Programme ILO CONFĒRENCE «AGRICULTURE ET PAUVRETĒ» LE SYSTĒME DE RIZICULTURE INTENSIF Ā MADAGASCAR : SITUATION ACTUELLE ET PERSPECTIVES D'AVENIR par Christine M. Moser et Christopher B. Barrett Cornell University, Etats-Unis
On sinteresse au sujet de SRI parce que le SRI accroît les rendements du riz avec peu ou pas dintrants extérieurs. Donc, on pense naturellement que le SRI pourrait être particulièrement bénéficique aux les paysans pauvres.
Malgré le SRI na pas encore été adoptée partout à Madagascar. Antananarivo cest la seule province ou le SRI est présent dans la majorité des communes.
Une étude effectué dans 5 villages près d Antsirabe et de Ranomafana en 2000 aussi indique que le SRI nest pas pratiqué par de nombreux agriculteurs. Graphique 1. Adoption du SRI dans les cinq sites de 1993 à 1999 (pourcentage de ménages adoptants et abandonnants)
-Gestion de leau - Vulgarisation et appresntissage entre agriculteurs * quand le vulgarisation a arrêté, beaucoup labandonnaient - Caractéristiques de lexploitation et du ménage * il y a differences saillantes au niveau déducation, de la superficie dautres sources de revenu (les gens salairés lessaie mais ils abandonnent plus, ceux qui travaille agricole journalier ne lessaie pas), et daccès à un outil mécanique de désherbage * le meilleur facteur pour prédire si un agriculteur le practique est lexpérience même avec le SRI en avant. Facteurs Limitant lusage répandu du SRI
A première vue, le SRI apparaît comme une méthode idéale ici. Mais la lenteur de la propagation, la petitesse des superficies allouées au SRI, le taux élevé dabandon et lapparent recul de ladoption soulèvent des questions importantes sur la valeur et limpact probable du SRI. Les plus pauvres nont ni le temps ni les moyens financiers à investir dans le SRI. Il y a aussi des questions concerant les coûts de diffusion si les agriculteurs ont besoin de plusieurs années de vulgarisation et des outlis mécaniques de désherbages. A lavenir, les pauvres peuvent bénéficier indirectement des prix réduits du riz et dune demande croissante en main dœuvre agricole. Mais actuellement, les agriculteurs pauvres nadoptent pas le SRI. Conclusion