Défis planétaires et « Développement humain durable » Etat des lieux Misère du « SUD » Crise économique mondiale Crise énergétique Réchauffement climatique
Paul Sindic février Misère du « Sud » La moitié de la population mondiale La moitié de la population mondiale vit dans la misère ; vit dans la misère ; Un milliard dêtres humains ont faim ; Un milliard dêtres humains ont faim ; Deux millions de personnes meurent chaque année à cause de la mauvaise qualité de lénergie de cuisson (étude Banque mondiale); Deux millions de personnes meurent chaque année à cause de la mauvaise qualité de lénergie de cuisson (étude Banque mondiale); En Afrique sub saharienne, les taux de mortalité infantile sont de 20 à 40 fois supérieurs à ceux de lUE En Afrique sub saharienne, les taux de mortalité infantile sont de 20 à 40 fois supérieurs à ceux de lUE 10 millions dêtres humains au moins meurent chaque année qui nauraient jamais dû mourir; 10 millions dêtres humains au moins meurent chaque année qui nauraient jamais dû mourir; 250 millions de morts depuis 25 ans ; 250 millions de morts depuis 25 ans ; Des responsabilités capitalistes écrasantes ; Des responsabilités capitalistes écrasantes ; Un énorme scandale, pire que les génocides du XX° Siècle ; Un énorme scandale, pire que les génocides du XX° Siècle ; Une situation qui ne peut plus durer, proche de la rupture Une situation qui ne peut plus durer, proche de la rupture
Paul Sindic février Crise mondiale Une crise systémique et non pas conjoncturelle; Une crise systémique et non pas conjoncturelle; Une crise toujours en développement en Europe : voir Grèce, et demain peut-être Espagne, Portugal, Italie; Une crise toujours en développement en Europe : voir Grèce, et demain peut-être Espagne, Portugal, Italie; Les banques « sauvées » spéculent de plus belle ; le chômage croît toujours; Les banques « sauvées » spéculent de plus belle ; le chômage croît toujours; La facture va être payée par les salariés avec relance de la crise La facture va être payée par les salariés avec relance de la crise
Paul Sindic février Crise énergétique Le plafonnement de la production pétrolière (voir graphique) ; Le plafonnement de la production pétrolière (voir graphique) ; Le recul nécessaire des énergies fossiles (réchauffement climatique); Le recul nécessaire des énergies fossiles (réchauffement climatique); La difficulté de leur remplacement : La difficulté de leur remplacement : - Les aléas des énergies intermittentes ; - Les aléas des énergies intermittentes ; - Les problèmes des agrocarburants ; - Les problèmes des agrocarburants ; - Les problèmes de la relance du nucléaire - Les problèmes de la relance du nucléaire
Paul Sindic février
6 Réchauffement climatique (I) Historique Historique La création du GIEC (1988 – OMM et PNUE) et de la CCNUCC (1992) ; Que sont ces organismes ? La création du GIEC (1988 – OMM et PNUE) et de la CCNUCC (1992) ; Que sont ces organismes ? Le Protocole de Kyoto (1997) définit des obligations de réduction des émissions de GES (définition) pour les seuls « pays industrialisés » (définition) par rapport au niveau démissions de 1990; Le Protocole de Kyoto (1997) définit des obligations de réduction des émissions de GES (définition) pour les seuls « pays industrialisés » (définition) par rapport au niveau démissions de 1990; Réduction globale et réductions par pays (énumérer); intérêt et limites du Protocole de Kyoto, sanctions ?; Réduction globale et réductions par pays (énumérer); intérêt et limites du Protocole de Kyoto, sanctions ?; Lattitude des USA – Entrée en Vigueur du protocole en 2005 – Date limite de respect des engagements 2012 Lattitude des USA – Entrée en Vigueur du protocole en 2005 – Date limite de respect des engagements 2012
Paul Sindic février Réchauffement climatique (II) Les travaux du GIEC Les travaux du GIEC Rapports complets périodiques sur lévolution prévisible de la température moyenne planétaire dici 2100 en fonction des politiques de réduction pratiquées Rapports complets périodiques sur lévolution prévisible de la température moyenne planétaire dici 2100 en fonction des politiques de réduction pratiquées - 2OO2 (fourchette 1,4 à 4,8 °C, seuil de 2°C à ne pas dépasser – limite du « gérable » (expliquer); exemple dune évolution à 3,5 °C – graphique - 2OO2 (fourchette 1,4 à 4,8 °C, seuil de 2°C à ne pas dépasser – limite du « gérable » (expliquer); exemple dune évolution à 3,5 °C – graphique et conséquences) et conséquences) (confirmation des 2°C, pour ne pas les dépasser, nécessité de diviser par deux les émissions planétaires dici 2050, les « pays industrialisés » devant les réduire de 75 à 80 %) ; obligation entérinée en principe par les pays industrialisés (Bush) ; (confirmation des 2°C, pour ne pas les dépasser, nécessité de diviser par deux les émissions planétaires dici 2050, les « pays industrialisés » devant les réduire de 75 à 80 %) ; obligation entérinée en principe par les pays industrialisés (Bush) ; Constat dune aggravation de divers processus, doù recommandation de plafonner les émissions dès 2015 et de procéder à des réductions drastiques dès Constat dune aggravation de divers processus, doù recommandation de plafonner les émissions dès 2015 et de procéder à des réductions drastiques dès 2020
Paul Sindic février
9 Réchauffement climatique (III) Bilan actuel de la mise œuvre de Kyoto Bilan actuel de la mise œuvre de Kyoto - Assez consternant : Enumérer USA, Canada, Australie, Japon, UE à 15 (détailler, par pays et global), ex. pays de lEst, Russie, Ukraine; - Assez consternant : Enumérer USA, Canada, Australie, Japon, UE à 15 (détailler, par pays et global), ex. pays de lEst, Russie, Ukraine; - Les grands pays émergents et les PED navaient pas dobligations, mais, depuis 1990, les émissions de certains dentre eux ont fortement augmenté (cas de la Chine notamment). - Les grands pays émergents et les PED navaient pas dobligations, mais, depuis 1990, les émissions de certains dentre eux ont fortement augmenté (cas de la Chine notamment).
Paul Sindic février Evolution des émissions de CO2 (doc mission interministérielle)
Paul Sindic février Réchauffement climatique (IV) La Conférence de Copenhague (8-18 décembre 2009) La Conférence de Copenhague (8-18 décembre 2009) - Elle était censée entamer, au sein de la CCNUCC, les discussions sur les obligations de réduction à remplir après 2012 (dici 2020, voire dici 2050); - Elle était censée entamer, au sein de la CCNUCC, les discussions sur les obligations de réduction à remplir après 2012 (dici 2020, voire dici 2050); - Elle devait ainsi concrétiser les engagements que les « pays industrialisés » et certains pays émergents avaient annoncés au cours des mois, voire des années précédentes ; - Elle devait ainsi concrétiser les engagements que les « pays industrialisés » et certains pays émergents avaient annoncés au cours des mois, voire des années précédentes ; - Enoncé de ces engagements de principe (détailler USA, UE, Chine). - Enoncé de ces engagements de principe (détailler USA, UE, Chine).
Paul Sindic février Réchauffement climatique (V) Le semi-échec de Copenhague : Le semi-échec de Copenhague : - Un mini-Accord au statut juridique incertain ; - Un mini-Accord au statut juridique incertain ; - Aucun engagement de réduction réel dans cet Accord, sinon une déclaration marquant une volonté de ne pas dépasser 2°C daugmentation planétaire par rapport au niveau de 1990 ; - Aucun engagement de réduction réel dans cet Accord, sinon une déclaration marquant une volonté de ne pas dépasser 2°C daugmentation planétaire par rapport au niveau de 1990 ; - Par contre, un engagement de principe de 30 milliards de $ sur trois ans et de 100 milliards de $/an à partir de 2020 pour aider les PED à « s adapter » (?) à fournir par les pays « industrialisés » ; - Par contre, un engagement de principe de 30 milliards de $ sur trois ans et de 100 milliards de $/an à partir de 2020 pour aider les PED à « s adapter » (?) à fournir par les pays « industrialisés » ; - Mais aussi une obligation de principe de fournir pour le 31/01/10, les engagements de réduction pour 2020, obligation apparemment respectée (55 pays représentant 78% des émissions ont communiqué leurs engagements à ce jour) - Mais aussi une obligation de principe de fournir pour le 31/01/10, les engagements de réduction pour 2020, obligation apparemment respectée (55 pays représentant 78% des émissions ont communiqué leurs engagements à ce jour)
Paul Sindic février Réchauffement climatique (VI) Les leçons de Copenhague Les leçons de Copenhague - La stratégie des principaux acteurs (USA, Chine, UE, grands pays émergents – leur « freinage »; - La stratégie des principaux acteurs (USA, Chine, UE, grands pays émergents – leur « freinage »; - Le rôle des PED et leur prise de conscience ; - Le rôle des PED et leur prise de conscience ; - Le rôle des ONG (limites de la démocratie de « lobbying) ; - Le rôle des ONG (limites de la démocratie de « lobbying) ; - Lattitude de N. Sarkozy (attaque de diversion - Lattitude de N. Sarkozy (attaque de diversion contre les organisations onusiennes); contre les organisations onusiennes); Les attaques contre les travaux du GIEC et contre son Président Les attaques contre les travaux du GIEC et contre son Président - Les éléments « scientifiques » ; - Les éléments « scientifiques » ; - Les raisons politico-économiques - Les raisons politico-économiques
Paul Sindic février Aspects généraux de la « durabilité » Le réchauffement climatique et la crise énergétique (plafonnement de la production du pétrole) sont deux aspects particuliers de ce que lon appelle la « durabilité » (expliquer); Le réchauffement climatique et la crise énergétique (plafonnement de la production du pétrole) sont deux aspects particuliers de ce que lon appelle la « durabilité » (expliquer); Les trois grands problèmes de la « durabilité » Les trois grands problèmes de la « durabilité » - Les niveaux de prélèvements sur les ressources naturelles épuisables ; - Les niveaux de prélèvements sur les ressources naturelles épuisables ; - Les modes de gestion les plus économes possibles des ressources naturelles renouvelables (forêts, eau, ressources des océans, produits agro-alimentaires, agro-industriels, etc.) - Les modes de gestion les plus économes possibles des ressources naturelles renouvelables (forêts, eau, ressources des océans, produits agro-alimentaires, agro-industriels, etc.) - La minimisation ou la réversibilité des atteintes à lenvironnement (diminution des émissions de GES, des pollutions en tous genres, reforestation, restauration de la biodiversité, etc.) - La minimisation ou la réversibilité des atteintes à lenvironnement (diminution des émissions de GES, des pollutions en tous genres, reforestation, restauration de la biodiversité, etc.)
Paul Sindic février Aspects généraux de la « durabilité » (II) Deux autres questions générales de la « durabilité » Deux autres questions générales de la « durabilité » - Quelle durée pour la « durabilité » ? - Quelle durée pour la « durabilité » ? - Quel niveau de population pour la planète ? - Quel niveau de population pour la planète ?
Paul Sindic février La bataille idéologique en France à propos de la «durabilité » La bataille idéologique en France à propos de la «durabilité » La récupération capitaliste du concept de « développement durable » La récupération capitaliste du concept de « développement durable » - Le sens originel de ce concept, apparu avec le « Rapport Bruntland » (priorité aux besoins essentiels des plus démunis) (expliquer) ; - Le sens originel de ce concept, apparu avec le « Rapport Bruntland » (priorité aux besoins essentiels des plus démunis) (expliquer) ; - Le dévoiement de son sens et sa récupération par lidéologie capitaliste néolibérale dominante (pouvoir de droite et grandes firmes) – expliquer ; - Le dévoiement de son sens et sa récupération par lidéologie capitaliste néolibérale dominante (pouvoir de droite et grandes firmes) – expliquer ; - La faiblesse idéologique du mouvement écologiste et de diverses forces progressistes les rendant incapables danalyser cette récupération et contribuant à un « pseudo-consensus » autour de ce terme ; - La faiblesse idéologique du mouvement écologiste et de diverses forces progressistes les rendant incapables danalyser cette récupération et contribuant à un « pseudo-consensus » autour de ce terme ; - La bataille politique du PCF pour défendre un nouveau concept, non récupérable, celui de « développement humain durable »(34 ° Congrès) - enjeux et difficultés de cette bataille (expliquer) - La bataille politique du PCF pour défendre un nouveau concept, non récupérable, celui de « développement humain durable »(34 ° Congrès) - enjeux et difficultés de cette bataille (expliquer)