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L’emploi et la qualité du français dans les sites Web

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Présentation au sujet: "L’emploi et la qualité du français dans les sites Web"— Transcription de la présentation:

1 L’emploi et la qualité du français dans les sites Web
Monique Langlois Office québécois de la langue française WebÉducation du 19 avril 2007 Monique Langlois Office québécois de la langue française

2 PLAN DE PRÉSENTATION Textes prescriptifs pour l’emploi et la qualité du français dans les sites Web Démarche à suivre pour résoudre des problématiques particulières Principales références Monique Langlois Office québécois de la langue française

3 1. Textes prescriptifs pour l’emploi et la qualité du français dans les sites Web
La Charte de la langue française La Politique gouvernementale relative à l’emploi et à la qualité de la langue française dans l’Administration La politique linguistique du ministère ou de l’organisme La Charte de la langue française et les politiques gouvernementales ne sont pas présentées de manière exhaustive. Pour les besoins du présent exposé, nous avons relevé les dispositions les plus importantes pour les responsables de sites Web et les personnes qui les assistent. Monique Langlois Office québécois de la langue française

4 Textes prescriptifs pour l’emploi et la qualité du français dans les sites Web
La Politique d’utilisation du français dans les technologies de l’information et des communications Les standards relatifs à l’utilisation du français Les standards relatifs au soutien du français ayant déjà fait l’objet d’une présentation à WebÉducation par le MSG, ils ne seront pas abordés aujourd’hui. Monique Langlois Office québécois de la langue française

5 La Charte de la langue française
Art. 1 : Le français est la langue officielle du Québec. Art. 2 : Toute personne a droit que l’Administration communique en français avec elle. Art. 5 : Les consommateurs ont le droit d’être informés et servis en français. Pour respecter les articles 1, 2 et 5 de la Charte, le site Web d’un ministère ou d’un organisme doit être au moins en français. Tout contenu disponible dans une autre langue doit être également disponible en français. La traduction systématique de tout le contenu d’un site ne reflète pas le caractère officiel du français. Il faut donc étudier la nécessité et la pertinence d’utiliser d’autres langues que le français. Monique Langlois Office québécois de la langue française

6 La Charte de la langue française
Art. 14 : Le gouvernement, ses ministères, les autres organismes de l’Administration et leurs services ne sont désignés que par leur dénomination française. Art. 15 : L’Administration rédige et publie dans la langue officielle ses textes et documents. Art. 141 : Les entreprises doivent communiquer en français avec l’Administration. En vertu de l’article 14, le nom des ministères, des organismes et de leurs entités administratives ne se traduit pas; il est en français même dans la section anglaise d’un site. L’article 15 permet l’usage d’autres langues, pourvu toutefois que les textes et documents soient également publiés en français. Il faut toutefois tenir compte de la Politique gouvernementale relative à l’emploi et à la qualité de la langue française dans l’Administration, dont nous parlerons plus loin. Monique Langlois Office québécois de la langue française

7 La Politique gouvernementale relative à l’emploi et à la qualité de la langue française dans l’Administration Adoptée par le Conseil des ministres en 1996, elle définit les principes qui doivent guider l’application de la Charte de la langue française dans l’Administration. Elle s’applique aux ministères et aux organismes gouvernementaux. Plus précisément, la politique s’applique au gouvernement et à ses ministères ainsi qu’aux organismes dont le gouvernement nomme la majorité des membres, dont la loi ordonne que les fonctionnaires ou employés soient nommés suivant la Loi sur la fonction publique, ou dont le capital-actions provient, pour la moitié ou plus, du fonds consolidé du revenu, à l’exception toutefois des services de santé, des services sociaux, des collèges d’enseignement général et professionnel et de l’Université du Québec. Monique Langlois Office québécois de la langue française

8 La Politique gouvernementale relative à l’emploi et à la qualité de la langue française dans l’Administration Point 1 : L’Administration doit jouer un rôle exemplaire et moteur dans l’application de la Charte de la langue française. Point 3 : L’Administration favorise l’unilinguisme français dans ses activités afin de refléter le fait que le français est à la fois la langue officielle et la langue normale et habituelle de la vie publique. Le site Web d’un ministère ou d’un organisme doit refléter le rôle exemplaire et moteur qui est dévolu à l’Administration québécoise dans la promotion et la qualité de la langue française. Il doit donc être conçu en français et faire en sorte que la langue officielle ne fasse jamais l’objet d’une sélection et qu’elle soit donc accessible par défaut. Monique Langlois Office québécois de la langue française

9 La Politique gouvernementale relative à l’emploi et à la qualité de la langue française dans l’Administration Point 4 : L’Administration accorde une attention constante à la qualité de la langue française. Elle voit à promouvoir un français de qualité dans les communications de tous ordres. Elle veille notamment à utiliser les termes et expressions normalisés par l’OQLF. Il faut s’assurer que les sites sont rédigés dans une langue claire et correcte, qu’on y utilise les termes normalisés et recommandés par l’OQLF, que les textes, notamment les organigrammes, sont exempts d’anglicismes et de formes incorrectes. On peut utiliser avec discernement certaines règles relatives à l’emploi du français. Il en est ainsi, par exemple, de l’utilisation de l’italique pour mettre en relief certains mots. En raison de la lisibilité limitée de l’italique à l’écran, on peut choisir un autre procédé en expliquant son emploi. Il est à noter que l’on n’écrit plus en italique les noms de lois et de règlements. Pour vous aider, consultez nos outils linguistiques. Les références utiles se trouvent à la fin du présent document. Monique Langlois Office québécois de la langue française

10 La Politique gouvernementale relative à l’emploi et à la qualité de la langue française dans l’Administration Point 6 : De façon générale, l’Administration emploie exclusivement le français dans la rédaction et la publication de ses textes, documents et communications, y compris ceux qui sont diffusés sur support électronique. L’utilisation d’autres langues doit toujours être considérée comme une exception. Il y a donc lieu de toujours évaluer la nécessité et la pertinence de traduire un contenu dans d’autres langues. En vertu des points 3 et 6 de la politique, le contenu des sites Web de l’Administration est présenté en français seulement. Cette règle générale comporte trois exceptions qui peuvent permettre la traduction à l’intention des personnes physiques : 1) les documents assimilables à des actes de procédure en vertu de l’article 7 de la Charte de la langue française; 2) les documents émanant de services ayant pour vocation expresse d’offrir des services à la communauté d’expression anglaise ou aux groupes autochtones; 3)   les documents destinés à faciliter l’intégration au Québec de personnes qui viennent de s’y établir. Même lorsque ces exceptions peuvent s’appliquer, la traduction n’est jamais obligatoire. Monique Langlois Office québécois de la langue française

11 La Politique gouvernementale relative à l’emploi et à la qualité de la langue française dans l’Administration Point 7 : Lorsque dans le but d’accroître la présence du Québec sur les réseaux internationaux de communication, l’Administration diffuse un texte ou un document sur l’autoroute de l’information, elle peut en présenter une traduction dans d’autres langues. Le site peut comporter des sections distinctes dans d’autres langues, notamment pour diffuser de l’information ayant un caractère international. Rappelons toutefois que la traduction n’est pas obligatoire. Si on juge pertinent de traduire, on peut examiner la possibilité de résumer l’information destinée au public international. Une telle pratique permet de refléter davantage le caractère officiel du français et de réduire les coûts de traduction. Monique Langlois Office québécois de la langue française

12 La Politique gouvernementale relative à l’emploi et à la qualité de la langue française dans l’Administration Point 8 : Dans le cas où la traduction d’un texte ou d’un document est permise, conformément à la politique linguistique d’un ministère ou d’un organisme, la version française est présentée sur un support distinct ou, à défaut, accessible distinctement s’il s’agit d’un texte ou d’un document diffusé sur l’autoroute de l’information. Nous avons déjà vu que l’article 15 de la Charte de la langue française permet l’utilisation d’autres langues que le français dans les textes et documents publiés par l’Administration. Lorsque des textes et documents peuvent être offerts dans une autre langue, ils doivent être présentés de façon distincte. Toute information, tout document offert dans une autre langue doit également être disponible en français. L’information et les formulaires destinés expressément aux entreprises établies au Québec ne sont accessibles qu’en français. Dans la section française du site, seule la version française des textes et documents doit être accessible. C’est donc dans la section anglaise du site qu’on doit mettre la version anglaise des textes et documents. On peut présenter brièvement en anglais un texte disponible en français seulement. Il est alors préférable d’ajouter à cette présentation la mention in french pour éviter que l’internaute anglophone accède sans avertissement à un texte offert uniquement en français. Monique Langlois Office québécois de la langue française

13 La politique linguistique du ministère ou de l’organisme
Le point 5 de la Politique gouvernementale relative à l’emploi et à la qualité de la langue française dans l’Administration prévoit que chaque ministère ou organisme adopte une politique linguistique s’harmonisant avec sa mission et ses caractéristiques propres. Conformément au point 26 de la Politique, chaque ministère ou organisme crée un comité permanent relevant du sous-ministre ou du dirigeant de l’organisme. Sont membres de ce comité, notamment, le mandataire de l’application de la Charte dans le ministère ou l’organisme, les responsables des achats, des communications, de l’informatique et des technologies de l’information. Le point 27 de la Politique établit que le comité élabore la politique linguistique et la fait approuver, après avoir obtenu l’avis de l’OQLF. Monique Langlois Office québécois de la langue française

14 Révision de la politique qui était en vigueur depuis 1992
La Politique d’utilisation du français dans les technologies de l’information et des communications Révision de la politique qui était en vigueur depuis 1992 Le Conseil des ministres a confié à l’Office québécois de la langue française et au Secrétariat du Conseil du trésor le mandat de réviser la politique. Les travaux de révision ont été menés par un comité interministériel sous la responsabilité du Secrétariat à la politique linguistique. Le comité était composé des ministères et organismes suivants : Secrétariat du Conseil du trésor, ministère de la Santé et des Services sociaux, ministère des Affaires municipales, ministère de la Culture et des Communications et Office québécois de la langue française. La nouvelle politique a été adoptée par le Conseil des ministres le 6 décembre 2006. Cette présentation fait état des dispositions de la politique qui sont les plus pertinentes pour les responsables de sites Web et les personnes qui les assistent. Monique Langlois Office québécois de la langue française

15 La Politique d’utilisation du français dans les technologies de l’information et des communications
Objectif La politique vise à généraliser l’utilisation intégrale du français : dans l’ensemble des TIC; dans toutes les communications des ministères et organismes, particulièrement celles échangées avec les citoyens et les entreprises; dans les postes de travail informatisés du personnel des ministères et organismes, notamment ceux des spécialistes. L’utilisation intégrale du français, c’est : le soutien de tous les signes du français (accents, cédilles, trémas, etc.); le respect des conventions françaises de tri alphabétique; le respect de la terminologie normalisée. La politique insiste sur l’utilisation intégrale du français dans la désignation des personnes et des toponymes, c’est-à-dire l’écriture correcte des noms et des adresses, avec tous les signes du français. On peut consulter au besoin le guide Caractéristiques culturelles et linguistiques du Québec: conventions et pratiques dans les TI. Ce guide recense les normes nationales, canadiennes et internationales assurant le soutien de la langue française. Il aborde les règles d’écriture des données nominatives et textuelles, les usages typographiques courants, les méthodes de tri, de classement et de recherche de données, les paramètres régionaux des systèmes d’exploitation et des sites Web ainsi que les ressources terminologiques. (Voir la référence complète à la fin du présent document.) Monique Langlois Office québécois de la langue française

16 La Politique d’utilisation du français dans les technologies de l’information et des communications
Exigences de la politique concernant les acquisitions Les ministères et organismes doivent acquérir du matériel, des banques de données, des systèmes d’information et des logiciels permettant l’utilisation intégrale du français, en conformité avec les standards du gouvernement du Québec sur les RI. Même si les membres des équipes Web ne sont pas les premiers responsables des acquisitions de produits informatiques, il est utile d’exposer ici les exigences de la politique à cet égard. Les membres des équipes Web peuvent sans doute parfois intervenir dans le choix des produits nécessaires à l’élaboration et au maintien d’un site. Le Secrétariat du Conseil du trésor devra intégrer, dans les processus administratifs d’acquisition de biens et de services en matière de technologies de l’information et des communications, les règles nécessaires au respect de la politique. Monique Langlois Office québécois de la langue française

17 La Politique d’utilisation du français dans les technologies de l’information et des communications
Exigences de la politique concernant les acquisitions La notion d’acquisition s’applique aux produits et services accessibles par le Web. Les ministères et organismes doivent obtenir des fournisseurs le soutien technique en français. Le téléchargement de la version anglaise d’un logiciel qui existe en français résulte souvent d’une faute d’inattention. On oublie de se diriger vers la page Web qui permet le téléchargement de la version française. C’est ainsi que par exemple, il arrive encore que l’on retrouve le logiciel Adobe Acrobat Reader installé et utilisé en version anglaise. Il est parfois difficile d’obtenir du soutien technique en français de la part des fournisseurs de produits informatiques, surtout pour ce qui est du soutien qui se situe au-delà de celui dit « de première ligne ». Un bon compromis consiste à accorder au fournisseur un délai pour donner le soutien en français. Monique Langlois Office québécois de la langue française

18 La Politique d’utilisation du français dans les technologies de l’information et des communications
Exigences de la politique concernant les acquisitions Si un logiciel n’est pas offert en français, s’efforcer d’acquérir un produit équivalent en français. Acquérir et mettre à jour en français les logiciels de développement et les logiciels spécialisés offerts sur le marché en français. Pour savoir s’il existe un produit équivalent en français, on peut consulter la base de données PIF (Produits informatiques en français) disponible dans le site Web de l’OQLF. Cette base de données recense les logiciels et le matériel offerts en version française. Elle peut être interrogée indifféremment par noms de produit, par concepteurs et par catégories. La nouvelle version d’un logiciel est souvent offerte dans un délai plus ou moins long après sa parution en anglais. Toutefois, dans plusieurs cas, les fournisseurs ont réduit ce délai, ce qui permet d’attendre que la version française soit disponible avant de faire la mise à jour. La catégorie des logiciels spécialisés comprend notamment les serveurs Web. Une récente collecte de données effectuée par l’OQLF dans le cadre du suivi de l’application de la Politique d’utilisation du français dans les TI révèle, entre autres choses, que seulement 40% des serveurs Web sont utilisés en version française. Plusieurs de ces serveurs existent pourtant en français. Monique Langlois Office québécois de la langue française

19 La Politique d’utilisation du français dans les technologies de l’information et des communications
Rôle accru de la personne responsable Effectuer le suivi des acquisitions de produits et de services informatiques. Informer les responsables des achats de l’existence des produits informatiques en français. Approuver ou refuser d’approuver les acquisitions de produits dans d’autres langues. La politique adoptée en 1992 prévoyait déjà la nomination d’une personne responsable de son application. La nouvelle politique maintient cette disposition en accordant plus d’importance au rôle de cette personne. La personne responsable de l’application de la politique est nommée par le dirigeant ou la dirigeante du ministère ou de l’organisme. On peut demander notamment au mandataire de l’application de la Charte de la langue française de nous indiquer le nom de cette personne. Monique Langlois Office québécois de la langue française

20 Adoption, par les M-O, d’un plan annuel de francisation des TIC.
La Politique d’utilisation du français dans les technologies de l’information et des communications Suivi annuel Adoption, par les M-O, d’un plan annuel de francisation des TIC. Dépôt de ce plan à l’OQLF. Reddition de comptes annuelle à l’OQLF des actions réalisées et des correctifs apportés. En collaboration avec le ministère des Services gouvernementaux, l’OQLF définira au cours des prochains mois un processus de suivi annuel de l’application de la politique pour les ministères et organismes qui y sont assujettis. Monique Langlois Office québécois de la langue française

21 2. Démarche à suivre pour résoudre des problématiques particulières
Consulter : la politique linguistique du ministère ou de l’organisme; les autres textes prescriptifs; Monique Langlois Office québécois de la langue française

22 2. Démarche à suivre pour résoudre des problématiques particulières
Consulter : les ressources de l’OQLF disponibles sur le Web; les personnes-ressources du ministère ou de l’organisme. Monique Langlois Office québécois de la langue française

23 Consulter la politique linguistique du ministère ou de l’organisme
C’est la référence la plus complète et la plus pertinente en regard de la mission particulière du ministère ou de l’organisme. La politique du ministère ou de l’organisme devrait préciser le plus possible les règles à suivre en matière d’emploi et de qualité du français, notamment dans les sites Web. En ce sens, ce devrait être le premier document à consulter si une question ou un problème se pose. La politique peut être révisée pour tenir compte de toute nouvelle situation. On peut trouver dans l’intranet linguistique de l’Administration, dont les coordonnées vous seront données plus loin, des exemples de politiques linguistiques. Monique Langlois Office québécois de la langue française

24 Consulter les autres textes prescriptifs
La politique linguistique gouvernementale La Charte de la langue française La PUFTIC La politique linguistique gouvernementale indique aux ministères et organismes les orientations à privilégier dans l’élaboration et l’adoption de politiques linguistiques qui reflètent leurs missions et leurs caractéristiques particulières. La Charte contient toutefois des dispositions dont ne fait pas état expressément la politique gouvernementale. C’est, par exemple, le cas de la dénomination du gouvernement, de ses ministères et des autres organismes de l’Administration qui doit se faire uniquement en français. C’est aussi le cas de la correspondance de l’Administration qui peut être dans une autre langue que le français lorsqu’elle est destinée à des personnes physiques qui s’adressent à elle dans une langue autre que le français. Monique Langlois Office québécois de la langue française

25 Consulter les ressources de l’OQLF disponibles sur le Web
Dans le site Web de l’OQLF Dans l’intranet linguistique de l’Administration L’intranet linguistique de l’Administration est accessible à partir de l’intranet gouvernemental. Élaboré par l’OQLF, il contient divers documents et outils relatifs à la qualité et au statut de la langue française. Monique Langlois Office québécois de la langue française

26 Consulter les personnes -ressources du ministère ou de l’organisme
Le ou la mandataire de l’application de la Charte de la langue française Les autres membres du comité permanent : les responsables des achats, des communications et des TIC La personne responsable de l’application de la Politique d’utilisation du français dans les technologies de l’information et des communications Le ou la mandataire doit notamment : diffuser et rappeler périodiquement les dispositions de la Charte de la langue française et des politiques à incidence linguistique, puis en assurer l’application; faire connaître son mandat au personnel et répondre à ses questions; consulter, au besoin, la conseillère ou le conseiller en francisation de l’OQLF; contribuer à la promotion d’un français de qualité dans les communications de tous ordres; saisir le comité permanent de toute situation problématique et, au besoin, en référer aux autorités. Monique Langlois Office québécois de la langue française

27 3. Principales références
Charte de la langue française Politique gouvernementale relative à l’emploi et à la qualité de la langue française dans l’Administration Monique Langlois Office québécois de la langue française

28 3. Principales références
Politique d’utilisation du français dans les technologies de l’information et des communications Standards relatifs à l’utilisation du français Monique Langlois Office québécois de la langue française

29 3. Principales références
Guide sur l’emploi et la qualité du français dans les sites web de l’Administration Le grand dictionnaire terminologique Monique Langlois Office québécois de la langue française

30 3. Principales références
Banque de dépannage linguistique Produits informatiques en français Monique Langlois Office québécois de la langue française

31 3. Principales références
Intranet linguistique de l’Administration Monique Langlois Office québécois de la langue française


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