Plan de l’exposé 1.Introduction 2.Méthodologie 3.Résultats: 4.Conclusion Lassana DIONI LaboSEP- IER MALI
1) Introduction Introduction Ces mesures sont destinées à caractériser certaines propriétés des sols : perméabilité au sens large et capacité au champ. Cependant, il est important de noter que certaines propriétés de ces sols ont été modifiées par des pratiques culturales (labour).Elles permettent également de d’aménager ces façons culturales pour la bonne gestion de l’eau. Dans le souci de déterminer les caractéristiques hydropédologiques des différents types de sols dans la zone d’étude, nous avons effectué des séries de mesures d’infiltration in situ. Cette expérimentation dans le milieu naturel (sur le terrain) a des avantages certains ; car elle permet de donner une orientation à l’utilisation des terres du point de vue comportement hydrique tout en tenant compte de leur perméabilité. Introduction
2) Methodologie
Le test de perméabilité de muntz : Lassana DIONI LaboSEP- IER MALI
Lassana DIONI LaboSEP- IER MALI
Le dispositif expérimental se compose de deux anneaux ou cylindres . 3.4.Méthode de perméabilité de Muntz La méthode appliquée est celle de Muntz modifiée. Elle diffère de celle proposée par Muntz , Faune et Laine par le fait que la charge en eau (h) est variable. Elle est pratique et réalisable au cours d’une prospection de courte durée. Le dispositif expérimental se compose de deux anneaux ou cylindres . Trois répétitions ont été réalisées par sites et validées par les observations de terrains les dispersions éventuelles des résultats sont inhérentes à toute mesure effectuée au champ et traduisent l’hétérogénéité de détail. . Les mesures d’infiltration d’eau cumulée s’effectuent dans l’anneau central et progressivement l’infiltration cumulée de l’eau (h) et le temps correspondant. L’expérience peut durer 5 à 10 heures. Le travail s’arrête lorsque la descente de l’eau est stabilisée (vitesse constante). Lassana DIONI LaboSEP- IER MALI
Les formules utilisées pour le calcul de l’infiltration s’inspirent de celles mises au point par l’Université Agronomique de Wageningen. Progressivement on aboutit à une infiltration stabilisée qu’on appelle infiltration de base (Ibas) que l’on peut définir théoriquement sur la courbe des infiltrations instantanées (Inst En effet l’infiltration cumulée qui représente la somme des quantités d’eau infiltrée (Sh) au cours de l’expérience, se présente sous la forme de fonction linéaire en représentation logarithmique telle que : I cum = f log(t) Lassana DIONI LaboSEP- IER MALI
3.4.2.Relation entre lbas et t 10 3.4.1.Représentation graphique Nous avons utilisé le logiciel Excel pour établir les courbes de perméabilité le temps en abscisse et les hauteurs d’eau cumulée en ordonnée. On détermine au préalable les infiltrations cumulées et les temps correspondants. 3.4.2.Relation entre lbas et t 10 Il est intéressant de noter que certains sols instables (texture moyenne) sont caractérisés par une diminution sensible de la perméabilité au cours du temps (n modéré à faible ), alors que celle ci est élevée au début. Lassana DIONI LaboSEP- IER MALI
3) Résultats Lassana DIONI LaboSEP- IER MALI
Lassana DIONI LaboSEP- IER MALI
Impact des Aménagement en Courbe de Niveau (ACN) Sur l’Infiltration des Eaux de pluies Lassana DIONI LaboSEP- IER MALI
Impact des Aménagement en Courbe de Niveau (ACN) Sur l’Infiltration des Eaux de pluies Lassana DIONI LaboSEP- IER MALI
Impact des Aménagement en Courbe de Niveau (ACN) Sur l’Infiltration des Eaux de pluies Lassana DIONI LaboSEP- IER MALI
Lassana DIONI LaboSEP- IER MALI
Impact des Aménagement en Courbe de Niveau (ACN) Sur l’Infiltration des Eaux de pluies Lassana DIONI LaboSEP- IER MALI
Impact des Aménagement en Courbe de Niveau (ACN) Sur l’Infiltration des Eaux de pluies Lassana DIONI LaboSEP- IER MALI
4) Conclusion D’une maniére génerale l’infiltration est rélativement plus elevée sur les parcelles ACN que sur les parcelles NA Dans tous les sites sauf à Oumarbougou. Lassana DIONI LaboSEP- IER MALI