Fig. 4.2.2 Sécurité – pensées suicidaires et tentatives de suicide Source: Pottie K, Dahal G, Georgiades K, Premji K and Hassan G. (2014). Do First Generation Immigrant Adolescents Face Higher Rates of Bullying, Violence and Suicidal Behaviours Than Do Third Generation and Native Born? J Immigrant Minority Health. doi: 10.1007/s10903-014-0108-6 http://link.springer.com/article/10.1007%2Fs10903-014-0108-6#page-1 Graphique créé par l’ICSI avec une photo de Big Stock Photo. Les éléments de l’infographie révèlent que l’intimidation et l’agressivité entre pairs sont plus fréquentes chez les jeunes immigrants de première génération qui ne parlent pas la (ou les) langue(s) officielle(s) de leur pays d’accueil, par rapport à leurs homologues immigrants de 3e génération ou aux jeunes nés ici. Ces constats signifient que les risques de violence sont plus élevés lorsque les jeunes néo-canadiens parlent une langue autre que celle de leur nouveau milieu de vie1. Bien que ces données soient issues d’études américaines, elles ont nécessairement une importante portée sur la vie des immigrants au Canada. La recherche a démontré que, dans la plupart des cas, un jeune néo-canadien évoluant au sein d’une famille solidaire et unie — tous les membres vivant ensemble — est moins exposé à la violence. 1Pottie K, Dahal G, Georgiades K, Premji K and Hassan G. (2014). Do First Generation Immigrant Adolescents Face Higher Rates of Bullying, Violence and Suicidal Behaviours Than Do Third Generation and Native Born? J Immigrant Minority Health. doi: 10.1007/s10903-014-0108-6; http://link.springer.com/article/10.1007%2Fs10903-014-0108-6#page-1