Bilan du premier cycle de suivi Principales conclusions Enseignements tirés Équipe d’appui conjointe PNUD-OCDE
Premier cycle de suivi Quand ? 2013 à 2014 Qui ? 46 Pays en développement y ont participé [notamment des pays à faible revenu (PFR) et des pays à revenu intermédiaire (PRI) d’Afrique, d’Asie, du Pacifique et d’Amérique latine] 77 fournisseurs de coopération pour le développement, ont transmis des données (y compris des agences bilatérales et multilatérales ainsi que des fonds mondiaux), qui couvraient 46 % de l’aide-pays programmable (APP)
Premier cycle de suivi Comment les conclusions ont-elles été utilisées ? Rapport d’étape mondial (avril 2014) Les messages clés ont éclairé le dialogue politique lors de la RHN de Mexico Aux niveaux des pays et régional : utilisation variée Des pays ont incorporé les résultats dans leur propre rapport de coopération pour le développement : Des rapports régionaux Forum des îles du Pacifique (FIP) (utilisation des données de suivi afin de guider les évaluations par les pairs dans le Pacifique) Facilité Asie-Pacifique pour l'efficacité du développement (AP-DEF) (utilisation des données de suivi afin d’éclairer les rapports de la région Asie-Pacifique sur l’ECD )
Principales conclusions : « Un verre à moitié plein » En dépit d’une conjoncture difficile en matière d’aide, les principaux acquis de l’efficacité de l’aide ont largement été maintenus – ce qui constitue une bonne base pour réaliser de nouveaux progrès L’appropriation par les pays en développement continue de se renforcer – les progrès accomplis en 2010 en matière de renforcement et d’utilisation des systèmes nationaux ont été globalement soutenus ; à long terme les investissements dans le renforcement des systèmes nationaux sont en train de porter leurs fruits. L’inclusion se traduit par une reconnaissance et un engagement plus forts des acteurs non étatiques du développement, et par un engagement plus ferme à s’assurer que le développement profite aussi bien aux femmes qu’aux hommes – mais il faut faire davantage pour que les partenariats inclusifs deviennent une réalité à part entière. Les efforts déployés en faveur de la transparence sont en train de porter leurs fruits, mais il faut les adapter aux besoins des pays
Principales conclusions : où se trouvent les goulets d’étranglement ? Appropriation et résultats Il faut renforcer le dialogue au niveau des pays pour encourager l’alignement sur les priorités et les systèmes des pays en développement Il faut accroître l’utilisation des systèmes nationaux (aucun changement depuis 2010) Partenariats inclusifs Évoluer vers une compréhension commune d’un environnement favorable aux OSC (EF OSC) ; encourager le dialogue au niveau pays dans les cadres de redevabilité existants Nécessité de mieux comprendre les besoins pour qu’ait lieu un dialogue public-privé constructif L’architecture de la coopération pour le développement est toujours orientée vers une perspective Nord-Sud, centrée sur le gouvernement Transparence et redevabilité Les efforts de transparence répondent réellement aux besoins locaux et aux contextes des pays La prévisibilité à moyen terme reste un véritable défi Des efforts ciblés sont nécessaires pour rendre les processus et les évaluations de redevabilité mutuelle plus transparents et inclusifs
Enseignements tirés en ce qui concerne le processus de suivi Suivi dirigé par les pays en développement : la voie à suivre Importance du leadership gouvernemental des pays en développement S’appuyer sur les données et les cadres et systèmes de suivi existants : plus ou moins le cas, selon le contexte du pays : Un nombre important de pays ont utilisé des mécanismes nationaux existants de partenariat et de suivi De nombreux autres pays ont mis en place un processus ad hoc de suivi du PMCED L'exercice à conduit au renforcement du dialogue et de la transparence entre le gouvernement et les fournisseurs au niveau des pays Possibilités d’amélioration : Les participants ont appelé à : Une participation accrue Une meilleure sensibilisation en amont et tout au long du processus (notamment des fournisseurs au niveau de leur siège et de leurs antennes locales) Un processus plus structuré (délai supplémentaire pour collecter et valider les données) Des efforts supplémentaires pour soutenir l’utilisation et la diffusion des conclusions
Comment le processus et le cadre ont-ils été améliorés pour le cycle de suivi ? (1/2) Rationalisation du processus Rôles et processus plus clairs Davantage de temps accordé : - à la formation ; - à la collecte & à la validation des données au niveau des pays (6 mois) ; et, - à la diffusion & au dialogue autour des conclusions Processus plus inclusif Engagement à un stade plus précoce et plus grande participation des pays en développement Les fournisseurs de coopération pour le développement, les OSC et les autres parties prenantes sont impliqués au début et tout au long du processus.
Comment le processus et le cadre ont-ils été améliorés pour le cycle de suivi ? (2/2) Méthodologies affinées des quatre nouveaux indicateurs Processus de vastes consultations pour la revue de chaque méthodologie Revue finale par le Groupe consultatif sur le suivi Appui plus important à la mise en œuvre Quatre ateliers régionaux, un service d’assistance en ligne (Helpdesk), un soutien ciblé, des outils faciles à utiliser, etc. Utilisation accrue des conclusions tirées de l’exercice de suivi Période plus longue accordée aux discussions et à la diffusion au niveau des pays, avant la tenue de la RHN Profils & données-pays pour orienter le dialogue politique au niveau du pays. Autres engagements de plateformes régionales pour des évaluations régionales (par ex., le NEPAD, le FIP, l’AP-DEF ). Outils et formats de visualisation des données faciles à utiliser, notes d’information et recommandations réalisables
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