Chambre nationale de la batellerie artisanale
Instituée en 1982 ,la chambre nationale de la batellerie artisanale est un établissement public a caractère administratif jouant le rôle d’une chambre des métiers dans le secteur du transport fluvial de marchandise. A travers les mission dont elle est investie, la CNBA veille a la représentation et a la promotion de la profession batelière
Ses principales missions Représenter les intérêts généraux de la batellerie artisanale auprès des pouvoirs public et des agents économique du secteur La CNBA constitue un partenaire incontournable dans les négociations portant sur l’amélioration des infrastructures ,l’action sociale et l’environnement législatif et réglementaire de la profession
Quelque demande de nos adhérent Des contrats d’assurance adaptés Un réseau fiable et sécurisé Les nouvelles normes inapplicables Le rôle de l’expert Les chantiers
Des contrats adaptée En cette période de crise peu de garantie sur les pertes d’exploitation Quel couverture par rapport aux nouvelles technologies (exemple: les cartographie par GPS) Les nouvelles motorisations (les types de carburants, les sécurité moteur par rapport au bateau) Les propulseurs d’étrave Les litiges suite a la manutention de la cargaison
Un réseau fiable et sécurisé Quel sont les recours et poursuites des compagnies envers le gestionnaire du réseau lorsque celui-ci est défaillant ? (à noter que l’assuré, lui, ne peut naviguer sans ses titres de navigation en conformité…) Les assureurs ont-ils effectué une demande de reconnaissance européenne, tel que cela se pratique sur le réseau belge pour la reconnaissance des dommages ?
Les nouvelles normes Problème des prescriptions techniques suite a l’application du règlement de la CCNR pour une grande partie de la flotte a partir de janvier 2010. Quel est la position des assureurs, quand à cette prochaine entrée en vigueur? (a noter, le paradoxe entre l’état vétuste de la flotte et le nombre moindre d’accidents enregistrés PS: les dépenses envisagées par les bateliers au vu de leur mise en conformité sont excessivement importantes
Le rôle de l’expert Une clarification de l’expert: soit il agit pour le compte des assureurs ,soit, pour le compte du propriétaire du bateau lors du renouvellement des titres de navigation. Dans tout les cas ce rôle doit être dissocié Concernant le renouvellement des titres :les délais d’attribution doivent être respectés ainsi que la détermination des tarifs (clair et affichés) Le compte rendu de l’expert doit être remis au propriétaire; en aucun cas il ne doit être pénalisé ,par manque d’information, auprès du centre instructeur, lors de la remise de ses titres de navigation
Les chantiers Manque de chantiers dans certains bassins Manque de spécialisation dans le domaine des nouvelles technologies(seulement deux personnes vendent et installent le Tresco) Formation portant sur les réparations nécessaires dans le cadre des nouvelles prescriptions Savoir sauvegarder les anciens pour la formation des jeunes, dans le domaine de la construction fluvial et de ses spécificités
Conclusion Le monde du fluvial ne peut que tendre vers un développement, durable notamment dans le cadre d’une politique de désengorgement du transport routier. Le secteur, par le biais de l’activité des entreprises de transport fluvial, mais aussi des professions environnantes(chantiers, motoristes, menuisiers, électriciens…),peut connaitre une expansion certaine, créatrice d’emplois Dans l’Europe , le transport fluvial français a toujours été considéré comme étant <<à la remorque>>, malgré quelques signes d’encouragement de la part du Président de la Publique Française qui semble aujourd’hui vouloir lui redonner sa place Tout reste a faire
Avec mes remercîments pour votre attention DOURLENT Michel