Table ronde « L’insertion professionnelle » Le 9 novembre salle Athanor à Montlu ç on

Déroulement du colloque Accueilli par Athanor à Montlu ç on Anim é par Monsieur BRASQUI Environ 80 personnes 10 intervenants De nombreux é changes avec la salle

Quelques chiffres 799 personnes b é n é ficiaires d ’ une reconnaissance de la qualit é de travailleur handicap é s (RQTH) sont inscrites comme demandeurs d ’ emploi en cat é gorie 1 soit 6 % du nombre total de cette même cat é gorie Le nombre de demandeurs d ’ emploi b é n é ficiaires d ’ une RQTH a progress é de 12 % en un an contre 27 % pour les demandeurs d ’ emploi classiques de cette même cat é gorie

Intégration de la personne handicapée dans le monde du travail Les entreprises ont mis en place une meilleure communication depuis la loi de f é vrier 2005 et incitent leurs salari é s en situation de handicap à se faire reconna î tre Certaines entreprises posent encore probl è me, n ’ ayant fait aucun effort en faveur de l ’ int é gration des personnes handicap é es Le pourcentage de personnes handicap é es recherchant un travail est relativement bas (6 % des demandeurs d ’ emploi de la cat é gorie 1)

Les liens entre les acteurs de l’insertion professionnelle Les ESAT sont souvent trop m é connus des entreprises alors que le d é partement compte 8 ESAT avec 650 travailleurs. les travailleurs handicap é s sont souvent sous- form é s, que ce soit les travailleurs d ’ ESAT ou les personnes b é n é ficiaires d ’ une RQTH ou d ’ une orientation professionnelle. Il est n é cessaire de cibler les besoins des entreprises et les niches d ’ emploi pour d é velopper les formations

Difficulté de prise en charge de certains handicaps Le handicap psychique est un handicap qui n é cessite une prise en charge sur une p é riode longue avec souvent un deni des personnes de leur pathologie Le vieillissement de certaines populations comme les travailleurs d ’ ESAT o ù de nouvelles r é ponses doivent être recherch é es Le suivi de jeunes qui sortent d ’ institutions qui se confrontent en milieu ordinaire et qui reviennent vers la MDPH au bout de quelques ann é es compl è tement destructur é s

Les pistes de travail Mieux former les personnes handicap é es en leur proposant des formations correspondant aux besoins des entreprises D é velopper les relations entre les entreprises et les ESAT D é velopper la prise en charge des personnes souffrant de handicap psychique ou de conduites addictives avec un travail de r é flexion avec l ’ ensemble des partenaires pour proposer de nouvelles actions en faveur de ces publics