PRESENTATION DE LA BILHARZIOSE PAR Nait kharmouch Hanan et Tomczak Morgane élèves de la 2GT1
SOMMAIRE DEFINITION DE LA BILHARZIOSE REPARTITION MONDIALE DES CAS DE BILHARZIOSE CAUSES DE LA BILHARZIOSE LES SYMPTOMES DE LA BILHARZIOSE LE TRAITEMENT CONTRE LA BILHARZIOSE LES CONSEILS DE PREVENTION
BILHARZIOSE La bilharziose ou schistosomiase, parfois appelée dermatite des nageurs, est une maladie parasitaire due à un ver hématophage, le schistosome. Elle est présente dans les zones tropicales et subtropicales ; en Afrique, en Amérique du Sud et en Asie . Au Viêtnam, on rencontre Schistosoma mekongi qui est responsable de la bilharziose intestinale et hépatosplénique. . C'est la seconde endémie parasitaire mondiale après le paludisme avec une prévalence de 180 millions d’individus affectés, pour environ 280 000 décès chaque année.
REPARTITION MONDIALE DES BILHARZIOSES
CAUSES DE LA BILHARZIOSE La transmission de la maladie s'effectue au contact de l'eau contenant les larves. C'est la pénétration à travers la peau (transcutanée) de cercaires (larves de trématode), qui provoque cette affection chez les individus travaillant les pieds dans l'eau. La contamination se fait essentiellement dans les rizières, lieu où les individus sont particulièrement exposés. Puis, les bilharzies s'installent dans les veines du malade, à partir desquelles, la femelle migre vers la vessie, les intestins, où les œufs sont éliminés dans l'urine et dans les selles
LES SYMPTÔMES DE LA BILHARZIOSE Douleurs abdominales Toux Diarrhée Éosinophilie= granulocytes éosinophiles extrêmement élevé (globules blancs) Fièvre Fatigue Hépato splénomégalie = augmentation du volume du foie et de la rate. Lésions génitales = lésions qui augmentent la vulnérabilité à l'infection par le VIH (virus de l'immunodéficience humaine ).
LE TRAITEMENT CONTRE LA BILHARZIOSE Un seul antiparasitaire est efficace contre l’ensemble des bilharzioses humaines : le praziquantel . C’est un médicament simple à administrer .
CONSEILS DE PREVENTION Education et contrôles sanitaires. Elimination des matières fécales. Absence de contact avec les eaux de surface infestées (installation de puits). Destruction des mollusques par des moyens chimiques. Contrôle des zones d'irrigation. Filtrage et désinfection des eaux. Baignade dans les eaux autorisées. Vaccination (pour l'instant, elle n'est envisageable qu'à petite échelle).