Saguenay Capitale culturelle durable
Plan de la présentation Présentation et introduction Le programme Capitale culturelle du Canada Les critères de désignation La programmation Réflexions sur la culture et le DD Les liens concrets entre le projet et le DD Conclusion Bonjour, Mon nom est Luc-Michel Belley, je suis directeur général du projet « Chemin des mémoires » qui est la thématique générale de Saguenay, Capitale culturelle du Canada 2010. Je suis très heureux d’avoir l’occasion de discuter avec des collègues du monde municipal sur les liens à faire entre un projet de développement culturel et des préoccupations de développement durable. La conférence présentera la démarche qui a mené à l’obtention par Saguenay du titre de Capitale culturelle du Canada 2010. Nous discuterons des critères qui encadrent cette désignation, de la thématique générale du projet et nous présenterons les grandes lignes de la programmation. Nous discuteront ensuite des différentes façons d’introduire dans un tel projet des préoccupations de développement durable. Nous ferons ensuite le point sur les retombées et l’avenir d’un tel projet Je vous invite à ne pas hésiter à m’interrompre pour poser des questions et intervenir pour commenter et apporter vos points de vue sur les questions qui seront abordées.
La démarche de désignation à titre de Capitale culturelle Le programme Capitale culturelle existe depuis 2002 et est administré par le ministère du Patrimoine Canadien. Le programme vise à reconnaître et célébrer les collectivités qui mettent à profit les nombreux avantages liés aux arts et la culture dans la vie communautaire. Le programme est assorti d’un financement : Villes de 50 000 h et moins : 500 000 $ (75%) Villes de 50 000 h à 125 000 h : 750 000 $ (75%) Villes de 125 000 h et plus : 2 000 000 $ (75%) En 2007 la Ville de Saguenay met sur pied un comité de candidature. Le comité est formé de représentants des milieux culturels, économique, social, scolaire, communautés culturelles, nouveaux arrivants, jeunes, etc. Pour obtenir le titre de Capitale culturelle Faire la preuve que Saguenay est une capitale culturelle Déposer une proposition de programmation pour célébrer la désignation Articuler la programmation sur une thématique générale
Un réseau de 10 bibliothèques Saguenay, une ville résolument culturelle : Un réseau de 10 bibliothèques
Un Conseil des arts La création du premier conseil des arts après les fusions de 2002. Composé de représentant du milieu culturel et d’élus, le Conseil des arts attribue le financement aux organismes artistiques professionnels, pour leur fonctionnement ainsi que pour leurs projets.
Ville des grands spectacles Saguenay est reconnu comme une ville de grands spectacles : D’abord La Fabuleuse histoire d’un royaume (1988) qui est devenue en 2007 Les aventures d’un flo, puis Québec Issime en 1995 et Ecce mundo en 2000
Six institutions muséales Centre national d’exposition Musée de la défense aérienne Pulperie de Chicoutimi Centre Sir-William-Price Musée du fjord Centre historique des Sœurs de Notre-Dame du Bon-Conseil
Huit compagnies de théâtre Le Théâtre Les Têtes heureuses Le Théâtre Les Amis de chiffon Le Théâtre La Rubrique Le Théâtre CRI Le Théâtre du Faux-Coffre Le Théâtre 100 masques Le Théâtre de La Tortue noire Le Théâtre À Bout portant
Centres d’artistes et galeries De nombreux centres d’artistes et plusieurs galerie d’art Séquence Espace Virtuel Le Lobe L’œuvre de l’autre Médium Marge La Corniche La Maestria
Écoles et conservatoire Des écoles artistiques qui accueillent des milieux d’élèves École de musique de Chicoutimi Atelier de musique de Jonquière École de musique de La Baie Ateliers d’arts plastique de Jonquière, La Baie et Chicoutimi La Rubrique Théâtre 100 masques École de danse Suzanne Maltais-Gagnon Le prisme culturel Académie de ballet du Saguenay Ensemble folklorique Les Farandoles École de ballet Florence-Fourcaudot Conservatoire de musique de Saguenay
Des programmes novateurs Culture Éducation (depuis 2001), un partenariat entre la ville, deux commissions scolaires et le MCCCF, qui permet de créer des liens solides entre les milieux des arts et le monde scolaire par des sorties accompagnées, du transport, des rencontre avec des créateurs, etc. Le programme «Éveille ma culture», un programme de médiation culturelle qui fait le lien entre les arts et le milieu communautaire et qui permet à des personnes qui ont moins facilement accès à la culture d’avoir accès à ces activités culturelles de qualité. (depuis 20XX)
Des centaines d’artistes et travailleurs culturels Des milliers de bénévoles Des dizaines de milliers de spectateurs Plus de 1500 activités par année Des centaines d’artistes et travailleurs culturels Des milliers de bénévoles Des dizaines de milliers de spectateurs Plus de 1500 activités par année
Le Chemin des mémoires Une thématique La thématique «Chemin des mémoires» Ce thème célèbre en effet le Saguenay passé, présent et à venir et tous les projets de la programmation officielle seront teintés de ce dernier. Dans certains cas, les activités seront directement inspirées du Chemin des mémoires. Pour d’autres, ce n’est qu’une référence symbolique qui sera évoquée subtilement.
Fusion de 2002 Chicoutimi Jonquière La Baie Shipshaw Lac Kénogami Laterrière Canton Tremblay Dans le contexte de notre ville fusionnée, ce thème est à la fois rassembleur et respectueux de l’identité particulière des arrondissements. La Ville de Saguenay, née en 2002 de la fusion de quatre anciennes villes (Chicoutimi, Jonquière, La Baie et Laterrière) et de trois municipalités (Canton Tremblay, Lac-Kénogami et Shipshaw). La thématique du Chemin des mémoire souligne que Saguenay est aujourd’hui riche du passé de toutes ces entités. Au fil du temps, chacun des secteurs de Saguenay a joué un rôle dans le développement de notre ville actuelle. Ces rôles sont uniques, spécifiques et complémentaires.
Le site de la découverte Chicoutimi : Le site de la découverte Au confluent de la rivière Saguenay et de la rivière Chicoutimi, sur un lieu de campement préhistorique qui sert de point de départ à la route des portages, un poste de traite s’établit dès 1676, devenant au cours des années qui suivent le plus rentable au Canada. Dès le départ, Chicoutimi s’impose comme un lieu d’échange et de commerce.
Peter McLeod et William Price poursuivent en ce sens en établissant des scieries aux abords des rivières du Moulin et Chicoutimi en 1842.
La Compagnie de pulpe de Chicoutimi est un des fleurons de cet esprit d’entrepreneur. Fondée en 1896, elle est en 1910, la plus importante usine de pulpe au Canada.
Chicoutimi est donc depuis toujours un secteur d’échange et de commerce. La rue Racine, principale artère commerciale est depuis le début du XIXe siècle le centre commerciale de la région.
L’arrondissement de Chicoutimi célébre donc en 2010 les thématiques des échanges interculturels, du commerce, de la présence passée et présente des Autochtones et des Métis.
Le site de fondation La Baie : Le site de fondation C’est à Grande-Baie, dans l’actuel arrondissement de La Baie, que notre territoire s’ouvre à la colonisation avec l’arrivée de la Société des 21 en 1838. Avant, la région est interdite à la colonisation, on appelle alors la région le «Domaine du Roy», un territoire réservé à la traite des fourrures. Ainsi, c’est à La Baie qu’a lieu chaque année la fête du Saguenay–Lac-Saint-Jean. Au pied du monument des 21.
C’est également à cet endroit qu’on a mis sur pied le premier grand spectacle historique au Québec : « La Fabuleuse histoire d’un Royaume », devenu depuis « Les aventures d’un Flo ». La population de La Baie, fière de son passé, a toujours participé massivement à cette grande fresque. Dans cet arrondissement, le sentiment d’appartenance et l’identité sont fortement marqués par ce rôle de fondateur.
C’est par l’eau que sont arrivés les premiers colons C’est par l’eau que sont arrivés les premiers colons. À La Baie, la relation avec l’eau est au centre de l’identité. Depuis toujours, c’est un secteur portuaire important.
Aujourd’hui encore, cette richesse naturelle fait partie intégrante de ce secteur de la municipalité avec la construction du quai d’escale des croisières internationales. L’arrondissement de La Baie célèbre donc en 2010 les thématiques de la fondation et de l’arrivée des premiers colons ainsi que le rôle prépondérant de l’eau dans notre développement.
Le site de l’essor industriel Jonquière : Le site de l’essor industriel Jonquière est profondément associé à l’arrivée de la grande industrie. Fondée en 1912 pour l’usine Price, Kénogami est la première ville de compagnie de la région.
Suivra par la suite en 1926 la construction d’une ville modèle en Amérique du Nord, soit Arvida. La ville est construite en 135 jours sur un plan d’urbanisme très avant-gardiste qui prévoit 270 modèles de maisons distinctes. Reconnue maintenant comme site du patrimoine par la municipalité, les démarches vont bon train pour faire inscrire Arvida sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.
Alcan (aujourd’hui Rio Tinto Alcan) joue un rôle central dans le développement de toute la région (construction de barrages et de centrales électriques, arrivée de la base militaire, etc.). C e rôle prépondérant de la grande industrie a laissé sa marque dans le territoire et dans la nature même de la population, « tissée serrée » et animée d’un fort sentiment communautaire. Ainsi, l’arrondissement de Jonquière célèbre en 2010 les thématiques de la modernité, de l’ouverture sur le monde, de la vie ouvrière et l’apport de la communauté anglophone et multiculturelle au développement économique.
Un chemin des mémoires… dans l’espace et dans le temps Un Chemin des mémoires qui s’inscrit physiquement dans la ville On constate donc qu’en visitant la ville, on peut aujourd’hui comprendre les différents rôles complémentaires qu’ont joués chacun de ces secteurs au cours de l'histoire. Ces diverses fonctions sont visibles dans l’occupation du territoire, dans la nature même des citoyens et dans la façon dont ceux-ci s’identifient à leur ville. La nomination de Saguenay à titre de Capitale culturelle du Canada constitue une formidable occasion de redécouvrir l’importance unique de chacun des secteurs de la ville et de constater la cohésion qui se dégage de nos passés communs. Un Chemin des mémoires qui s’inscrit dans le temps Enfin, c’est en nous penchant sur notre histoire que nous comprenons davantage notre présent. En constatant les vocations spécifiques de nos quartiers, nous pouvons apprécier la valeur de notre patrimoine et de notre culture. Ce sentiment identitaire qui nous définit s’enrichit d’une vie culturelle et artistique unique qui témoigne de la vigueur de notre société. Notre présent est déjà l’histoire de notre futur. À ce titre, le Chemin des mémoires s’inscrit dans le passé, le présent et l’avenir.
La programmation De plus, pour obtenir le titre de Capitale culturelle, en plus de prouver le dynamisme de notre vie culturelle, en plus de proposer une thématique globale, Saguenay devait déposer une programmation spéciale qui célèbre, tout au long de l’année 2010, la désignation à titre de Capitale culturelle du Canada.
Des activités pour les jeunes Ateliers dans les écoles Visite de lieux patrimoniaux, de musées et d’églises Création de pièces de théâtre en classe Exposition de photos et production d’affiches sur le patrimoine Soirée d’improvisation Des activités pour les jeunes : Ateliers dans les écoles Visite de lieux patrimoniaux, de musées et d’églises Création de pièces de théâtre en classe Exposition de photos et production d’affiches sur le patrimoine Soirée d’improvisation
Des expositions variées Art contemporain dans les événements Patrimoine architectural de Kénogami Fantastiques monstres marins Chemin des mémoires Pharmacie d’antan Les métis au poste de traite 75e anniversaire de la SHS 50e anniversaire du CNE Patrimoine scénographique L’Art est un miroir Médium Marge : Étale ses paysages 100e anniversaire de la Marine Des mains, des cœurs, des visages Des exposition variées : Art contemporain dans les événements Patrimoine architectural de Kénogami Fantastiques monstres marins Chemin des mémoires Pharmacie d’antan Les métis au poste de traite 75e anniversaire de la SHS 50e anniversaire du CNE Patrimoine scénographique L’Art est un miroir Médium Marge : Étale ses paysages 100e anniversaire de la Marine Des mains, des cœurs, des visages
Des nouvelles œuvres d’art 20 courts métrages 50 capsules vidéo 10 nouvelles œuvres d’art public 4 spectacles de musique originale Une symphonie 3 nouvelles pièces de théâtre Des nouvelles œuvres d’art : 20 courts métrages 50 capsules vidéo 10 nouvelles œuvres d’art public 4 spectacles de musique originale Une symphonie 3 nouvelles pièces de théâtre
De l’animation et des célébrations Journée internationale des musées Gala de la capitale Circuits guidés Défilé multiculturel Amuseurs publics Spectacle lasers et fontaines Monuments hommage aux auteurs Traditions amérindiennes De l’animation et des célébrations : Journée internationale des musées Gala de la capitale Circuits guidés Défilé multiculturel Amuseurs publics Spectacle lasers et fontaines Monuments hommage aux auteurs Traditions amérindiennes
Culture et développement durable La culture comme élément de base du développement durable Depuis de nombreuses années, plusieurs se penchent sur les liens à établir entre la culture et le développement durable. Pour alimenter la discussion sur ce sujet, nous allons d’abord revenir sur plusieurs affirmations qui concernent ce lien entre culture et DD.
Le rapport Brundltand (1987) On trouve dans ce rapport la définition du concept de développement durable : «Un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs» et l’identification de ses trois piliers constitutifs : le social, l’économique et l’environnemental. Même si la réflexion sur les limites de la croissance démographique remontant aux années 60, c’est le rapport Brundtland «Notre avenir à tous» qui jette les bases du développement durable. On trouve dans ce rapport la définition du concept de développement durable : «Un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs» et c’est dans ce rapport qu’on identifie les trois piliers constitutifs du développement durable : le social, l’économique et l’environnemental.
Déclaration Unesco (2001) «La culture prend des formes diverses à travers le temps et l'espace. Cette diversité s'incarne dans l'originalité et la pluralité des identités qui caractérisent les groupes et les sociétés composant l'humanité. Source d’échanges, d'innovation et de créativité, la diversité culturelle est, pour le genre humain, aussi nécessaire que l'est la biodiversité dans l'ordre du vivant. En ce sens, elle constitue le patrimoine commun de l'humanité et elle doit être reconnue et affirmée au bénéfice des générations présentes et des générations futures.» En 2001, la Déclaration universelle de l’Unesco sur la diversité culturelle proclame : «La culture prend des formes diverses à travers le temps et l'espace. Cette diversité s'incarne dans l'originalité et la pluralité des identités qui caractérisent les groupes et les sociétés composant l'humanité. Source d’échanges, d'innovation et de créativité, la diversité culturelle est, pour le genre humain, aussi nécessaire que l'est la biodiversité dans l'ordre du vivant. En ce sens, elle constitue le patrimoine commun de l'humanité et elle doit être reconnue et affirmée au bénéfice des générations présentes et des générations futures.»
Sommet mondial sur le développement durable (2003) «la culture s’imposera peu à peu comme le quatrième pilier du développement durable aux côtés de l’économie, de l’environnement et de la préoccupation sociale». - Jacques Chirac En 2003, lors du Sommet mondial sur le développement durable, Jacques Chirac déclare : «la culture s’imposera peu à peu comme le quatrième pilier du développement durable aux côtés de l’économie, de l’environnement et de la préoccupation sociale». Cette déclaration a été reprise la même année par le premier ministre du Québec, Jean Charest.
L’Agenda 21 de la culture (2004) affirme plusieurs liens entre culture et développement durable : Sur le plan de la culture, de la durabilité et du territoire Sur le plan de la culture et de l’inclusion sociale Sur le plan de la culture et de l’économie L’Agenda 21 de la culture, adopté le 8 mai 2004 au Forum universel des Cultures, a été signé par environ 300 villes, gouvernements locaux et organisations. IL s’agit d’un plan d’action en matière de culture pour le 21e siècle. Plusieurs aspects de l’Agenda 21 de la culture concernent les liens entre la culture et le développement durable. À titre d’illustration, l’Agenda 21 de la culture mentionne entre autres les aspects suivants : Sur le plan de la culture, de la durabilité et du territoire : La diversité culturelle est, pour le genre humain, aussi nécessaire qu’est la biodiversité dans l’ordre du vivant La diversité des expressions culturelles est porteuse de richesse. Importance d’un écosystème culturel aussi large que possible, présentant une grande diversité d’origines, d’agents et de contenus Sur le plan de la culture et de l’inclusion sociale : L’accès à l’univers culturel et symbolique à toutes les étapes de la vie L’encouragement des capacités d’expression en tant que dimension essentielle de la dignité humaine et de l’inclusion sociale, en veillant à contrer les discriminations liées au genre, à l’origine, à la pauvreté ou toute autre raison L’élargissement des publics ainsi que leur pleine participation à la vie culturelle, éléments de citoyenneté Enfin, sur le plan de la culture et de l’économie : La reconnaissance de la dimension économique de la culture L’importance de la culture comme facteur de génération de richesse et de développement économique Le rôle stratégique des industries culturelles et des médias locaux, qui contribuent à forger l’identité locale, à permettre la continuité créatrice et à créer des emplois
Plan d’action de développement durable du MCCCF 2009-2013 «À l’échelle du Québec, l’association de la culture et de développement durable correspond à une réalité bien concrète : des créateurs puisent dans le concept du développement durable l’inspiration de leur démarche artistique, des organismes fondent leur projet culturel sur cette base et des villes des communautés autochtones font de la culture le moteur de leur démarche de développement durable.» Le plan d’action de développement durable du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine 2009-2013, intitulé «Notre culture, au cœur du développement durable» mentionne : «À l’échelle du Québec, l’association de la culture et de développement durable correspond à une réalité bien concrète : des créateurs puisent dans le concept du développement durable l’inspiration de leur démarche artistique, des organismes fondent leur projet culturel sur cette base et des villes des communautés autochtones font de la culture le moteur de leur démarche de développement durable.»
Cinq actions cités dans le PA du MCCCF 2009-2013 Protection et promotion de la diversité des expressions culturelles Sauvegarde et partage du patrimoine collectif Prévention et réduction des inégalités sociales et économiques Renforcement de la viabilité et de la résilience des collectivités Gestion environnementale Le plan d’action de développement durable du MCCCF distingue cinq actions déjà entreprises par le Ministère. Nous allons illustrer comment ces cinq actions trouvent écho dans un projet tel celui de Saguenay, Capitale culturelle du Canada 2010. Protection et promotion de la diversité des expressions culturelles Programmation exhaustive et variée Inclusion de toutes les disciplines artistique Vise tous les publics Sauvegarde et partage du patrimoine collectif Réalisation de documentaires sur l’histoire de Saguenay Activité découverte des églises Nombreuses expositions sur l’histoire Récolte de patrimoine et constitution de collections et d’expositions Prévention et réduction des inégalités sociales et économiques Ateliers artistiques dans les écoles Journée internationale des musées Médiation culturelle Transports et navettes vers les activités Création d’œuvres avec des jeunes en difficulté Tarifs accessibles Renforcement de la viabilité et de la résilience des collectivités Pièces de théâtre en anglais Exposition et animation «Les métis au poste de traite» Défilé multiculturel Animation sur les traditions amérindiennes «Sur les traces des Kakushak» Gestion environnementale Promotion via Internet et préoccupation de réduction du papier Navettes et transports en commun Partenariat avec Eurêko (Action, protection et gestion environnementale) Formation auprès de tous les gestionnaires et maitres d’œuvre Banque d’heures de consultation pour les maitres d’œuvre Abonnement de tous les maitres d’œuvre au répertoire des fournisseurs écoresponsables Gestion des matières résiduelles lors des grands événements Évaluation par Eurêko de la trace environnement de Saguenay, Capitale culturelle du Canada et proposition de mesures de compensation
Durabilité, pérennité et retombées Des legs tangibles : œuvres d’art public, symphonie, nouvelles expositions, monuments littéraires, nouvelles œuvres théâtrales, etc. Des legs intangibles : nouveaux partenariats, nouveaux publics, fierté des citoyens, notoriété et positionnement de la ville, etc. La pérennité et les retombées Des legs tangibles : œuvres d’art public, symphonie pour Arthur, nouvelles exposition (SWP, Monstres marins, Société historique), monuments littéraires, nouvelles œuvres théâtrales Des legs intangibles : nouveaux partenariats, nouveaux publics, fierté des citoyens, notoriété de Saguenay, positionnement culturel de Saguenay, resserrement et confirmation des partenariats entre les décideurs municipaux, touristiques et culturels,
Penser globalement Agir localement En conclusion En conclusion : Agis localement