Poèmes issus d’un livre de même titre de poésies pour enfants,

Présentation au sujet: "Poèmes issus d’un livre de même titre de poésies pour enfants,"— Transcription de la présentation:

1 Poèmes issus d’un livre de même titre de poésies pour enfants,
AVEC dAME NATURE Poèmes issus d’un livre de même titre de poésies pour enfants, de Marie David.

2 Fais d’un arc-en-ciel ton plus beau chemin. Fais comme l’hirondelle, va aimant demain ! Oui, vole avec elle, son ciel est serein. Vole, la vie est belle dans le clair matin !

3 A la première violette A la première violette le printemps sourira. Et la campagne en fête s’habillera de joie. A la première rose le printemps sourira, tendre métamorphose de bonheur et de joie ! …/…

4 …/… Au premier lilas blanc le printemps sourira. Il y aura dans le vent la douceur et la joie ! A la dernière gelée le printemps sourira. Il pourra s’installer dans la nature en joie ! A l’hiver finissant le printemps sourira, bien sûr, reconnaissant de toute cette Joie !

5 A vous, les feuilles, j’offre naissance, juste un clin d’œil à l’espérance ! Arbre… je suis : respecte-moi. J’aime la vie, de toi à moi ! Arbre.. je suis, né pour l‘espoir. Vive la vie ! A toi d’y croire ! Arbre je suis A toi, l’oiseau, j’ouvre les bras. Ton nid là-haut chante la joie. A toi, le fruit, je donne sève, ton goût gratuit à pleines lèvres !

6 As-tu vu ?... As-tu vu la p’tite abeille
qui se frottait les oreilles ? Et la timide violette qui à tous tournait la tête ? As-tu vu le beau printemps qui vient te voir tous les ans, et qui chante le bonheur tout au fond de chaque cœur ? As-tu vu la libellule Toute fragile et minuscule ? As-tu vu le papillon qui lui chantait sa chanson ?

7 Dans le jardinet de grand-mère poussent la rose et le lilas
qui parfument la terre entière, d’après ce que dit grand-papa. Dans le jardinet de grand-père poussent carottes et choux blancs qui nourrissent la terre entière, d’après ce que dit grand-maman ! …/…

8 …/… Dans le jardinet de grand-mère rose et lilas, quand elle les cueille, s’en vont fleurir les étagères de tous ceux qui franchissent le seuil ! Dans le jardinet de grand-père carottes et choux blancs récoltés se partagent, c’est nécessaire : Il ne faut pas les gaspiller !!! Leurs jardinets, oui, se ressemblent, leurs jardinets n’en font plus qu’un. C’est un même cœur qui les rassemble, très généreux avec chacun !

9 Pleure, petit nuage, arrose nos prairies, fais que le paysage ait des roses fleuries ! Pleure ! Pleure, le soleil brûle… Il a lui tout le jour, et les fleurs partout hurlent, demeurent aux alentours. Pleure et sème ta pluie, donne ton eau aux roses ! la terre te dit merci, tu la métamorphoses. Pleure, et puis offre-nous ton si bel arc-en-ciel, même si je fais la moue quand s’éteint le soleil ! Petit nuage

10 J’’ai croisé dame tulipe qui pensait avoir la grippe !
Malades J’’ai croisé dame tulipe qui pensait avoir la grippe ! Plus loin, le joli muguet se disait très enrhumé ! Quand j’ai croisé l’églantine, elle couvait la scarlatine ! Et la si jolie pervenche avait la mine bien blanche !! …/…

11 Plus loin, un vieux tournesol craignait d’avoir la rougeole.
…/… Plus loin, un vieux tournesol craignait d’avoir la rougeole. Les bleuets et coquelicots se plaignaient de mille maux ! La sensible marguerite redoutait une bronchite. Seule le joli lilas blanc était gai et bien portant ! Mais le printemps était là : Il allait soigner tout ça ! Leur remontant le moral. Chacun oubliera son mal.

12 est virtuose. Le p’tit jardin est magicien. L’ombre du soir
Juste l’Espoir Une hirondelle à tire d’ailes, un papillon rouge vermillon, une chenille sous la charmille et un lézard signent l’Espoir. Une petite fleur parle bonheur, une jolie rose est virtuose. Le p’tit jardin est magicien. L’ombre du soir signe l’Espoir. …/…

13 tombe sans bruit. Un petit oiseau
…/… Une goutte de pluie tombe sans bruit. Un petit oiseau chante tout là-haut. Une voix d’enfant en fait autant, et son regard signe l’Espoir. Juste la vie pleine d’envies. Juste la terre et ses mystères. Juste le monde qui fait la ronde. Juste l’histoire, « signe d’Espoir » !

14 Coccinelle (Avec Annabelle) Coccinelle, toute en rouge et noir, toi si belle, vole dans le soir. Coccinelle qui fais le beau temps, tout ton ciel chante le printemps. Coccinelle qui porte bonheur à tire d’ailes, n’oublie pas mon cœur ! Coccinelle, toi, « bête à bon Dieu », dis au ciel d’être toujours bleu !

15 qu’elle allait renaître
Couleur de la vie La rose au jardin m’a dit un matin : « N’oublie pas, petit, de chanter la vie ! » Puis elle s’est fanée, éteinte en un jour, cessant de chanter, chanter pour l’amour. Mais moi dans mon cœur je l’avais gardée, comme un vrai bonheur, comme une fleur de paix ! Elle n’avait pas dit qu’elle allait renaître au printemps joli, plus belle peut-être ! La voilà ce soir soudain qui revit, couleur de l’espoir, couleur de la vie !!!

16 qui efface les chagrins. C’est un parfum du soir
Un poème ? C’est une rose au matin qui efface les chagrins. C’est un parfum du soir qui redonne l’espoir. C’est la fleur chaque jour qui vous parle d’amour ! C’est aussi dame nature dans ses jolis murmures, qui nous lance un appel pour lui être fidèle en ses arbres, ses fleurs, ses légumes, ses fruits : en toutes ses couleurs, son beau temps ou sa pluie. Un poème c’est quoi ? Et si c’était la joie ? Un poème, c’est quoi ?

17 pour y aller, faut un bateau. C’est le monde au bout du monde,
Au pays du bout de l’eau. Au pays du bout de l’eau, pour y aller, faut un bateau. C’est le monde au bout du monde, c’est deux mondes qui se fondent ! Au pays du bout du vent, pour y aller, il faut du temps. C’est le monde au bout du monde, qui s’envole et vagabonde ! …/…

18 Au pays du bout des pluies, pour y aller, ah ! que d’ennuis !
…/… Au pays du bout des pluies, pour y aller, ah ! que d’ennuis ! C’est un monde au bout du monde, sur des larmes qui inondent ! Au pays du bout des fleurs, pour y aller, c’est un ailleurs. C’est un monde au bout du monde, où les mots doux se confondent. Au pays du bout du cœur, pour y aller, c’est le bonheur. C’est un monde tout près du monde, sur deux cœurs qui se répondent !

19 Elle était belle la rivière
Elle était belle, elle était gaie quand elle courait tout près du gué. Elle avait l’air si insouciante, quand elle flânait près de la sente… Elle était belle et elle chantait, partout, partout où elle allait. Elle était pure, elle était claire, elle aimait faire chanter la terre ! …/…

20 Ses poissons étaient frétillants, heureux de vivre à chaque instant.
…/… Ses poissons étaient frétillants, heureux de vivre à chaque instant. Les petites fleurs la saluaient : Sur son passage, elles la fêtaient ! Et puis, un jour, tout s’arrêta. Son eau claire n’était plus en joie… La pollution, à l’horizon, changea tout l’air de sa chanson ! Tous ses poissons la désertèrent. Elle devint triste… la rivière !!!

21 Et le printemps est content
Les coccinelles battent des ailes. Les hannetons sont gloutons. Les papillons sont champions. Les grenouillent s’agenouillent. Les crapauds changent de peau, l’escargot va tout de go. Les sauterelles semblent irréelles. Les hiboux veillent tout debout. Et même si les mouches ont l’air louche, les hirondelles sont fidèles, et le printemps est content !!!

22 Faim d’amour (sur une idée d’Annabelle)
Où le trouver, comment naît-il ? Où l’acheter, où le cueillir ?... Naît-il d’un arbre bien trop fragile qui n’importe où ne peut fleurir ? Il y a des milliers d’arbres au monde, des milliers d’enfants dans la ronde. Où est donc l’Arbre de l’amour, pour qu’aucun d’eux n’ait faim d’amour? Y a-t-il l’amour en chocolat, l’amour sucré au goût de miel, l’amour en rose ou en lilas, pour voir la vie tellement plus belle ? Y a-t-il l’amour tartine beurrée, ou confiture, ou pain grillé ? Ou bien l’amour pochette surprise qui fait la vie en gourmandise ?

23 Poèmes tirés du livre de Marie David, avec son aimable autorisation
Poèmes tirés du livre de Marie David, avec son aimable autorisation. Musique : Gentil coquelicot – Florian Bernard au synthétiseur. Dessins de Virginie (modèles de pochoirs) avec son autorisation. (images protégées par copyright). A tous les trois, mes chaleureux remerciements. Jacky Questel – mai 2006