Rapport sur département SPU Jean-Loup Puget, Valérie Masson-Delmotte, M. Bizouard Etabli sur la base du document de description du département d’éléments complémentaires envoyés par E. Chassefière (compte-rendus réunions COPIL 2 juillet et 4 septembre)
1. Fiche d’identité du département Situer les thématiques scientifiques dans le contexte des grands programmes nationaux et internationaux Clair et précis, à mettre à jour pour les nouveaux laboratoires associés (LPT et IPHT) Pourquoi la Maison de la Simulation n’est-elle pas explicitement associée à SPU?
1. Fiche d’identité du département Manque analyse du poids et positionnement du département dans le contexte national (INSU pour chaque division : ST, SIC, OA et AA), européen et international Grands outils (réseaux et observatoires, spatial, calcul, plateformes): manque des éléments de positionnement vis à vis des campagnes de terrain et agences de moyen associées Bilan chiffré réduit à un nombre total de publications par an, une analyse co-auteurs de publications pourrait permettre de visualiser le rayonnement international
1. Fiche d’identité du département Travail à poursuivre pour identifier les outils à mettre en place aux interfaces entre départements (ex élargir labos associés) Ex : mathématiques, P2I, SHS - Manque de précisions sur état des lieux réseau énergie (climat?) et projet d’Institut de l’Environnement. - Mise en place d’un réseau climat qui recoupe les 3 volets du GIEC (physique du climat, impacts et adaptation, atténuation)?
2. Mode de travail prévu du département Gouvernance bien décrite. Projets d’animation scientifique et d’actions incitatives essentiels pour la mise en place de SPU. Mieux décrire les besoins et retombées attendues de ce type d’action incitative. Construire une stratégie plus précise concernant les connections avec le monde socio-économique (industrie et services).
3. Vision à long terme Absent du document. Mise en place de 4 axes thématiques pour état des lieux de la prospective des différentes équipes par « compartiment » Démarche pour construire stratégie et vision à long terme non explicite.
4. Eléments de stratégie Identifier la stratégie du département vis à vis des agences (appels à projets, priorités, coordination de réponses aux appels d’offre…). Analyse atouts/faiblesses non disponibles, première étape serait de définir les critères nécessaires pour cette analyse par rapport aux objectifs scientifiques et techniques. Identification des interfaces avec autres départements engagée, à poursuivre dans une réflexion stratégique pour définir les outils adaptés (aspect essentiel)
5. Trajectoire 2015-2019 Certains projets de court terme sont bien identifiés : réseau spatial, plateformes, calcul, structuration de l’offre de formation master Démarrage de l’exercice de stratégie (mise en place des 4 axes de réflexion). Doit permettre un « bottom up » dans les laboratoires pour susciter une motivation (importance des actions incitatives).
6. Outils mis en place et prévus Pas d’élément sur la partie « veille, prospective, recueil données ». Liens avec INSU, relations SPU-IPSL et Paris-Saclay / LABEX L-IPSL à structurer et clarifier. Construire outils pertinents d’interfaces avec autres départements (cf réseaux) et pour relations avec monde socio-économique et institutionnel.
7. Liens avec schools Analyse faite dans le cadre d’une offre lisible de formation niveau master et pour l’Institut de l’environnement (espace pédagogique commun)
8. Liens avec LABEX-EQUIPEX Intégration des projets dans la stratégie du département : oui Cohérence du projet département avec la 2ème phase des LABEX associés : à construire
9. Liens avec structures collectives déjà existantes Description succinte Analyse du positionnement de Paris-Saclay par rapport aux axes de la stratégie nationale de recherche pourrait être pertinente.
10. Autres Moyens récurrents indispensables pour actions incitatives Réflexions à mettre en place vis à vis des jeunes (doctorants, postdocs, jeunes chercheurs) dans le fonctionnement du département SPU Recommandation de bien identifier les besoins de développements sur le moyen et long terme et les soutenir (pour compléter les appels d’offre plus centrés sur les applications, de type ANR thématique ou H2020).