : les jointures (30mn) Commencer par ajouter les tables suivantes à la BD : Module( codem, nomm) Resultat( cin, codem, controle,efm) Mettre à jour le diagramme de la BD Remplir la table des modules et ajouter quelques enregistrements dans la table des résultats Télécharger et attacher la BD efp2 puis développer les requêtes suivantes : Produit cartésien des tables stagiaire et module Liste des noms et notes des stagiaires Modifier la requête précédente pour afficher même les stagiaires qui n’ont pas de note 4/3/2008 TDI1B (2h) 4/3/2008 TDI1A (3h) 5/3/2004 TDI1D (5h) 6/3/2008 TDI1A (3h) correction + énoncé tp récap 12/3/2008 TDI1D (5h) Correction + ennoncé tp récap 1 27/3/2008 TDI1C (5h) Correction + ennoncé tp récap 1

54 Opérations ensemblistes
L’opérateur UNION L’opérateur INTERSECT L’opérateur MINUS

55 L’opérateur UNION Exemple : on souhaite créer une liste comprenant les 10 meilleurs stagiaires par rapport à la note du bac avec une répartition équitable par sexe (5 garçons et 5 filles) (SELECT top 5 * FROM stagiaire WHERE sexe=‘F’ ORDER BY nb DESC) UNION FROM stagiaire WHERE sexe=‘M’

56 L’ opérateur INTERSECT
Exemple : on souhaite obtenir les noms des stagiaires de sexe masculin ayant une note du bac supérieure à 12 Solution ensembliste (SELECT nom FROM stagiaire WHERE sexe=‘M’) INTERSECT WHERE nb>12) Solution prédicative SELECT nom FROM stagiaire WHERE sexe=‘M’ AND nb>12

57 L’opérateur MINUS On voudrait obtenir les noms des stagiaires féminins qui ne sont pas nés à FES Solution ensembliste SELECT nom FROM stagiaire WERE sexe=’F’ MINUS WHERE ln=‘FES’ Solution prédicative WHERE sexe=‘F’ and ln<>’FES’

58 TP08 : opérateurs ensemblistes (20mn)
Donner les versions ensemblistes et prédicatives des requêtes suivantes : Noms des stagiaires masculins ayant moins de 20 ans Noms des stagiaires du groupe TSDI2A qui ne sont pas né à TAZA,SEFROU ou TAOUNATE Une liste contenant 3 stagiaires né à FES et 3 né à SEFROU ayant obtenu la meilleurs note au bac

59 Regrouper les lignes d’une table
Il peut être intéressant de regrouper des lignes afin de faire des opérations par groupe (opérations statistiques par exemple) Cette opération se réalise à l'aide de la clause GROUP BY, suivie du nom de chaque colonne sur laquelle on veut effectuer des regroupements.

60 Fonctions d’agrégation
FONCTION D’AGREGATION DESCRIPTION AVG([DISTINCT|ALL]n) Valeur moyenne de n, en ignorant les valeurs NULL (AVERAGE) COUNT({*|[DISTINCT|ALL]expr}) Nombre de lignes, où expr est différent de NULL. Le caractère * comptabilise toutes les lignes sélectionnées y compris les doublons et les lignes NULL MAX([DISTINCT|ALL]expr) Valeur maximale de expr, en ignorant les valeurs NULL MIN([DISTINCT|ALL]expr) Valeur minimale de expr, en ignorant les valeurs NULL SUM([DISTINCT|ALL]n) Somme des valeurs de n, en ignorant les valeurs NULL

61 Clause GROUP BY Cette clause permet de créer des sous-ensembles de lignes pour lesquels la valeur d'une (ou plusieurs) colonne est identique Exemple : calculer la moyenne des notes du bac pour chaque groupe SELECT codeg, avg(nb) FROM stagiaire GROUP BY codeg

62 La clause HAVING Cette clause, contrairement à la clause WHERE qui précise les conditions à appliquer sur les lignes d'une table, permet de préciser des conditions au niveau des sous-ensembles créés par GROUP BY Exemple : reprendre la requête précédente mais afficher uniquement les ligne dont la moyenne est supérieur à 12.5 SELECT codeg, avg(nb) FROM stagiaire GROUP BY codeg HAVING avg(nb) > 12.5

63 Règle de regroupement Soit faire partie d’une fonction d’agrégation
Toutes les colonnes qui apparaissent après la clause SELECT, sujette à un regroupement, doivent : Soit faire partie d’une fonction d’agrégation Soit apparaître dans la clause GROUP BY

64 TP09 : regrouper des données (30mn)
Développer les requêtes suivantes : Moyenne des notes de contrôle par module d’abord en affichant le codem et la moyenne, ensuite en affichant le nomm et la moyenne Nombre total de stagiaires Nombre de stagiaires de chaque groupe Note maximale et note minimale pour chaque module Moyenne de tous les contrôles par stagiaire. Afficher seulement ceux dont la moyenne est supérieur à 11.75 Moyenne des efm des stagiaires de sexe féminin Combien y’a-t-il de lieux de naissance distincts Combien y’a-t-il de prénoms différents par groupe 28/3/2008 TDI1B (1h30) 10/4/2008 TDI1C (5h) Correction – contrôle semaine prochaine

65 Sous requêtes Une sous requête est une requête SELECT qui renvoie une valeur unique et est imbriquée dans une autre instruction SELECT Les instructions contenant une sous-requête se présentent généralement sous une des formes suivantes : WHERE expression [NOT] IN (sous requête) WHERE expression opérateur_comparaison [ANY | ALL] (sous requête) WHERE [NOT] EXISTS (sous requête)

66 Sous requêtes et l’opérateur IN
Exemple : liste des stagiaires n’ayant pas de note au module 3 : SELECT nom, prenom FROM stagiaire WHERE cin NOT IN (SELECT cin FROM resultat WHERE codem=3)

67 Sous requêtes et l’opérateur ALL/ANY
Exemple : le stagiaire ayant la plus hausse note du bac : SELECT nom, prenom,nb FROM stagiaire WHERE nb > ALL (SELECT nb FROM stagiaire)

68 Sous requêtes et l’opérateur EXISTS
Exemple : liste des modules pour lesquels il existe au moins une note attribuée à un stagiaire : SELECT * FROM module WHERE EXISTS (SELECT * FROM resultat WHERE codem=module.codem)

69 TP10 sous requêtes (20mn) Développer les requêtes suivantes :
Liste des stagiaires n’ayant pas de note pour le module 2 Liste des stagiaires ayant eu la meilleur note au module 3 Liste des stagiaires ayant eu la dernière note au module 3

70 2

71 2. Exploiter l'environnement du SGBDR pour interroger une BD
L'Analyseur de requêtes SQL permet : créer des requêtes et autres scripts SQL procéder au débogage en cas de problème de performances des requêtes (Afficher le plan d'exécution, Afficher la trace du serveur, Afficher les statistiques du client, Assistant Paramétrage d'index) localiser des objets dans les bases de données insérer, mettre à jour ou supprimer rapidement des lignes dans une table (fenêtre Ouvrir une table) Vous pouvez exécuter l'Analyseur de requêtes SQL directement à partir du menu Démarrer ou de SQL Server Enterprise Manager. Une autre possibilité consiste à lancer l'application à partir de l'invite de commandes, en exécutant l'utilitaire isqlw. 10/8/2008 TDI1A 3h

72 3

73 3. Exploiter les commandes de description de données
Principaux objets d'une base de données Créer une base de données Créer une table Types de données des colonnes Modifier la définition d’une table Supprimer une table

74 Principaux objets d'une base de données
Description Table Unité de stockage élémentaire, composée de lignes et de colonnes Vue Représente de manière logique des sous-groupes de données Index Améliore les performances de certaines requêtes

75 Créer une base de données
CREATE DATABASE efp Crée une bd nommée efp ON ( NAME = ‘efp_data’, Nom logique du fichier de données FILENAME = 'd:\demo\efp_dat.mdf', Nom physique sur le disque SIZE = 10, MAXSIZE = 50, Taille initiale et taille maximale FILEGROWTH = 5 ) Croissance du fichier de données LOG ON ( NAME = ‘efp_log', Nom logique du jurnal FILENAME = 'd:\demo\efp_log.ldf', SIZE = 5MB, MAXSIZE = 25MB, FILEGROWTH = 5MB ) Croissance du fichier journal

76 Créer une table CREATE TABLE nomtable
(colonne1 definitionType, colonne2 definitionType, ….) Cet ordre fait partie d'une série d'ordres appartenant au langage de définition des données (LDD) qui sera étudié dans les prochains chapitres. Exemple : CREATE TABLE resultat (cin varchar(12), codem int, controle float, efm float, Moyenne AS (controle + efm)/3 )

77 L’option DEFAULT On peut déclarer une valeur par défaut pour une colonne en utilisant l'option DEFAULT Cette option empêche l'insertion de valeurs NULL dans une colonne lors de l'ajout d'une ligne

78 Types de données des colonnes
Type de données Syntaxe Description Alphanumérique CHAR(n) Chaîne de caractères de longueur fixe n (n<16383) VARCHAR(n) Chaîne de caractères de n caractères maximum (n<16383) Numérique NUMBER(n [,d]) Nombre de n chiffres [optionnellement d après la virgule] SMALLINT Entier signé de 16 bits ( à 32767) INT Entier signé de 32 bits (-2E31 à 2E31-1) FLOAT Nombre à virgule flottante Horaire DATE Date sous la forme 16/07/99 TIME Heure sous la forme 12:54:24.85 TIMESTAMP Date et Heure

79 Modifier la définition d’une table
Il est possible modifier la structure d’une table pour ajouter, par exemple, une colonne oubliée ou changer une définition de colonne existante Cela est possible grâce à la commande ALTER TABLE Vous pouvez ajouter des colonnes à une table en utilisant l'ordre ALTER TABLE avec la clause ADD Exemple : ALTER TABLE resultat ADD appreciation VARCHAR(60)

80 Supprimer une table Pour supprimer une table, tapez la commande :
DROP TABLE <nom de la table> Exemple : suppression de la table des résultats: DROP TABLE resultat

81 TP11 Description des données (1h)
En utilisant Enterprise manager, Créer la base de données test puis, avec l’analyseur de requêtes : Créer la table « groupe » Créer la table « stagiaire » Créer la table « resultat » Créer la table « module » 9/4/2008 TDI1B 2h

82 Contraintes NOT NULL PRIMARY KEY FOREIGN KEY UNIQUE CHECK

83 NOT NULL La contrainte NOT NULL interdit la présence de valeurs NULL dans la colonne à laquelle elle s'applique Par défaut, les colonnes peuvent contenir des valeurs NULL Exemple : CREATE TABLE groupe (codeg int, nomg varchar(30) NOT NULL)

84 PRIMARY KEY Une contrainte PRIMARY KEY crée une clé primaire pour la table La contrainte PRIMARY KEY est une colonne ou un ensemble de colonnes qui identifie de manière unique chaque ligne d'une table garantit qu'aucune colonne faisant partie de la clé primaire ne contient de valeur NULL Exemple : CREATE TABLE groupe (codeg varchar(6), nomg varchar(30) NOT NULL, CONSTRAINT pk_groupe PRIMARY KEY(codeg) )

85 FOREIGN KEY La contrainte FOREIGN KEY, ou contrainte d'intégrité référentielle, désigne une colonne ou une combinaison de colonnes comme étant une clé étrangère établit une relation avec une clé primaire Exemple : CREATE TABLE stagiaire (cin varchar(12), nom varchar(30), … , codeg varchar(6), CONSTRAINT pk_stagiaire PRIMARY KEY (cin), CONSTRAINT fk_groupe FOREIGN KEY (codeg) REFERENCES groupe(codeg) ON DELETE NO ACTION ON UPDATE CASCADE )

86 UNIQUE Une contrainte d'intégrité de type clé UNIQUE exige que chaque valeur dans une colonne ou dans un ensemble de colonnes (la clé) soit unique Exemple : CREATE TABLE stagiaire (cin varchar(12), ni int, nom varchar(30), … , codeg varchar(6), CONSTRAINT pk_stagiaire PRIMARY KEY (cin), CONSTRAINT fk_groupe FOREIGN KEY (codeg) REFERENCES groupe(codeg), CONSTRAINT uk_ni UNIQUE (ni) )

87 CHECK La contrainte CHECK définit une condition que chaque ligne doit obligatoirement satisfaire Exemple : CREATE TABLE stagiaire (cin varchar(12), nom varchar(30), sexe CHAR(1),… , CHECK (sexe=‘F’ or sexe=‘M’) )

88 Suppression d’un contrainte
Utilisez l'ordre ALTER TABLE avec la clause DROP L'option CASCADE provoque également la suppression de toutes les contraintes associées Exemple : ALTER TABLE stagiaire DROP CONSTRAINT fk_groupe

89 TP12 contraintes (1h) Ajouter aux tables de la base de données test les éléments suivants : Clés primaires Clés étrangères avec mise à jour en cascade Les notes doivent être comprises entre 0 et 20 Le sexe doit être ‘F’ ou ‘M’ avec ‘F’ comme valeur par défaut Les notes ne doivent pas accepter NULL 11/4/2008 TDI1A 3h 14/4/2008 TDI1B 5h 16/4/2008 TDI1D 5h 17/4/2008 TDI1C 5h correction séance prochaine

90 4

91 4. Exploiter les commandes de manipulation des données
Ajout d’une ligne Ajout de plusieurs lignes avec SELECT Insertion de valeurs NULL Modification de ligne Suppression d’une ligne

92 Ajout d’une ligne Pour ajouter de nouvelles lignes dans une table, utilisez l'ordre INSERT Syntaxe : INSERT INTO table [(colonne1, colonne2 … )] Values (valeur1, valeur2, … ) Exemple : INSERT INTO groupe (codeg, nomg) VALUES (‘TDI1A’, ‘Techniques Dév Info 1 groupe A’)

93 Ajout de plusieurs lignes avec SELECT
Il est possible d’insérer le résultat d’une requête SELECT dans une table Exemple : archivage de la liste des stagiaires INSERT INTO archive_stagiaire SELECT * FROM stagiaire

94 Insertion de valeurs NULL
Si une colonne n'est pas explicitement spécifiée dans la liste, elle reçoit automatiquement une valeur NULL Méthode implicite : ajout d’un groupe sans fournir de valeur pour le nom du groupe : INSERT INTO groupe (codeg) VALUES (‘TDI1A’) Méthode explicite : spécifiez le mot-clé NULL INSERT INTO groupe (codeg, nomg) VALUES (‘TDI1A’, NULL)

95 Modification de ligne Vous pouvez modifier des lignes existantes au moyen de l'ordre UPDATE Syntaxe : UPDATE table SET colonne1=valeur1, colonne2=valeur2 … [WHERE condition] Exemple : UPDATE stagiaire SET adresse =’19, hay saada 2 Fès’ WHERE cin = ‘c150’ UPDATE resultat SET note = note + 1 WHERE codem=1

96 Suppression d’une ligne
Vous pouvez supprimer des lignes existantes au moyen de l'ordre DELETE Syntaxe : DELETE [FROM] table WHERE condition Exemple : DELETE resultat WHERE note is null

97 TP13 manipulation des données (30mn)
Ajouter un groupe à la table groupe Code : ‘TDI2A’ nom : ‘Techniques dév. Info 2 A’ Ajouter un stagiaire du groupe TDI2A à la table stagiaire Supprimer le groupe TDI2A. Que constatez vous et pourquoi ? Supprimer les stagiaires qui ont une note du bac inférieure à 11. Que constatez vous et pourquoi ? Tous les stagiaires de première année sont admis en deuxième année, écrire la requête qui permet de modifier leur groupe 11/4/2008 TDI1A 3h 14/4/2008 TDI1B 5h

98 5

99 5. Gérer des transactions
Qu’est ce qu’une transaction Démarrage des transactions Fin des transactions BEGIN TRANSACTION COMMIT TRANSACTION ROLLBACK TRANSACTION

100 Qu’est ce qu’une transaction
Les transactions offrent un mécanisme de regroupement d'une série de modifications de base de données dans une opération logique Une fois les modifications apportées à la base de données, elles peuvent être validées ou annulées comme une seule unité

101 Démarrage des transactions
Vous pouvez lancer des transactions explicites, implicites ou en mode de validation automatique Transactions explicites : Pour démarrer une transaction explicite, utilisez l'instruction BEGIN TRANSACTION. Transactions en mode de validation automatique : C'est le mode par défaut de SQL Server. Chaque instruction est validée lorsqu'elle se termine. Il est inutile de spécifier des instructions de contrôle des transactions. Transactions implicites : Vous pouvez activer le mode de transaction implicite en utilisant l'instruction SET IMPLICIT_TRANSACTIONS ON. L'instruction suivante démarre automatiquement une nouvelle transaction. La transaction est active jusqu'à l'exécution d'une instruction COMMIT ou ROLLBACK

102 Fin des transactions Vous pouvez terminer une transaction par une instruction COMMIT ou ROLLBACK. COMMIT : garantit que toutes les modifications effectuées sur la base de données au cours de la transaction sont permanentes ROLLBACK : annule toutes les modifications effectuées par la transaction en rétablissant les données dans l'état où elles étaient avant le début de celle-ci

103 BEGIN TRANSACTION Indique le début d'une transaction locale explicite
Syntaxe : BEGIN TRANSACTION

104 COMMIT TRANSACTION Marque la fin d'une transaction réussie implicite ou définie par l'utilisateur Syntaxe : COMMIT TRANSACTION

105 ROLLBACK TRANSACTION Annule une transaction implicite ou explicite jusqu'au début de la transaction ou jusqu'au dernier point d'enregistrement à l'intérieur de la transaction Syntaxe : ROLLBACK TRANSACTION

106 TP14 : les transactions La table compte comprend les champs suivants : numéro, nom et solde Simuler une panne du serveur après l’exécution d’une partie d’une transaction. Cette transaction comprend deux commandes update qui permettent d’effectuer un virement de 1000DH du compte n°100 vers le compte n°200 Begin transaction Update compte set solde = solde where numero = 100 (panne du serveur = arrêter puis redémarrer le serveur) Update compte set solde = solde where numero = 200 Commit transaction Que constatez vous? TDI1C 5h correction faite

107 6

108 6. Utiliser les différents types d’objets sur une base de données
Les vues Les index

109 Les vues Une vue est une table virtuelle dont le contenu est défini par une requête Une vue ressemble à une table réelle, avec un ensemble de colonnes nommées et de lignes de données Une vue n'existe pas en tant qu'ensemble de valeurs de données stocké dans une base de données Les lignes et les colonnes de données proviennent de tables référencées dans la requête qui définit la vue et sont produites dynamiquement lorsque la vue est utilisée

110 Avantages des vues Limiter l'accès à la base de données en affichant une sélection de celle-ci Simplifier la consultation des données. Une vue peut être utilisée pour extraire les données de plusieurs tables. Permet à des groupes d'utilisateurs d'accéder aux données en fonction de leurs critères particuliers

111 Création d’une vue Vous pouvez créer une vue en utilisant l'ordre CREATE VIEW suivi du nom de la vue, du mot AS et d’une requête SQL Exemple : CREATE VIEW filles AS SELECT * FROM stagiaire WHERE sexe=‘F’ CREATE VIEW garcons AS SELECT * FROM stagiaire WHERE sexe=‘M’

112 Suppression d’une vue DROP VIEW supprime une vue dans la base de données courante Exemple : DROP VIEW garcons

113 Les index Les index des bases de données sont similaires aux index que l'on trouve dans les livres L'index d'un livre vous permet de rechercher rapidement des informations sans lire la totalité de l'ouvrage Celui d'une base de données permet de rechercher des données dans une table sans analyser la table tout entière L'index d'un livre est une liste de mots accompagnés du numéro de page où ils se trouvent L'index d'une base de données est une liste des valeurs d'une colonne accompagnées des emplacements de stockage des lignes où les valeurs se trouvent Un index peut être créé dans une table, soit sur une seule colonne, soit sur un ensemble de colonnes

114 Index ordonné et index unique
Lorsque vous créez un index ordonné en clusters, la table est copiée, les données de la table sont triées et la table initiale est supprimée La création d'un index unique garantit l'échec de toute tentative d'entrer des valeurs de clé en double

115 Création d’un index Exemple : CREATE UNIQUE INDEX idx_inscription
CREATE [UNIQUE] [CLUSTERED | NONCLUSTERED] INDEX nom_index ON { table | vue } ( colonne [ ASC | DESC ] [ ,...n ] ) Exemple : CREATE UNIQUE INDEX idx_inscription ON stagiaire (nins) CREATE INDEX idx_nom ON stagiaire (nom)

116 TP15 vues et index (1h) Créer des vues à partir des requêtes du TP09
Ajouter un index unique comprenant les deux colonnes nom et prénom des stagiaires 17/4/2008 TDI1A 3h

117 7

118 7. Sécuriser les données SYSTEME D’EXPLOITATION
SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES BASE DE DONNEES OBJETS DE LA BASE DE DONNEES

119 Modes d'authentification
SQL Server peut fonctionner selon deux modes de sécurité : mode d'authentification Windows : Ce mode permet à l'utilisateur de se connecter par le biais d'un compte utilisateur Windows mode mixte (authentification Windows et authentification SQL Server) : ce mode permet aux utilisateurs de se connecter à SQL Server à l'aide d’un compte Windows ou d’un compte propre à SQL Server

120 Rôles Les rôles sont de puissants utilitaires permettant de réunir les utilisateurs en une seule unité à laquelle il est possible d'appliquer des autorisations Les autorisations octroyées à un rôle, refusées ou révoquées s'appliquent aussi aux membres du rôle. Vous pouvez créer un rôle représentant un poste rempli par une catégorie de collaborateurs, lui octroyer les autorisations appropriées. Chaque fois qu'un collaborateur passe à un autre travail, il suffit de l'ajouter comme membre du rôle. Il n'est pas nécessaire d'accorder, de refuser ou de révoquer les autorisations de chaque utilisateur à chaque fois qu'il accepte ou qu'il quitte un travail. Elles sont automatiquement appliquées aux utilisateurs dès qu'ils deviennent membres du rôle

121 Rôle de serveur fixe Rôle Description sysadmin
Exécute n'importe quelle opération dans SQL Server serveradmin Configure les paramètres au niveau du serveur. setupadmin Ajoute et supprime les serveurs liés et exécute certaines procédures système stockées telles que sp_serveroption. securityadmin Gère les connexions au serveur. processadmin Gère les traitements s'exécutant dans une instance de SQL Server. dbcreator Crée et modifie les bases de données. diskadmin Gère les fichiers sur disque. bulkadmin Exécute l'instruction BULK INSERT.

122 Rôles de base de données fixes
utilisation public par défaut db_owner Propriétaire de la BD, possède toutes les autorisations sur la BD. db_accessadmin gère les accès : ajoute ou supprime des utilisateur. db_securityadmin gère les droits : accès, propriétés d'objet, rôles et membres des rôles db_ddladmin Exécute les commandes de description de données (DDL) db_backupoperator opérateur de sauvegarde (mais pas de restauration !). Lance les instructions DBCC, CHECKPOINT et BACKUP. db_datareader droit de consultation des données de la base (lecture uniquement). Sélectionne toutes les données de toutes les tables utilisateur dans la base de données. db_datawriter droit en lecture, écriture des données de la base. Modifie les données de toutes les tables utilisateur dans la base de données. db_denydatareader révocation des droits en lecture sur tous les objets de la base db_denydatawriter révocation des droits en écriture sur tous les objets de la base

123 Administrateur système (sa = system administrator)
Compte sql server par défaut Il est affecté au rôle de serveur sysadmin et ne peut pas être modifié Par défaut le compte sa possède un mot de passe vide Assignez un mot de passe au compte sa pour vous prémunir contre tout accès non autorisé

124 Propriétaire de la base de données (dbo, DataBase Owner)
dbo est un utilisateur qui possède les autorisations implicites nécessaires pour effectuer toutes les activités dans la base de données L'utilisateur dbo ne peut pas être supprimé et est toujours présent dans toutes les bases de données Si l'utilisateur rachid, membre du rôle de serveur sysadmin, crée une table T1, celle-ci appartiendra à dbo et sera désignée par dbo.T1, et non rachid.T1. Si rachid est seulement membre du rôle de base de données db_owner, et qu'il crée une table T1, celle-ci appartiendra à rachid et sera désignée par rachid.T1

125 Autoriser un compte Windows à accéder à SQL server
Cet exemple montre comment accorder à un compte Windows l'accès à une base de données et comment associer la connexion à un utilisateur de la base de données : (sp = stored procedure procédure stockée) USE master sp_grantlogin ‘domaine\said’ = ‘said', defdb = ‘efp‘ USE efp sp_grantdbaccess ‘said’, ‘said’

126 Ajout d'utilisateurs et de connexions
L'ajout d'un utilisateur affectés à des rôles prédéterminés se fait en deux temps : création de la connexion ajout d'un utilisateur et de son rôle Les procédures stockées à utiliser sont les suivantes : sp_addlogin 'connexion', 'mot_de_passe', 'base_cible‘ sp_adduser 'connexion', 'utilisateur', 'rôle‘ il est nécessaire d'utiliser la base de données cible. Exemple : création de l’utilisateur hamid dont le mot de passé kw7E.6J et possédant le rôle de lecteur uniquement : exec sp_addlogin ‘hamid', 'kw7E.6J', ‘efp' sp_adduser ‘hamid', 'u_hamid', 'db_datareader'

127 Octroi de permission Accordez des autorisations d'instruction et d'objet qui permettent à un compte utilisateur: d'effectuer des opérations ou de travailler avec des données dans la base de données en cours de les restreindre quant aux opérations et informations qui ne font pas partie de leur fonction

128 Ajout d'un membre à un rôle
sp_addrolemember ajoute un compte comme membre du rôle de base de données Syntaxe : sp_addrolemember 'role' , ‘compte' Exemple : sp_addrolemember ‘comptable', ‘said'

129 GRANT Permet à un utilisateur de travailler avec les données de la base ou d'exécuter des instructions particulières. Autorisations sur une instruction : GRANT { ALL | instruction [ ,...n ] } TO compte [ ,...n ] ALL : Accorde toutes les autorisations Instruction : Nom de l'instruction pour laquelle l'autorisation est accordée. La liste des instructions peut inclure : CREATE DATABASE, CREATE DEFAULT, CREATE FUNCTION, CREATE PROCEDURE, CREATE RULE, CREATE TABLE, CREATE VIEW, BACKUP DATABASE, BACKUP LOG Exemples : GRANT ALL to said GRANT CREATE VIEW to rachid

130 GRANT Autorisations sur un objet : Exemples :
GRANT     { ALL [ PRIVILEGES ] | permission [ ,...n ] }     {         [ ( colnne [ ,...n ] ) ] ON { table | vue         | ON { table | vue } [ ( colonne [ ,...n ] ) ]     } TO compte [ ,...n ] Exemples : GRANT SELECT ON module TO public GRANT INSERT, UPDATE, DELETE ON stagiaire TO fatima, said, ali

131 Refus d'autorisation supprime une autorisation précédemment accordée à l'utilisateur ou au rôle désactive une autorisation héritée d'un ou de plusieurs autres rôles vous assure qu'un utilisateur ou un rôle n'héritera pas à l'avenir d'une autorisation

132 DENY Autorisations sur une instruction :
DENY { ALL | instruction [ ,...n ] } TO compte [ ,...n ] Autorisations sur un objet : DENY     { ALL [ PRIVILEGES ] | permission [ ,...n ] }     {         [ ( colonne [ ,...n ] ) ] ON { table | vue         | ON { table | vue } [ ( colonne [ ,...n ] ) ]     } TO compte [ ,...n ] [ CASCADE ] Exemple : GRANT SELECT ON stagiaire TO public DENY SELECT, INSERT, UPDATE, DELETE ON stagiaire TO laila, driss

133 Retrait d'autorisation
Vous pouvez retirer une autorisation précédemment accordée ou refusée Le retrait d'une autorisation est similaire à un refus dans la mesure où les deux actions suppriment une autorisation accordée au même niveau Cependant, cela n'empêche pas l'utilisateur, le groupe ou le rôle d'hériter d'une autorisation accordée à un niveau supérieur. Par conséquent, si vous retirez l'autorisation d'affichage d'une table accordée à un utilisateur, il est possible que celui-ci puisse encore l'afficher parce que l'autorisation avait été accordée à un rôle auquel il appartient

134 REVOKE Autorisations sur une instruction :
REVOKE { ALL | instruction [ ,...n ] } FROM compte [ ,...n ] Autorisations sur un objet : REVOKE     { ALL [ PRIVILEGES ] | permission [ ,...n ] }     {         [ ( colonne [ ,...n ] ) ] ON { table | vue         | ON { table | vue } [ ( colonne [ ,...n ] ) ]     } FROM compte [ ,...n ] [ CASCADE ] Exemple : REVOKE CREATE TABLE FROM ali REVOKE SELECT ON stagiaire FROM meryem

135 TP16 : sécurité Changer la sécurité du serveur et passer à la sécurité mixte Créer les comptes et les rôles suivants : Aziz et Driss : directeurs Rachida, said et mourad : surveillance générale Mounia, fatima, khalid : formateurs Accorder au rôle directeur tous les droits sur la base de données efp Accorder au rôle surveillant le droit de lecture des tables groupe et stagiaire Accorder au rôle formateur le droit de lecture sur toutes les tables et le droit d’écriture sur la table resultat Retirer à l’utilisateur mourad le droit de lecture de la colonne adresse de la stagiaire Autoriser said à modifier l’adresse


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