On the incentives to Form Strategic Coalitions in ATM Markets, by T On the incentives to Form Strategic Coalitions in ATM Markets, by T. Wenzel - Comments by M. Manant CNAM October 25, 2007
Aim of the paper: Study the formation of coalitions in retail banking. Questions: Under which conditions is it profitable for banks to make agreements to ban foreign and surcharge fees? Two effects of forming a coalition: - reduces the incomes from ATM transactions, - weakens competition.
The model: Consumers uniformly located on the line (location denoted x) face a linear cost of transportation. Case of asymmetric networks where consumers have a probability Pi to find an ATM of bank i. Two kinds of services: general banking services and ATM services.
Plusieurs méthodes sont utilisées par les instituts de statistiques nationales : La méthode facture type utilise des factures individuelles réelles pour définir une structure de consommation qui sert comme pondération dans le calcul de l’indice. L’indice lui-même est calculé comme le rapport de la dépense engendrée par l’utilisation des différents produit à la période t. La dépense minimale est comparé à la dépense minimale obtenue à la période base. Le problème avec cette méthode est qu’elle suppose une différence de qualité nulle entre un ancien plan tarifaire et un nouveau produit que toute différence de prix est un effet de prix pur. 2) Les deux premières méthodes sont assez similaires. La méthode de plan tarifaire type utilise des plans tarifaires représentatifs qui varient selon varient selon le coût et les conditions d’accès aux options. L’indice est calculé comme le rapport des prix élémentaires des composantes du plan tarifaire multipliés par le poids de chaque service dans la dépense totale de tous les services. Le problème majeur avec cette méthode est que la politique des opérateurs est qu’une fois les prix des services dans un plan tarifaire sont fixés, ils ne changent plus après. Donc l’indice élémentaire des indices va rester =100. On ne peut pas affecter un à un service à cause de la politique du bundling et d’interfinancement entre les composante d’un plan tarifaire. Cette méthode a été longtemps utilisée au Canada et aux USA pour les services de télécommunications. 3) enfin, la méthode de profil de consommation type utilisée par l’INSEE depuis 2003 (elle inspirée de la méthode utilisé par le régulateur aux Royaume Unis et celle utilisée dans l’IPC en Allemagne). Elle consiste à regrouper les usagers ayant des modes de consommateurs voisins. Puis décrire ces modes de consommation à l’aide de plusieurs critères tels que nombre et durée mensuelle d’appels, répartition entre plages horaires, nombre de SMS… ensuite il s’agit de calculer pour chacun de ces profils de consommation (ou consommateurs type) la dépense induite par l’usage de n’importe quel produit offert par les opérateurs pour ce type de consommation, puis retenir la dépense minimale relativement à l’ensemble des produits. Enfin de comparer cette dépense à celle de la période précédente. Cette méthode est particulièrement efficace pour réagir aux changements rapides et variés des plans tarifaires. Nous pouvons toutefois lui reprocher de négliger certains aspects très importants de la qualité pour une période de forte développement du marché notamment (1996-1999). Or, pour la détermination des variations des prix purs, une exigence minimale et que les indices soient à qualité constante. Les statisticiens ont proposé une approche rigoureuse au problème des variations de la qualité dans le recours aux indices de prix hédoniques. Cette méthode rend possible la comparaison des prix de produits distincts en corrigeant leurs différences de qualité. Techniquement, elle consiste à estimer, à partir des données du marché sur le produit auquel on s’intéresse (par exemple micro-ordinateur), la valeur des caractéristiques intrinsèques qui le composent (mémoire, poids, vitesse). La méthode hédonique a l’avantage d’isoler de façon explicite les variations des prix purs des variations de la qualité. Or, bien que cette méthode soit largement utilisée pour les biens, dans d’autres domaines, notamment le secteur des services, très peu de travaux ont utilisé cette méthode pour l’ajustement de qualité.
Stage 1: Banks decide or not to enter the coalition. Timing: Stage 1: Banks decide or not to enter the coalition. Stage 2: Banks decide cooperatively on interchange fees. Stage 3: Banks set non-cooperatively account fees. Stage 4: Consumers decide to open or not an account. Stage 5: Banks decide non-cooperatively on ATM usage fees in the case of no coalition. Stage 6: Consumers decide on ATM use. Plusieurs méthodes sont utilisées par les instituts de statistiques nationales : La méthode facture type utilise des factures individuelles réelles pour définir une structure de consommation qui sert comme pondération dans le calcul de l’indice. L’indice lui-même est calculé comme le rapport de la dépense engendrée par l’utilisation des différents produit à la période t. La dépense minimale est comparé à la dépense minimale obtenue à la période base. Le problème avec cette méthode est qu’elle suppose une différence de qualité nulle entre un ancien plan tarifaire et un nouveau produit que toute différence de prix est un effet de prix pur. 2) Les deux premières méthodes sont assez similaires. La méthode de plan tarifaire type utilise des plans tarifaires représentatifs qui varient selon varient selon le coût et les conditions d’accès aux options. L’indice est calculé comme le rapport des prix élémentaires des composantes du plan tarifaire multipliés par le poids de chaque service dans la dépense totale de tous les services. Le problème majeur avec cette méthode est que la politique des opérateurs est qu’une fois les prix des services dans un plan tarifaire sont fixés, ils ne changent plus après. Donc l’indice élémentaire des indices va rester =100. On ne peut pas affecter un à un service à cause de la politique du bundling et d’interfinancement entre les composante d’un plan tarifaire. Cette méthode a été longtemps utilisée au Canada et aux USA pour les services de télécommunications. 3) enfin, la méthode de profil de consommation type utilisée par l’INSEE depuis 2003 (elle inspirée de la méthode utilisé par le régulateur aux Royaume Unis et celle utilisée dans l’IPC en Allemagne). Elle consiste à regrouper les usagers ayant des modes de consommateurs voisins. Puis décrire ces modes de consommation à l’aide de plusieurs critères tels que nombre et durée mensuelle d’appels, répartition entre plages horaires, nombre de SMS… ensuite il s’agit de calculer pour chacun de ces profils de consommation (ou consommateurs type) la dépense induite par l’usage de n’importe quel produit offert par les opérateurs pour ce type de consommation, puis retenir la dépense minimale relativement à l’ensemble des produits. Enfin de comparer cette dépense à celle de la période précédente. Cette méthode est particulièrement efficace pour réagir aux changements rapides et variés des plans tarifaires. Nous pouvons toutefois lui reprocher de négliger certains aspects très importants de la qualité pour une période de forte développement du marché notamment (1996-1999). Or, pour la détermination des variations des prix purs, une exigence minimale et que les indices soient à qualité constante. Les statisticiens ont proposé une approche rigoureuse au problème des variations de la qualité dans le recours aux indices de prix hédoniques. Cette méthode rend possible la comparaison des prix de produits distincts en corrigeant leurs différences de qualité. Techniquement, elle consiste à estimer, à partir des données du marché sur le produit auquel on s’intéresse (par exemple micro-ordinateur), la valeur des caractéristiques intrinsèques qui le composent (mémoire, poids, vitesse). La méthode hédonique a l’avantage d’isoler de façon explicite les variations des prix purs des variations de la qualité. Or, bien que cette méthode soit largement utilisée pour les biens, dans d’autres domaines, notamment le secteur des services, très peu de travaux ont utilisé cette méthode pour l’ajustement de qualité.
Consumer surplus is lower and welfare is higher under coalition. Results: Basic model (Pi = Pj = P) A strategic coalition is more likely for higher values of V (gross utility from general service) and higher values of P. Consumer surplus is lower and welfare is higher under coalition. Asymmetric model (P1 > P2) The bank with a smaller network has a larger incentive to form a coalition. Investments in ATM networks Banks have weaker incentives to form a coalition when they can invest in ATM networks than when they can not. Plusieurs méthodes sont utilisées par les instituts de statistiques nationales : La méthode facture type utilise des factures individuelles réelles pour définir une structure de consommation qui sert comme pondération dans le calcul de l’indice. L’indice lui-même est calculé comme le rapport de la dépense engendrée par l’utilisation des différents produit à la période t. La dépense minimale est comparé à la dépense minimale obtenue à la période base. Le problème avec cette méthode est qu’elle suppose une différence de qualité nulle entre un ancien plan tarifaire et un nouveau produit que toute différence de prix est un effet de prix pur. 2) Les deux premières méthodes sont assez similaires. La méthode de plan tarifaire type utilise des plans tarifaires représentatifs qui varient selon varient selon le coût et les conditions d’accès aux options. L’indice est calculé comme le rapport des prix élémentaires des composantes du plan tarifaire multipliés par le poids de chaque service dans la dépense totale de tous les services. Le problème majeur avec cette méthode est que la politique des opérateurs est qu’une fois les prix des services dans un plan tarifaire sont fixés, ils ne changent plus après. Donc l’indice élémentaire des indices va rester =100. On ne peut pas affecter un à un service à cause de la politique du bundling et d’interfinancement entre les composante d’un plan tarifaire. Cette méthode a été longtemps utilisée au Canada et aux USA pour les services de télécommunications. 3) enfin, la méthode de profil de consommation type utilisée par l’INSEE depuis 2003 (elle inspirée de la méthode utilisé par le régulateur aux Royaume Unis et celle utilisée dans l’IPC en Allemagne). Elle consiste à regrouper les usagers ayant des modes de consommateurs voisins. Puis décrire ces modes de consommation à l’aide de plusieurs critères tels que nombre et durée mensuelle d’appels, répartition entre plages horaires, nombre de SMS… ensuite il s’agit de calculer pour chacun de ces profils de consommation (ou consommateurs type) la dépense induite par l’usage de n’importe quel produit offert par les opérateurs pour ce type de consommation, puis retenir la dépense minimale relativement à l’ensemble des produits. Enfin de comparer cette dépense à celle de la période précédente. Cette méthode est particulièrement efficace pour réagir aux changements rapides et variés des plans tarifaires. Nous pouvons toutefois lui reprocher de négliger certains aspects très importants de la qualité pour une période de forte développement du marché notamment (1996-1999). Or, pour la détermination des variations des prix purs, une exigence minimale et que les indices soient à qualité constante. Les statisticiens ont proposé une approche rigoureuse au problème des variations de la qualité dans le recours aux indices de prix hédoniques. Cette méthode rend possible la comparaison des prix de produits distincts en corrigeant leurs différences de qualité. Techniquement, elle consiste à estimer, à partir des données du marché sur le produit auquel on s’intéresse (par exemple micro-ordinateur), la valeur des caractéristiques intrinsèques qui le composent (mémoire, poids, vitesse). La méthode hédonique a l’avantage d’isoler de façon explicite les variations des prix purs des variations de la qualité. Or, bien que cette méthode soit largement utilisée pour les biens, dans d’autres domaines, notamment le secteur des services, très peu de travaux ont utilisé cette méthode pour l’ajustement de qualité.
About the definition of the expression “strategic ATM coalition”? Questions: About the definition of the expression “strategic ATM coalition”? what means strategic in this context? does a coalition suppose at least 3 members? Stylized facts. How banks justify that they take part to banking networks? The timing: what would it change if we invert stage 4 and stage 5? Possible extensions study of coalition in a market with 3 or more. consider network externalities. Plusieurs méthodes sont utilisées par les instituts de statistiques nationales : La méthode facture type utilise des factures individuelles réelles pour définir une structure de consommation qui sert comme pondération dans le calcul de l’indice. L’indice lui-même est calculé comme le rapport de la dépense engendrée par l’utilisation des différents produit à la période t. La dépense minimale est comparé à la dépense minimale obtenue à la période base. Le problème avec cette méthode est qu’elle suppose une différence de qualité nulle entre un ancien plan tarifaire et un nouveau produit que toute différence de prix est un effet de prix pur. 2) Les deux premières méthodes sont assez similaires. La méthode de plan tarifaire type utilise des plans tarifaires représentatifs qui varient selon varient selon le coût et les conditions d’accès aux options. L’indice est calculé comme le rapport des prix élémentaires des composantes du plan tarifaire multipliés par le poids de chaque service dans la dépense totale de tous les services. Le problème majeur avec cette méthode est que la politique des opérateurs est qu’une fois les prix des services dans un plan tarifaire sont fixés, ils ne changent plus après. Donc l’indice élémentaire des indices va rester =100. On ne peut pas affecter un à un service à cause de la politique du bundling et d’interfinancement entre les composante d’un plan tarifaire. Cette méthode a été longtemps utilisée au Canada et aux USA pour les services de télécommunications. 3) enfin, la méthode de profil de consommation type utilisée par l’INSEE depuis 2003 (elle inspirée de la méthode utilisé par le régulateur aux Royaume Unis et celle utilisée dans l’IPC en Allemagne). Elle consiste à regrouper les usagers ayant des modes de consommateurs voisins. Puis décrire ces modes de consommation à l’aide de plusieurs critères tels que nombre et durée mensuelle d’appels, répartition entre plages horaires, nombre de SMS… ensuite il s’agit de calculer pour chacun de ces profils de consommation (ou consommateurs type) la dépense induite par l’usage de n’importe quel produit offert par les opérateurs pour ce type de consommation, puis retenir la dépense minimale relativement à l’ensemble des produits. Enfin de comparer cette dépense à celle de la période précédente. Cette méthode est particulièrement efficace pour réagir aux changements rapides et variés des plans tarifaires. Nous pouvons toutefois lui reprocher de négliger certains aspects très importants de la qualité pour une période de forte développement du marché notamment (1996-1999). Or, pour la détermination des variations des prix purs, une exigence minimale et que les indices soient à qualité constante. Les statisticiens ont proposé une approche rigoureuse au problème des variations de la qualité dans le recours aux indices de prix hédoniques. Cette méthode rend possible la comparaison des prix de produits distincts en corrigeant leurs différences de qualité. Techniquement, elle consiste à estimer, à partir des données du marché sur le produit auquel on s’intéresse (par exemple micro-ordinateur), la valeur des caractéristiques intrinsèques qui le composent (mémoire, poids, vitesse). La méthode hédonique a l’avantage d’isoler de façon explicite les variations des prix purs des variations de la qualité. Or, bien que cette méthode soit largement utilisée pour les biens, dans d’autres domaines, notamment le secteur des services, très peu de travaux ont utilisé cette méthode pour l’ajustement de qualité.