La vie après la confédération

Après les défaites au Manitoba et Saskatchewan Par 1905 on avait tout les provinces et territoires d’aujourd’hui avec l’exception du Terre-Neuve (1949) et Nunavut (1999). John A. Macdonald voulait voir le Canada s’étendre d’un océan à l’autre, et son gouvernement conservative avait le slogan: A Mari usque ad Mare Pour coloniser les nouvelles terres, le gouvernement offrait des « homesteads », des terres sur laquelle les colons s’établissaient pour la cultiver et, plus tard, en devenir propriétaires.

Problèmes avec les homesteads Le grand problème: Les terres qu’ils voulaient donner aux homesteaders étaient déjà occupé par les Premières Nations et Métis. Solution? Les traités. Le gouvernement ne voulait pas avoir le même sorte de résistance qu’il y avait au Manitoba et Saskatchewan avec les Métis, alors ils espéraient négocier pour les terres.

Les traités Les terres donnés pour les réserves avaient tendance à être mauvaises pour l’agriculture et dans des endroits éloignés. Les réserves avaient des effets sur les premières nations car ils ont changé leur mode de vie. Un des aspects des traités disaient que les autochtones devaient rester sur les réserves. Certains homesteaders avaient peur que les autochtones essayent de quitter les réserves et allaient reprendre leurs terres.

Relations avec les Premières Nations Lorsque la traite de fourrure à diminué et les immigrants venaient en plus grand nombre, le gouvernement ne voyait plus l’utilité des bonnes relations avec les Premières Nations. Dans les traités les Premières Nations recevaient le suivant: 3 à 12$ pour l’achat de la terre 3-5$ annuel Une réserve Écoles sur le réserves Droits à la chasse Médaille et drapeau pour le chef

Pourquoi est-ce qu’ils ont signés? Ils essayaient de protéger leur culture. Le bison était surchassé et leur mode de vie était en voie d’extinction à cause des immigrants, ils pensaient que c’était le seul option pour survivre. Ils n’avaient plus les nombres pour lutter contre le gouvernement grâce aux maladies européens. Plusieurs promesse à l’orale étaient brisé par le gouvernement.

Gestion des réserves En signant les traités, les Premières Nations promettaient de maintenir le paix, de ne pas reprendre leurs terres et de ne pas avoir de l’alcool dans les réserves. Au début, le gouvernement a créé la Police à cheval du Nord-Ouest (P.C.N.-O.) avec le but de: Protéger les Premières Nations contre des attaques américaines. Aider avec la négociation des traités. Fermer les postes illégales de Whisky. Maintenir l’ordre public au Nord-Ouest Éventuellement le P.C.N.-O. deviendra la Gendarmerie royale du Canada (GRC)= RCMP

La loi sur les Indiens de 1876 Il y avait 3 objectifs principaux: Assimiler les Premières Nations au moyen de l’émancipation Gérer les communautés de Premières Nations et leurs réserves Définir qui pouvait ou ne pouvait pas être catégorisé comme membre d’une Première Nation. Les enfants étaient forcés d’aller aux pensionnats.

Chemin de fer Macdonald avait comme mission de finir le chemin de fer: « Jusqu’à ce que ce grand ouvrage soit terminé, notre Dominion n’est rien de plus qu’une “expression géographique”[…][Avec] le chemin de fer […] fini, nous deviendrons une grande nation unie avec un vaste commerce interprovincial et un intérêt commun. » Les chinois étaient essentiel dans la construction du chemin de fer mais, ils étaient payés la moitié des autres, avaient les tâches plus difficile et plus dangereux. 15 000 chinois ont travaillé le chemin de fer entre 1881 et 1885.

L’immigration Macdonald voulait peupler l’Ouest pour unir le pays et arrêter l’annexion aux É.U. En 1871 il y avait 43 000 et par 1891 250 000 Mennonites De 1873-1884 des mennonites sont venus de la Russie pour ne pas avoir besoin de joindre l’armée russe. Le gouvernement leur a promis des écoles si ils cultivaient la terre. Islandais 1875 il y a 235 islandais qui sont arrivés à Gimli (Paradis en islandais). Par 1900 il y avait 2 000 à Gimli et 4 000 à Winnipeg.

Le Canada de Laurier En 1896 Wilfred Laurier est devenu le premier premier ministre francophone. Il pensait que l’identité du Canada devrait être établit hors de l’ombre de la Grande-Bretagne: « Le Canada en premier, le Canada en dernier, le Canada toujours » Un de ses ministre, Clifford Sifton était responsable d’encourager des immigrants à venir s’installer dans l’Ouest du Canada. Sifton ciblait des immigrants des États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Europe du Nord et l’Est du Canada. Finalement, il a vu que ces immigrants avaient de la difficulté avec le climat rude du Canada et il a commencé à viser des immigrants de la Pologne et l’Ukraine.

Changement d’attitude avec l’immigration Par 1905, Sifton était remplacé par Frank Oliver qui a mit des restrictions sur l’immigration. Les Européens de l’ouest, la Grande-Bretagne et les Américains étaient le bienvenus. Les Slaves comme de l’Ukraine et la Pologne pouvaient faire demande, mais ils étaient vu comme moins intelligents, et ils n’aimaient pas qu’ils créaient leurs propres communautés. Les noirs, sikhs et japonais étaient exclus de façon non officielle.