Biométhanisation et injection de gaz naturel renouvelable Atelier de maillage industriel en énergie du CRM Donald Beverly 24 Octobre 2016
La croissance de gaz naturel renouvelable (GNR) Dans leur Politique énergétique 2030, le gouvernement du Québec veut voir la croissance du GNR et l’exploitation des matières organiques résiduelles et de la biomasse forestière résiduelle. Le projet de loi 106 définirait le GNR dans la loi et donnerait le pouvoir au gouvernement d’établir les volumes de GNR à maintenir dans la fourniture du gaz naturel au Québec. Au Printemps 2016, l’Association canadienne de gaz propose 5 % GNR en 2025 et 10 % en 2030.
La croissance des projets d’injection de GNR Des projets annoncés et des projets qui attendent le développement du marché du GNR : Depuis 2002, EBI Énergie injecte un biogaz raffiné dans le réseau de transport Trans-Québec Maritimes (TQM). Depuis 2014, le CEP à Terrebonne injecte 75 Mm³/an dans TQM. En 2017, St-Hyacinthe injectera entre 10 % et 95 % du gaz consumé dans le réseau local de la ville. D’autres projets planifiés avant 2022 : Beauharnois, Montréal (2×), Québec et Longueuil. Plusieurs projets privés attendent le développement du marché de GNR. Le potentiel de la biomasse forestière résiduelle pourrait fournir de 10 à 20 % du gaz naturel distribué au Québec.
La situation actuelle : Un point d’entrée en franchise
Les données La composition du gaz naturel est mesuré au point d’entrée. Durant le mois, le pouvoir calorifique varie légèrement, mais toujours à l’intérieur de la plage d’acceptabilité. Toutes les régions sont affectées également, mais avec un délai qui varie selon la distance du point d’entrée. On sert de la moyenne du pouvoir calorifique pour corriger les volumes mesurés.
Un seul facteur de correction Gaz Métro distribue de l’énergie (MJ), mais facture des volumes (m³). Selon les Conditions de service et tarif, 37,890 MJ/m³ est le pouvoir calorifique de référence pour les transactions volumétriques de gaz. Le facteur de correction est appliquée pour corrigé les variations. Avec un seul point d’entrée, le modèle mathématique est très simple.
Quelle sorte de solution? Lignes directrices La solution doit être équitable pour les consommateurs et le gazier L’erreur dans le modèle doit être symétrique envers les parties prenantes La solution ne peut pas coûter plus cher que le problème Le facteur de correction appliqué dans la situation actuelle est une solution mathématique simple, mais suffisante. L’erreur introduit par le temps de transporter le gaz aux régions éloignées est négligeable. Pour les transactions commerciales de gaz naturel, seulement certains chromatographes sont certifiés par Mesures Canada Un chromatographe peut coûter 50 000 $ plus l’installation plus le soutien annuel
Nouveau problème : deux sources à St-Hyacinthe Actuel Dès 2017
Consommation du gaz à St-Hyacinthe HIVER ÉTÉ AUX HEURES DE POINTE CHARGE DE BASE GAZ NATUREL GAZ NATUREL RENOUVELABLE
Les variations en composition respectent la norme BNQ 3672 BNQ 3672 établie les limites d’interchangeabilité Les variations en composition respectent la norme BNQ 3672
La solution proposée À St-Hyacinthe on créera une facteur de correction spéciale pour la zone affectée Un chromatographe sera installé au poste de réception Les volumes et les PCS seront enregistrés aux deux points de livraison dans la zone Par un règle de trois, le PCS sera calculé minute par minute La facteur de correction sera calculée en conséquence du plus grand nombre de points évalués et d’une amplitude de variation plus importante Est-ce qu’un calcul simple du pouvoir calorifique moyen pour la secteur est suffisant? Sera-t-il adéquat? Comment évaluer? Comment améliorer?
Zone fortement influencée par l'injection de biométhane À questionner… Zone fortement influencée par l'injection de biométhane Zone fortement influencée par le point de livraison du gaz de réseau
Un calcul plus complexe pour le facteur de correction? Au lieu d’une variabilité quotidienne simple, on aura un PCS qui varie selon : les heures de pointes, le jour de la semaine et la saison la température et le vent les arrêts de production par les consommateurs importants et par le producteur de GNR la position physique dans le réseau local Le potentiel de l’erreur avec le GNR pourrait être jusqu’à trois fois plus important que la situation actuelle Est-ce que le potentiel absolu de la valeur monétaire de l’erreur justifie un modèle plus sophistiqué? m³/an moyenne maximum moyenne maximum résidences 200 5 278 10 $ 50 $ 31 $ 149 $ commerces 10 000 211 138 353 $ 1 688 $ 1 060 $ 5 065 $ industries 1 000 000 26 392 188 29 452 $ 140 704 $ 88 357 $ 422 113 $