Les thermes de Caracalla Les thermes aujourd’hui Reconstitution
Construction des thermes de Caracalla La construction des thermes de Caracalla a débuté au IIIe siècle après J-C sous le règne de Septime Sévère (193-211) le père de Caracalla. Ils seront inaugurés pas Caracalla d’où leur nom : Les thermes de Caracalla. Pour les inaugurer, il sauta dans la piscine en construction.
Qui est Caracalla ? Caracalla est le fils de Septime Sévère. Il est né le 4 avril 188 et est mort le 8 avril 217. Il a régné de 211 à 217. Durant son règne il inaugure les thermes d’où leurs noms. Septime sévère Caracalla
Dans les thermes… À son arrivé, le Romain allait à l’apodyterium(vestiaires) où il laissait ses habits dans une niche (salle carrée flanquée de chaque côté de deux petite pièces) qu’il confiait à un esclave. Les hommes et les femmes ne se changeaient plus ensemble depuis Hadrien. Ensuite il se dirigeait vers la palestre pour jouer à des jeux de balles, faire de la lutte ou encore de la course pour transpirer car ils avaient déjà compris que suer lavait la peau. Après avoir fait cela, il se dirigeait vers le caldarium (bain chauffé à 60° C). Celui-ci permettait de ramollir la peau. Pendant qu’il se baignait un esclave venait racler la peau grâce à la strigile (grattoir en fer ou en ivoire) pour lui enlever la sueur et le sable. Il poursuit son ascension vers le tepidarium. Le tepidarium est un bain tiède qui évite l’hydrocution entre le caldarium (bain chaud) et le frigidarium (bain froid ). Puis il finit par le bain froid : le frigidarium. Il passait dans ce bain pour se raffermir la peau. S’il le souhaite il peut passer par la natatio (la piscine) ou bien se faire masser, épiler ou se détendre.
Les différentes pièces L’entrée L’apodyterium La palestre Le caldarium Le tepidarium Le frigidarium La natatio Le tepidarium Le caldarium La palestre femmes La palestre hommes Le frigidarium L’apodyterium L’apodyterium La natatio L’entrée femmes L’entrée hommes Strigiles : outil servant à racler la sueur
...Et autour Autour des thermes, il y avait des arbustes. Et de nombreux recoins où se trouvaient des prostituées.
Appelmans Catherine Metenier Alicia 4°B