Le travail social et une approche tenant compte des traumatismes

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Transcription de la présentation:

Le travail social et une approche tenant compte des traumatismes Rina Arseneault, C.M. MTS, TSI Directrice Adjointe, CMMF

Je tiens à souligner que cette l’événement aujourd’hui a lieu sur le territoire traditionnel des nations Micmaque et Malécite. 

Règlement pour cette formation Je ne suis pas une experte Respect et confidentialité Reconnaît et apprécie les différents points de vue On ne partage que ce que nous sommes confortables de partager Un sujet difficile donc... Aucune question ou sujet ne sont hors limite On essaie d’être à l’écoute de nos propres suppositions.

Objectifs de la formation Approfondir nos connaissances des incidences qu'ont les traumatismes sur la vie des gens. Améliorer nos capacités d'élaborer des programmes et services appropriés et tenant compte des traumatismes. Réfléchir aux moyens d'intégrer cette analyse et cette approche dans notre travail quotidien avec nos partenaires et collègues. Programme d'Action communautaire pour les enfants (PACE) Programme canadien de nutrition prénatal (PCNP) Programme d’aide préscolaire aux Autochtones dans les collectivités urbaines et nordiques (PAPACUN)  

1/6/2016 Activité (Vous pouvez choisir autant d’options que vous voulez dans chaque liste. Cochez les concepts qui s’applique à vous) 1 Je suis comme je suis à cause de:  famille  race  genre  culture  religion  revenue  partenaire  occupation  nationalité 2 Quand je pense à moi, je me considère comme::  une femme  un homme  un père  une maman  sa fille  son fils  un amant  un partenaire/femme/mari  un/une amie  un étudiant un travailleur  de race blanche a race noir  Autochtone riche  revenue limité pauvre  homosexuel 3 Je serais une personne différente si:  de famille différente  de race différente  de genre différent  de culture différente  changeait de religion  plus ou moins de revenue  partenaire différent  changé d’occupation  nationalité différente  je demeurais dans un endroit différent  des ami.e.s différents Muriel McQueen Fergusson Centre

Nos croyances deviennent nos pensées Nos pensées deviennent nos paroles Nos paroles deviennent nos actions Nos actions deviennent nos habitudes Nos habitudes deviennent notre caractère Notre caractère devient notre destin ~ Mahatma Gandhi

Que veut-on dire par violence familiale? La violence familiale se définit comme une forme de maltraitance, de mauvais traitement ou de négligence que subit un enfant ou un adulte de la part d'un membre de sa famille, ou d'une personne qu'il ou elle fréquente, ou encore en qui la personne a confiance. Le terme « famille » désigne un groupe de personnes liées par l’affection, un lien de parenté, un lien de dépendance ou la confiance (CMMF) Justice Canada: http://www.justice.gc.ca/fra/jp-cj/vf-fv/ 7

Nouveau-Brunswick, une définition commune de la violence conjugale « Lorsqu’une personne qui a une relation intime ou qui a eu une relation intime adopte un comportement violent, profère des menaces ou utilise le harcèlement comme un moyen de dominer, de contrôler ou de forcer l’autre partenaire sur le plan psychologique, physique, sexuel ou financier. » Fait référence aux personnes qui ont vécu ou qui vivent une relation intime ou amoureuse, peu importe si elles sont du même sexe ou non ou si elles habitent (ou ont habité) ensemble. (Province du Nouveau-Brunswick, 2012, p. 10) 8

Violence conjugale Autres termes communs: dispute domestique / abus / violence violence faite aux femmes violence du partenaire  violence familiale violence dans les fréquentations viol dans les fréquentations violence sexuelle dans relation intime harcèlement

Formes de Violence Violence émotionnelle / psychologique Frederic G. Reamer, Ph.D. Formes de Violence Violence émotionnelle / psychologique Physical violence Sexual violence Violence spirituelle Violence financière Sévices envers les animaux de compagnie Négligence Destruction de propriété Harcèlement criminel (stalking) Homicide Includes various types of physical assault such as slapping, kicking, punching, burning, choking, stabbing and/or shooting Is the most commonly identified type of violence Is punishable under the Criminal Code of Canada

Pratique sensible au traumatisme

Mise en contexte de la pratique sensible au traumatisme Le traumatisme peut être défini comme la réaction émotionnelle déclenchée par une blessure que nous sommes incapables de gérer. (Voir Poole, 2012, Poole & Greaves, 2012.)1, 2 La blessure peut être physique, sexuelle ou émotionnelle (Centre de toxicomanie et de santé mentale, 2000). Voici des événements ou situations qui sont susceptibles d’être accablants ou impossibles à gérer pour la personne : agression physique agression sexuelle, notamment les sévices sexuels durant l’enfance menace d’agression physique ou sexuelle violence verbale témoin d’actes de violence envers autrui victime de négligence prolongée durant l’enfance Pouvez-vous penser à d’autres? Décris l'expérience et la capacité avec laquelle la personne peut faire face à leur traumatisme. Tout aussi difficile sont les événements ultérieurs tels que la violence, un accident, une catastrophe naturelle, guerre, incarcération, perte soudaine Cela peut nuire à notre sens de sécurité, de soi, du monde, etc.. Personnes en situation de traumatisme souvent sentent la terreur, la honte, le désespoir et l'impuissance. Cette philosophie axée sur le trauma reconnaître comment l'expérience du traumatisme peut affecter la confiance, croyances et comportements des gens qui viennent pour de l'aide. Dans ces organismes , ces professionnels ne sont pas tenus de traiter les traumatismes ; au contraire, ils comprennent que dans leur travail les personnes qu’il rencontre fréquemment souffre de traumatisme ; Comment bâtir une confiance entre intervenant et client est difficile et l'importance de prendre notre temps peut être.

Notre cerveau et le traumatisme (vidéo en anglais seulement) https://www.youtube.com/watch?v=4-tcKYx24aA

Le traumatisme La pratique sensible au traumatisme -- trois aspects constants : Intrapersonnel (par ex., l’expérience de la personne concernant sa propre santé mentale) (Perception de soi) Interpersonnel (par ex., l’expérience de la personne concernant ses relations) (Perception de leur environnement immédiat et les personnes autour) Structurel (par ex., l’expérience de la personne concernant la capacité de la communauté de fournir des appuis qui mettent l’accent sur la sécurité, le choix et la maîtrise du processus) (Perception du monde) Il existe plusieurs formes de traumatismes – simple, complexe, développemental, entre les générations – et de nombreuses variantes dans comment est vécu les traumatismes. Expériences traumatiques façonnent de nombreux aspects de la vie des survivants de violence. Si nous ne regardons par ces traumatisme avec une lentille informée par le trauma, ces modifications ou changements peuvent être diagnostique ou qualifier comme pathologique par les fournisseurs de services au lieu d'être vu comme un moyen d'adaptation à la situation vécu

Connaître les réponses sensibles au traumatisme (version adaptée et révisée de l’ouvrage de B. Ward, 2013)5 Traditionnelle Les traumatismes ne sont pas considérés comme des événements déterminants pour les personnes Les problèmes qui en résultent sont très particuliers à l’individu. Les traumatismes sont rares, ils doivent être définis par des spécialistes compétents en la matière Principaux objectifs de l’intervention sont définis par les fournisseurs de services et se concentre sur la réduction du/des symptôme Réactive La personne est présumée « endommagée », probablement pour la vie, et notamment sur le plan de l’éthique en raison du traumatisme qu’elle a subi. Réponses sensibles au traumatisme Les traumatismes sont des événements centraux qui ont un impact sur tout. Les problèmes persistants sont d’ordre intrapersonnel, interpersonnel et structurel Les personnes sont des experts actifs et des partenaires compétents avec les personnes leurs fournissant des services Principaux objectifs sont définis par la personne et se concentre sur le rétablissement, l’auto-efficacité et la guérison. Proactive L’accent sur la sécurité, le choix, la maîtrise du processus, on reconnaît et respecte les aptitudes à survivre, l’intégrité et le sens d’éthique de la personne et on accepte qu’elle se rétablira à ses conditions. Si nous considérons les individuelles avec leur traumatisme comme neurologique alors vous ne verrez pas comment épatants il peuve être – considéré – bipolaire – un étiquette est placé et puis ce n’est que l’étiquette que nous voyons et nous les voyons que sous cet oeuil. Donc si ne creusons pas plus loin nous ne voyons pas la personne génial. Nous devons être prudents de ne pas reproduire ce qui s'est toujours passé pour eux en les étiquetant, mais de prendre le temps d'honnorer d'où ils viennent. Si le mot choisi est un mot que la personne a choisis elle-même donc ça va, c'est leur expérience vécu. Souvent, les gens s’identifie à une étiquette qui leur ont été donnée à un moment dans leur vie. Cette philosophie nous permet de voir la personne en avant de nous et non le problème qui l’amené chez nous. La personne est plus que le problème– plus que comment ils ont été définis par leur expérience ou leur histoire ou leur maladie. Vu de cette façon il peut être compréhensible que certaines personnes qui tentent de faire face à des antécédents de violence ont des problèmes de toxicomanie. La négligence et la violence sexuelle précoces jouent un rôle majeur dans la façon dont les gens s'adaptent à la vie – même parfois cette violence peut changer des aspects fondamentaux de leur identité comme personne. Il faut se rappeler que certains survivants de violence peut ne pas se souvenir de la violence elle-même – Cette dernière peut être déclenché. Nous devons nous rappeler aussi qu'ils peuvent avoir de nombreux déclencheurs – Exemple : jeune garçon et sifflement. Si nous ne comprenons pas ceci, nous pouvons juger ou mal diagnostiquer. Par exemple l'automutilation si ne pas vu à travers la lentille du traumatisme peut être perçue comme bipolaire. Pour beaucoup l’automutilation est un moyen d’atténuer la douleur émotionnelle ressentit. On peut en dire autant pour les troubles de personnalité  

Le traumatisme -- phénomène courant 1/6/2016 Le traumatisme -- phénomène courant Les traumatismes sont un phénomène courant pour la population du Canada dans l’ensemble, et en particulier pour les personnes qui ont des préoccupations liées à la santé mentale et aux toxicomanies : 76 % des adultes canadiens déclarent avoir été exposés à une forme de traumatisme au cours de leur vie; 90 % des femmes traitées pour des problèmes d’alcool à 5 centres de traitement du Canada ont indiqué avoir été victimes d’un traumatisme lié à la violence au cours de l’enfance ou de l’âge adulte; 60 % ont mentionné d’autres formes de traumatisme. Muriel McQueen Fergusson Centre

Le traumatisme -- phénomène courant 1/6/2016 Le traumatisme -- phénomène courant Un sondage mené en 2008 auprès de 10 000 jeunes Canadiens a révélé des taux élevés de traumatisme; 21 % des filles et 31 % des garçons ont déclaré avoir été victimes de violence physique tandis que 13 % des filles et 4 % des garçons signalaient avoir été victimes de violence sexuelle. Les taux sont plus élevés chez les jeunes détenus : une étude réalisée en C.-B. a révélé que les jeunes détenus des deux sexes avaient en majorité des antécédents documentés de violence physique et de négligence. 21,2 % des jeunes hommes et 42,4 % des jeunes femmes avaient des antécédents documentés en dossier de violence sexuelle. (Trauma-informed approaches: An Introduction and Discussion Guide for Health and Social Service Providers. May 2015. https://novascotia.ca/dhw/addictions/documents/TIP_Discussion_Guide_1.pdf) Muriel McQueen Fergusson Centre

Un traumatisme ne nous fait pas seulement peur, il nous change \ il change la façon dont nous réagir à une crise incapable de lire incapable de comprendre ce qui est dit incapable de se souvenir, ou mémoire est sporadique Il change comment nous allons réagir <a une crise. Au cours d'un événement traumatisant, les neurotransmetteurs qui sont sécrétés peuvent avoir un effet négatif sur l'encodage de la mémoire. Par exemple, en raison de la physiologie et la neurobiologie du traumatisme, l'hippocampe, qui est lié au centre ou notre mémoire est sauvegardée "temporairement" jusqu'à ce que l’évènement est soit oubliés ou "sauvegarder" à long terme (Resik, 2001, p. 83) et les lobes préfrontaux du cerveau qui permettent non seulement pour un événement à être « encoder » avec la « séquence et le contexte » (ACASA, 2013) mais que ses souvenirs contiendront aussi « les faits, les concepts et les idées...ainsi nous permettant de parler de ses expériences avec nos mots et en étant capable de les mettre en contexte chronologique.. » Mais durant un stress chronique, les deux sont gravement entravés en raison d'être imprégnés par les neurotransmetteurs sécrétés lors d'un événement traumatique. Par conséquent, beaucoup de survivantes peuvent ne pas se rappeler de l’évènement au complet ou dans le temps. Ce déversement d’hormones dans l’organisme n’est pas sans conséquence pour le cerveau : on sait depuis longtemps que certaines fonctions cognitives sont modifiées en cas de stress. Par exemple, trop de stress diminue la mémoire. Les capacités de raisonnement sont altérées.    La négligence et les abus sexuels précoces jouent un rôle majeur dans la façon dont les gens s'adaptent – même parfois il peut fausser les aspects essentiels de l'identité de la personne. Il est important de se rappeler que certains survivantes et survivants de violence ne se souviennent pas toujours des faits, mais que leurs corps ou leurs sens peuvent se souvenirs de quelques segments -- nous appelons ceci des facteurs déclencheurs – ex : le père qui siffle avant d’utiliser la violence. Nous devons nous rappeler qu'ils peuvent avoir plusieurs facteurs déclencheurs. Si nous ne comprenons pas cela, nous pouvons juger ou mal diagnostiquer la personne. Par exemple l'automutilation si ne pas vu à travers une lentille de traumatisme soit perçue comme bipolaire comme pour beaucoup c'est une façon d'atténuer la douleur émotive qu'ils ressentent. p.25 https://www.smoosee.com/fr/articles/psychologie-coaching/gerer-stress-angoisse-anxiete-definition-travail-symptome-consequence:

Intégrer les principes de la pratique sensible au traumatisme dans son travail quotidien This is helpful principles that will help with the shift

Savoir reconnaître les réponses au traumatisme Le principe des soins sensibles au traumatisme nous invite à faire une réflexion critique sur nos croyances courantes concernant les comportements « dangereux » et « irresponsables », « saines vs malsaines » ou «bien-être vs troubles de santé » Les soins sensibles au traumatisme veillent à reconnaître que les gestes posés par les personnes sont des témoignages de : leur connaissance de la violence… leur aptitude à réagir à la violence persistante… Agence de la santé publique du Canada. La prévention de la violence familiale: sensibiliser les collectivités aux traumatismes. Présenté par Nancy MacDonald, directrice du Family Service of Eastern Nova Scotia et Art Fisher, directeur du Family Service of Western Nova Scotia. 2014 Possibilités pour nous comme travailleur de comprendre la différence entre les comportements sains et malsains. Automutilation – nous pouvons avoir peur d’entendre pourquoi les personnes se coupent ou de même entendre le fait qu’il on se comportement. Pour certaines personnes le fait de s’automutiler est une façon de les empêcher de se suicider. Donc le fait de se couper n'était pas aussi nocif que le suicide. Donc ceci nous permet de regarder différemment ce qui sain et malsain. Donc, nous pourrons nous engager avec e vécu des gens différemment –et ne pas jugez. Nous avons besoin de regarder notre propre notion de qui sait quoi – on peut penser que comme fournisseurs de services nous avons plus de connaissance que le client en face de nous – mais plusieurs fois, les clients peuvent nous apprendre tant de choses sur la survie. De nombreux clients savent comment naviguer le système et aussi comment il faut nous approché nous aussi. Bien souvent il nous faut nous demander si le client dit vraiment ce qu'ils ont sur leur esprit – ou est-ce qu’ils nous disent ce qu'ils pensent que nous voulons entendre. Comme par exemple le fait qu’elle puisse nous dire qu’elle l'aime encore tout en sachant qu'il est un imbécile. Lorsque nous réduisons tout ce que nous entendons à leur mécanisme d'adaptation – nous oublions que ce mécanisme d'adaptation est plus que ça car c’est une façon de vivre qui leur a permis de naviguer dans leur vie. Le mouvement philosophique ici n'est pas autour des dommages mais autour de comment ils ont survécu et tout qu'ils ont dû pour continuer

Savoir reconnaître les réponses au traumatisme Leurs vies sont compréhensibles et leur comportement font du sens les clients se sentent compris, se sentent validés comportements développé pour faire face à leurs traumatismes ne sont pas vue comme pathologiques comprendre leur mécanisme de défense comme la substance et l'automutilation Les aides à augmenter leurs capacités de soi. Note du livre : Comprendre l'impact des traumatismes sur le développement affectif et ses réactions est essentiel pour quiconque qui travaille avec les personnes traumatisées. Un des éléments le plus importants de fournir des services aux personnes ont vécu un traumatisme est de répondre aux survivants avec le message que leurs vies sont compréhensibles et que leur comportement font du sens lorsqu'ils sont interprété à travers une lentille de la pratique sensible au traumatisme. Les clients se sentent compris, se sentent validés. Mais si compris dans cette nouvelle optique, ils peuvent commencer à se sentir moins menacée. S'ils comprennent qu'ils ne sont pas « fous » mais en fait ont développé ces mécanismes pour se protéger eux-mêmes – pour y faire face – ils verront qu’ils ont aussi le pouvoir de travailler à les désapprendre, qu’ils peuvent apprendre des moyens plus efficaces de faire face. Remarque : il est rarement efficace d’éliminer le mécanisme d'adaptation sans fournir une alternative qui cible spécifiquement le problème liée au traumatisme. Ici on leur enseigne la pleine conscience au lieu de réagir.

Facteurs Déclencheurs 1/6/2016 Facteurs Déclencheurs Facteurs déclencheurs: expériences qui rappellent un événement traumatisant du passé. Ex: parfum, une main, un bruit, etc. L’événement déclencheur n’est probablement pas effrayant ou traumatique . Les déclencheurs du traumatisme sont liés au stress post-traumatique (ESPT) (Wikipedia) Muriel McQueen Fergusson Centre

Reconnaître les facteurs déclencheurs1 1/6/2016 Reconnaître les facteurs déclencheurs1 Pour: aider la personne à comprendre leurs propres facteurs déclencheurs et les moyens d’adaptation (efficace ou non) qu'ils utilisent pour les gérer aider votre organisme à comprendre le type de compétences, vous et vos collègues devez développer pour aider vos clients. 1.Haskell, U of Toronto, presentation Sept. 23, 2015 ]. Les activités de prise de conscience peuvent aider les clients qui ont des symptômes de traumatisme à demeurer en contact avec le présent, à demeurer calmes et à rétablir le contact avec ce qui se passe autour d’eux. Voici quelques exemples d’activités de prise de conscience :  • Rappelez-vous qui vous êtes maintenant. Dites votre nom. Dites votre âge. Où êtes-vous maintenant? Qu’avez-vous fait aujourd’hui? Que ferez-vous ensuite? • Donnez-vous une accolade en vous croisant les bras et tapez en alternance le haut de votre bras gauche et de votre bras droit. Respirez et tapez doucement pendant une minute ou deux. • Dites quels sont vos trois couleurs favorites, vos trois aliments favoris, vos trois animaux favoris. • Lavez-vous les mains. Sentez l’eau vous couler sur les mains. Remarquez l’odeur du savon. Essuyez-vous lentement les mains avec une serviette. • Énumérez tout ce dont vous avez besoin pour préparer un sandwich. Soyez aussi détaillé que possible. Si vous avez faim, faites un sandwich. Prenez votre temps et savourez‑le. • Réconfortez-vous comme vous le feriez avec un enfant. « On m’aime. » « Je suis en sécurité ici. » • Frottez-vous la paume des mains; tapez des mains. Écoutez le son que cela produit. Ressentez la sensation. • Imaginez-vous dans un endroit confortable, que vous connaissez bien. Détendez-vous dans cet endroit sécuritaire. • Jetez un coup d’œil à l’extérieur. Comptez le nombre d’arbres et de plaques de rue. • Enfoncez vos pieds dans le sol. Sentez-vous supporté, enraciné, branché à la terre.   Violence Victimization & Trauma: The Complexity of Trauma Responses – Dr. Lori Haskell, U. of Toronto. Presentation to PPA, organized by Women Equality Branch, NB. Sept. 2015 Muriel McQueen Fergusson Centre

Appuyer l’autodétermination Le terme « habilitation » (empowerment) dénote souvent un geste bien intentionné que nous posons « à l’égard » de quelqu’un ou « pour » quelqu’un. Mais notre volonté « d’habiliter » peut, centrer l’attention sur nos propres capacités en tant que travailleurs et non sur la personne que nous voulons aider. La pratique des soins sensibles au traumatisme suppose que l’on travaille « avec » la personne, afin d’appuyer la prise de conscience et l’accroissement de son propre pouvoir. Le langage que nous utilisons peut faire l’objet de débat – empowerment peut devenir quelque chose que nous faisons pour les gens et non les aider pour qu’il le font pour eux-mêmes. Le terme autodétermination pourrait être mieux. Il s'agit de comprendre comment important de célébrer leurs capacités et non les nôtre en tant que fournisseurs de services. Il est donc important de comprendre que ce sont eux les experts de leur vie donc comprennent leur vie, leur vécu et non nous. Honorer leur langue – hommage à comment ils se voient. Il s'agit de contester l'idée individualiste de guérison. Cet approche nous permet également de regarder les ressources que nous avons différemment – il est nécessaire d’avoir un esprit critique lorsque nous regardons nos programme à l'intérieur de notre Agence La pratique des soins sensibles au traumatisme suppose que l’on travaille « avec » la personne, afin d’appuyer la prise de conscience et l’accroissement de son propre pouvoir sur les plans personnel, interpersonnel et structurel (Gutierrez, Parsons et Cox, 1998)9.

Esprit de collaboration La pratique sensible au traumatisme: nous voyons la résilience et la force dans la personne non seulement ces faiblesses De nombreuses personnes qui ont surmonté des inégalités de pouvoir et des actes de violence savent très bien comment adopter une attitude de soumission et ont développé une aptitude à se soumettre aux personnes en situation d’autorité. La pratique sensible au traumatisme peut nous aider à reconnaître les connaissances et aptitudes et à élaborer des moyens de composer ensemble avec les relations de pouvoir dans les professions d’aide. Nous comprendrons le sens des actes posés lorsque nous travaillerons « de concert » avec la personne. La pratique sensible au traumatisme peut nous aider à collaborer en augmentant notre capacité de fournir à la personne une relation qui peut être très différente des expériences de domination et de soumission que cette personne a vécues dans ses relations interpersonnelles et structurelles Nous comprennont le pouvoir que nous avons. De nombreuses personnes qui ont surmonté des inégalités de pouvoir et des actes de violence savent très bien comment adopter une attitude de soumission et ont développé une aptitude à se soumettre aux personnes en situation d’autorité dans leurs relations personnelles et dans leurs rapports avec les services sociaux et les professions d’aide (Goffman, 1963)10. La pratique sensible au traumatisme peut nous aider à reconnaître ces connaissances et aptitudes et à élaborer des moyens de composer ensemble avec les relations de pouvoir dans les professions d’aide

Esprit de collaboration Mais si compris dans cette nouvelle optique, ils peuvent commencer à se sentir moins menacée -- qu'ils ne sont pas « fous » -- mais en fait ont développé ces mécanismes pour se protéger eux-mêmes ils verront qu’ils ont aussi le pouvoir de travailler à les désapprendre Remarque : il est rarement efficace d’éliminer le mécanisme d'adaptation sans fournir une alternative qui cible spécifiquement le problème liée au traumatisme. Ici la personne prend pleinement conscience d’eux même au lieu de réagir. Leur comportement peut être une des raisons pour lesquelles ils sont toujours là. Leur mécanisme de survit devient un problème tel que l'automutilation créant ainsi leur propre série de problèmes. Mais si compris dans cette nouvelle optique, ils peuvent commencer à se sentir moins menacée. S'ils comprennent qu'ils ne sont pas « fous » mais en fait ont développé ces mécanismes pour se protéger eux-mêmes – pour y faire face – ils verront qu’ils ont aussi le pouvoir de travailler à les désapprendre, qu’ils peuvent apprendre des moyens plus efficaces de faire face. Remarque : il est rarement efficace d’éliminer le mécanisme d'adaptation sans fournir une alternative qui cible spécifiquement le problème liée au traumatisme. Ici on leur enseigne la pleine conscience au lieu de réagir.

Accueil initial en utilisant l’approche sensible aux traumatismes Il nous faut prendre conscience de qui nous sommes et de ce que nous pouvons offrir. Nous devons nous demander quelle différence les questions et les réponses ou l'absence de réponses aura sur notre client. Si nous développons des politiques, des pratiques avec une approche sensible aux traumatismes, ceci nous empêchera de tomber sur des comportements passés. Avant l’accueil d’un nouveau client il faut: nous devons poser des questions très importantes sur nous et sur nos programmes. Il nous faut prendre conscience de qui nous sommes et de ce que nous pouvons offrir. Nous devons nous préparer nous devons nous demander quelle différence les questions et les réponses ou l'absence de réponses aura sur notre client Si dès le début, nous supposons que tous les gens qui viennent à notre organisme sont des survivants de traumatismes ceci exigera que nous examinons nos programmes, nos services, notre structure – que nous développons des politiques, des pratiques qui nous empêchera de tomber sur des comportements passés Note du livre : Cette approche requière quelque des considérations pratiques qui affecteront votre jour aux jours. Tout d'abord c’est dans la façon dont nous recueillons des renseignements sur l'histoire de nos clients. Avant de débuter, nous avons devons mettre la lentille de l’approche sensible aux traumatismes et nous devons poser des questions très importantes sur nous et sur nos programmes. Il nous faut prendre conscience de qui nous sommes et de ce que nous pouvons offrir. Nous devons nous préparer - si nous croyons que le traumatisme a certaines conséquences prévisible si pas inévitables alors quel genre de questions devons-nous se poser et que ferrons nous avec les réponses – et que pouvons-nous prendre pour acquis dans la vie de nos clients. Questionnaire d’accueil Dans une approche sensible aux traumatismes, nous devons nous demander quelle différence les questions et les réponses ou l'absence de réponses aura sur notre client. Si nous sommes véritablement ancrés dans cette approche sensible aux traumatismes, nous nous engageront à créer un environnement plus sûr et sécure pour nos clients et pour nous-mêmes. Nous allons construire des relations qui tiennent en compte les traumatismes que peuvent avoir été vécu par les deux côtés – l'intervenant et le client. Si le processus est sûr et sécure et la personne est en contrôle de son propre dévoilement alors il faut se préparer à vraiment écouter et respectueusement contempler toutes les différentes couches qui sont unique à chaque histoire e et à la vulnérabilité de se raconter. (Activité : écrire secret sur papier et en passant à la suivante) Une approche sensible au traumatisme reconnaîtra l’existence d’expérience traumatique dans notre culture tout en comprenant et en sachant l'expérience particulière et personnelle de notre client - Pauvreté

Accueil initial en utilisant la lentille d’approche sensible aux traumatismes Nous nous engageront à créer un environnement plus sûr et en sécurité pour nos client.e.s et pour nous-mêmes. Nous allons construire des relations qui tiennent en compte les traumatismes que peuvent avoir été vécu par les deux côtés – l'intervenant et le client.e Nous serons près pour vraiment écouter et respectueusement contempler toutes les différentes couches qui sont unique à chaque histoire et à la vulnérabilité de se raconter. Nous reconnaîtrons l’existence d’expérience traumatique dans notre culture tout en comprenant et en sachant l'expérience particulière et personnelle de notre client.e. Note du livre : Cette approche requière quelque des considérations pratiques qui affecteront votre jour aux jours. Tout d'abord c’est dans la façon dont nous recueillons des renseignements sur l'histoire de nos clients. Avant de débuter, nous avons devons mettre la lentille de l’approche sensible aux traumatismes et nous devons poser des questions très importantes sur nous et sur nos programmes. Il nous faut prendre conscience de qui nous sommes et de ce que nous pouvons offrir. Nous devons nous préparer - si nous croyons que le traumatisme a certaines conséquences prévisible si pas inévitables alors quel genre de questions devons-nous se poser et que ferrons nous avec les réponses – et que pouvons-nous prendre pour acquis dans la vie de nos clients. Dans une approche sensible aux traumatismes, nous devons nous demander quelle différence les questions et les réponses ou l'absence de réponses aura sur notre client. Si nous avons changé la façon dont nous faisons l’entrevue d’accueil en supposant que, dès le début, tous les gens qui viennent à notre organisme sont des survivants de traumatismes ceci exigera que nous examinons nos programmes, nos services, notre structure – que nous développons des politiques, des pratiques qui ne nous empêcheront de tomber sur des comportements passés. Si nous sommes véritablement ancrés dans cette approche sensible aux traumatismes, nous nous engageront à créer un environnement plus sûr et sécure pour nos clients et pour nous-mêmes. Nous allons construire des relations qui tiennent en compte les traumatismes que peuvent avoir été vécu par les deux côtés – l'intervenant et le client. Si le processus est sûr et sécure et la personne est en contrôle de son propre dévoilement alors il faut se préparer à vraiment écouter et respectueusement contempler toutes les différentes couches qui sont unique à chaque histoire e et à la vulnérabilité de se raconter. (Activité : écrire secret sur papier et en passant à la suivante) Une approche sensible au traumatisme reconnaîtra l’existence d’expérience traumatique dans notre culture tout en comprenant et en sachant l'expérience particulière et personnelle de notre client

Accueil initial en utilisant la lentille d’approche sensible aux traumatismes Avant l’accueil d’un nouveau client.e : nous devons poser des questions très importantes sur nous et sur nos programmes. Il nous faut prendre conscience de qui nous sommes et de ce que nous pouvons offrir. Nous devons nous préparer. nous devons nous demander quelle différence les questions et les réponses ou l'absence de réponses aura sur notre client Si dès le début, nous supposons que tous les gens qui viennent à notre organisme sont des survivants de traumatismes ceci exigera que nous examinons nos programmes, nos services, notre structure – que nous développons des politiques, des pratiques qui nous empêchera de tomber sur des comportements passés. Note du livre : Cette approche requière quelque des considérations pratiques qui affecteront votre jour aux jours. Tout d'abord c’est dans la façon dont nous recueillons des renseignements sur l'histoire de nos clients. Avant de débuter, nous avons devons mettre la lentille de l’approche sensible aux traumatismes et nous devons poser des questions très importantes sur nous et sur nos programmes. Il nous faut prendre conscience de qui nous sommes et de ce que nous pouvons offrir. Nous devons nous préparer - si nous croyons que le traumatisme a certaines conséquences prévisible si pas inévitables alors quel genre de questions devons-nous se poser et que ferrons nous avec les réponses – et que pouvons-nous prendre pour acquis dans la vie de nos clients. Dans une approche sensible aux traumatismes, nous devons nous demander quelle différence les questions et les réponses ou l'absence de réponses aura sur notre client. Si nous avons changé la façon dont nous faisons l’entrevue d’accueil en supposant que, dès le début, tous les gens qui viennent à notre organisme sont des survivants de traumatismes ceci exigera que nous examinons nos programmes, nos services, notre structure – que nous développons des politiques, des pratiques qui ne nous empêcheront de tomber sur des comportements passés. Si nous sommes véritablement ancrés dans cette approche sensible aux traumatismes, nous nous engageront à créer un environnement plus sûr et sécure pour nos clients et pour nous-mêmes. Nous allons construire des relations qui tiennent en compte les traumatismes que peuvent avoir été vécu par les deux côtés – l'intervenant et le client. Si le processus est sûr et sécure et la personne est en contrôle de son propre dévoilement alors il faut se préparer à vraiment écouter et respectueusement contempler toutes les différentes couches qui sont unique à chaque histoire e et à la vulnérabilité de se raconter. (Activité : écrire secret sur papier et en passant à la suivante) Une approche sensible au traumatisme reconnaîtra l’existence d’expérience traumatique dans notre culture tout en comprenant et en sachant l'expérience particulière et personnelle de notre client

Activité individuelle

Activité de groupe Question: Quel est le pouvoir et le contrôle de ces professionnelles comme: Fournisseurs de services Travailleurs sociaux Clergé Employeur Collègue Le système judicaire (policier, procureur, juge, etc.) Protection à l’enfance

Cloisonnement des connaissances Vulnérabilité Accessibilité Intersectionnalité Cloisonnement des connaissances Thèmes Les quatre thèmes que nous examinerons sont la vulnérabilité, l’accessibilité, l’intersectionnalité et le cloisonnement des connaissances.

Thème: Vulnérabilité

3,800,000 13,7% des Canadiens âgés de 15 ans ou plus ont déclaré être limités dans leurs activités quotidiennes en raison d'une incapacité (l'ouïe, la vue, la douleur, la mobilité, la flexibilité, la dextérité, l'apprentissage, le développement, la mémoire ou la santé mentale ou psychologique) Environ 3,8 millions de Canadiens ont déclaré être limités dans leurs activités quotidiennes en raison d'une incapacité liée à l'ouïe, la vue, la douleur, la mobilité, la flexibilité, la dextérité, l'apprentissage, le développement, la mémoire ou la santé mentale ou psychologique, selon l'Enquête canadienne sur l'incapacité de 2012 (Cotter, 2018). Cotter, 2018

2X plus susceptible 36 % ont été victime 30% Canadiens ayant une incapacité d'avoir été victimes d'un crime violent que les Canadiens n'ayant pas d'incapacité 36 % ont été victime d’un crime violent plus d’une fois au cours des 12 mois précédant 30% Les Canadiens ayant une incapacité, tant les femmes que les hommes, étaient presque deux fois plus susceptibles d'avoir été victimes d'un crime violent que les Canadiens n'ayant pas d'incapacité, (Cotter, 2018). Parmi les victimes d’un crime violent, les femmes ayant une incapacité étaient près de deux fois plus susceptibles que les femmes n’ayant aucune incapacité d’avoir été victimes d’un crime violent plus d’une fois au cours des 12 mois précédant l’enquête (36 % par rapport à 20 %). 30 % Des crimes contre une personne ayant une incapacité sont violentés chez eux. Des crimes contre une personne ayant une incapacité sont violentés chez eux. Cotter, 2018

Risque plus élevé de violence VULNERABILITÉ ATTITUDES sociales STIGMATISATION Risque plus élevé de violence Les attitudes sociales sont un facteur de vulnérabilité important chez certains groupes, notamment les femmes handicapées, les femmes âgées, les femmes avec diversités sexuelles, les femmes de races différentes. Plusieurs sont considérées comme faibles et ont un statut social inférieur en raison des rapports de force inégaux. Ces croyances erronées placent les femmes handicapées dans une position de vulnérabilité qui les expose souvent à un risque accru de subir de la violence. Dans d’autres cultures, le handicap peut avoir une connotation encore plus négative et être vu comme une malédiction ou une punition divine. Toutes ces impressions négatives permettent et aggravent la stigmatisation de ces lorsqu’elles déclarent avoir été victimes de violence. (Cordier, 2017) Cordier, 2017

Je l’ai dis et personne ne m’a aidé «Être cru» Je l’ai dis et personne ne m’a aidé Stéréotypes Crédibilité Témoin peu fiable Manque d’éducation et de compréhension Pas en mesure de verbaliser et ni même de savoir qu’elles subissent de la violence La stigmatisation nuit à la dénonciation, surtout si les femmes ont du mal à être crues lorsqu’elles signalent un cas de violence. Même si la stigmatisation varie, les stéréotypes qui leur sont associés représentent aussi des obstacles majeurs. Par exemple, les femmes ayant un handicap cognitif, intellectuel ou autre pourraient être perçues comme des êtres asexués qui n’ont aucun intérêt pour les activités sexuelles. Si ces femmes signalent un acte de violence sexuelle, ce dernier pourrait être balayé par la famille, les amis ou les autorités. De plus, leur crédibilité pourrait être remise en question au moment de la dénonciation, particulièrement si leur handicap affecte leur fonctionnement cognitif ou intellectuel (DAWN, 2014). On les considère souvent comme incapables de comprendre la portée de leur dénonciation et l’on tend à les voir comme des témoins peu fiables dans les instances judiciaires. Par conséquent, les fonctionnaires de la justice pourraient être réticents à entendre une telle cause qu’ils estiment perdue d’avance (McFeely, 2011). Dans d’autres cas, les femmes handicapées ne sont pas en mesure de verbaliser la situation de violence qu’elles veulent dénoncer ni même de savoir qu’elles subissent de la violence, ce qui peut les rendre encore plus vulnérables. DAWN, 2014; McFeely & Trew, 2011

Vulnérabilité fournisseurs de soins- partenaire intime, membre de la famille, ami.e, ou un professionnel, etc. les soins peuvent être de nature intime si la personne signale - pourrait ne plus recevoir l’aide de son principal fournisseur dépasse ce que l’on considère généralement comme de la violence. Même si l’on en parle peu, les fournisseurs de soins peuvent eux aussi commettre des actes de violence. Dans bien des cas, il s’agit d’un partenaire intime, mais il peut aussi s’agir d’un membre de la famille, d’un ami ou d’un professionnel. Si une aide adéquate peut être indispensable pour assurer un maximum d’autonomie à une personne handicapée, un acte de violence peut sérieusement compromettre sa capacité à vivre sa vie, de même que son droit à la sécurité. Exemples : Les soins peuvent être de nature intime et placer la personne qui les reçoit dans une position de vulnérabilité, l’exposant ainsi à un risque de violence. Si une personne bénéficiant de soins signale un acte de violence, elle pourrait ne plus recevoir l’aide de son principal fournisseur de soins et se retrouver sans soins continus. La nécessité de recevoir des soins quotidiens pourrait l’emporter sur la violence subie. Outre ce que l’on considère généralement comme de la violence, les fournisseurs de soins pourraient confisquer les médicaments d’un patient, lui refuser l’accès à des aides à la mobilité, négliger ses soins personnels ou l’empêcher de se rendre à un rendez-vous médical en lui refusant l’accès au transport. Plummer & Fundley, 2012; Saxton et al., 2001

[Traduction] « Si ces personnes sont vulnérables, c’est parce que nous ne pensons pas à leur offrir un environnement dans lequel elles ne le seraient pas. » – Bonnie Brayton, RAFH Cette citation montre à quel point notre environnement crée des obstacles pour les personnes handicapées. Se frayer un chemin parmi ces obstacles peut s’avérer épuisant pour elles et les placer dans une position de vulnérabilité. Dawa est la directrice du Réseau d’action des femmes handicapées du Canada

Le genre Quelques pistes pour comprendre le vocabulaire entourant la réalité des personnes trans. * Source : Lexique LGBT sur la diversité sexuelle et de genre en milieu de travail de la Chambre de commerce gaie du Québec, Centre de lutte contre l'oppression des genres de l'Université Concordia et Communauté LGNTQA (https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/752595/lexique-genres-identite-sexuelle)

Statistiques Canada

Le genre n’est pas la même chose que l’orientation sexuelle. Statistiques Canada

Un français plus neutre : utopie? https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/752820/identites-sexuelles-trans-genres-francais-difficultes

http://www.the519.org/education-training/creer-des-milieux-authentiques

La santé mentale- une autre vulnérabilité http://www. lahalte Les personnes souffrant de schizophrénie sont violentes ou dangereuses. 30% des maladies mentales apparaissent avant l’âge de 14 ans et 50% avant l’âge de 22 ans. La dépression fait plus de victimes que les accidents de la route. Les parents ont une responsabilité dans le développement de la maladie mentale de leur enfant. 1.Faux! Aucune corrélation entre diagnostic psychiatrique et passage à l’acte violent n’a été scientifiquement prouvée. Bien que les croyances populaires et la couverture médiatique de certains crimes puissent le laisser supposer, les statistiques démontrent qu’en tant que groupe, les personnes souffrant de schizophrénie ou autre maladie mentale ne sont ni plus violentes ni plus enclines à commettre des crimes violents que tout autre groupe de la population. D’ailleurs, les personnes atteintes d’une maladie mentale sont beaucoup plus susceptibles d’être violentées que d’être violentes. 2. Faux! 50% des maladies mentales apparaîtraient avant l’âge de 14 ans et 75%, avant l’âge de 22 ans. Les troubles mentaux représentent d’ailleurs une des principales causes d’hospitalisation chez les 15 à 24 ans. 3. Vrai chez les jeunes. Le suicide est la deuxième cause la plus fréquente de mortalité chez les 15 à 19 ans, après les accidents de la route selon le plan d’action en santé mentale 2015-2020. 4. Faux. Aucun facteur à lui seul ne peut causer de maladie mentale. Dans le monde médical, les modèles biologiques et génétiques ont remplacé l’idée que les mauvais parents provoquaient la maladie mentale. Toutefois, le grand public et souvent les proches eux-mêmes continuent d’attribuer à l’incompétence parentale la présence de maladie mentale chez les jeunes.

mentale dans leur famille. 5. Les proches aidants de personnes atteintes de maladie mentale n’ont pas besoin d’aide. 6. Les personnes ayant un statut économique et un niveau d’intelligence plus faible sont plus à risque de développer une maladie mentale. 7. 20% des Canadiens cacheraient à leurs amis et leurs collègues l’existence d’une maladie mentale dans leur famille. 8. Au Canada, 1 personne sur 5 souffre de maladie mentale. 9. Grâce aux avancées scientifiques dans le domaine de la santé mentale et parce que nous sommes mieux informés, les préjugés en santé mentale ont énormément diminué. Faux! La majorité des études démontre que le fait d’avoir un proche atteint d’une maladie mentale, surtout dans le cas de la prise en charge de cette personne, provoque des effets négatifs sur la santé physique et psychologique. Il a été prouvé qu’un proche aidant d’une personne atteinte de maladie mentale vit un niveau de détresse émotionnelle trois fois plus élevé que dans la population générale. 6. Faux! La maladie mentale ne fait aucune discrimination quant au niveau d’intelligence, au statut socio-économique, à la démographie, l’éducation, la religion ou le sexe. Personne n’est à l’abri. 7. Faux. Selon l’Association médicale canadienne, 50% des Canadiens cacheraient à leurs amis et collègues l’existence d’un trouble mental chez un membre de leur famille. À titre de comparaison, 28% des gens ne seraient pas à l’aise de parler d’un membre atteint d’un cancer. 8. Vrai. 20% de la population souffre d’une maladie mentale. 9. Certes, il y a eu de l’amélioration. Mais les préjugés en santé mentale sont tenaces et font en sorte que près des 2/3 des personnes atteintes ne vont pas consulter et 42% des personnes aux prises avec un trouble mental ne le disent pas à leur famille par crainte d’être jugées.

Autre vulnérabilité la pauvreté sans abris etc.

Question à débattre (A-7) Comment réduire la vulnérabilité que nos services peuvent engendrer? Comment réduire la vulnérabilité que notre communauté peut engendrer?  

Thème: Accessibilité L’accessibilité a fait partie de toutes nos discussions avec les fournisseurs de services. Nous avons notamment parlé du manque de compréhension de ce qu’est l’accessibilité et des façons de concevoir des espaces plus accessibles.

 On pense souvent que l’accessibilité se résume aux rampes, aux ascenseurs, à la langue des signes et à d’autres mesures similaires. Toutefois, l’accessibilité va bien au-delà du simple fait de pouvoir accéder à un bâtiment ou bénéficier des services d’un interprète. Les Nations Unies ont créé la Convention relative aux droits des personnes handicapées pour contrer la discrimination et les obstacles auxquels font face les personnes handicapées. La Convention stipule que toutes les personnes ont les mêmes droits, soit le respect, l’autonomie, l’indépendance, la non-discrimination, l’égalité des chances ainsi que la participation et l’intégration pleines et effectives à la société. Toutefois, la société dresse des obstacles qui limitent les capacités des personnes handicapées; c’est donc elle qui crée les situations d’handicap. Si la société favorisait réellement l’accessibilité, les handicaps ne limiteraient pas la capacité des personnes à y participer pleinement.

Accessibilité définition de l’accessibilité peut parfois être utile, mais peut poser certaines difficultés facilite la discussion et l’atteinte des objectifs Même si la définition de l’accessibilité peut parfois être utile, elle peut poser certaines difficultés. Une définition claire facilite la discussion et l’atteinte des objectifs dans la mesure où ceux-ci sont bien établis (Persson, Åhman, Yngling et Gulliksen, 2015). Toutefois, ce que l’on considère comme acceptable varie selon la manière dont une personne interagit avec son milieu. L’accessibilité n’est assurée que lorsqu’une personne a les moyens de réaliser ses objectifs sans obstacle. La définition de l’accessibilité est un exercice d’autant plus complexe qu’il nous demande de nous pencher sur la définition de vulnérabilité, qui elle-même n’est pas parfaite. (Persson, Åhman, Yngling et Gulliksen, 2015). Sommes-nous en train de limiter les capacités des gens? Nos espaces, nos communications et notre information sont-ils accessibles à tous? Si ce n’est pas le cas, quelles mesures pouvons-nous prendre pour nous rapprocher les uns des autres et établir des ponts dans nos communautés? Persson, Åhman, Yngling & Gulliksen, 2015

D’après vous, que signifie l’accessibilité? Question à débattre D’après vous, que signifie l’accessibilité?

Thème: Intersectionnalité https://www.liberation.fr/debats/2015/07/02/intersectionnalite-nom-concept-visant-a-reveler-la-pluralite-des-discriminations-de-classe-de-sexe-e_1341702

Définition de l’intersectionnalité “Chevauchement de diverses identités sociales telles que le genre, la race et le handicap qui, ensemble, forment un système interdépendant d’oppression et de discrimination envers un groupe donné.” Chevauchement de diverses identités sociales telles que le genre, la race et le handicap qui, ensemble, forment un système interdépendant d’oppression et de discrimination envers un groupe donné Crenshaw, 1989

Intersectionnalité socialement dévalorisé personne tente de fondre leurs différents états en une seule identité la prépondérance, le conflit la combinaison augmente le risque de vivre une forme d’oppression ou de discrimination Il arrive qu’une personne se définisse en grande partie par son handicap parce que c’est le seul de ses traits caractéristiques qui est socialement dévalorisé. Par exemple, un homme blanc handicapé pourra subir de la discrimination uniquement parce qu’il a un handicap. Une Afro-Américaine handicapée pourra quant à elle être stigmatisée en raison de sa race, de son genre ou de son handicap; les effets d’une telle stigmatisation pourraient alors être multipliés par le nombre d’états dévalorisés qui la caractérisent. (Darling, 2013, p. 49) De nombreux problèmes risquent de surgir lorsqu’une personne tente de fondre différents états en une seule identité. Les ouvrages font mention de trois grands problèmes : la prépondérance, le conflit et la combinaison (Darling, 2013). La prépondérance intervient lorsqu’une identité est supplantée par une autre identité jugée plus importante. Le conflit survient lorsqu’il y a un risque que les objectifs d’une identité s’opposent à ceux d’une autre identité. La combinaison est l’accentuation de la stigmatisation résultant du fait qu’une personne s’identifie à plus d’un état dévalorisé. Des termes comme « double obstacle » et « triple désavantage » ont été associés à cette expérience (Darling, 2013, p. 52). Une identité reposant sur plus d’un état socialement dévalorisé augmente le risque de vivre une forme d’oppression ou de discrimination. C’est pourquoi les données révèlent que les femmes handicapées sont plus à risque de subir de la violence que les autres femmes sans handicap ou les hommes handicapés (Cotter, 2018). Les femmes handicapées présentant un troisième état dévalorisé sont encore plus à risque d’être victimes de violence. Darling, 2013

2,3X taux supérieur 20,6% comparé à 12% Chez les femmes ayant une incapacité cognitive qui ont aussi dit être lesbiennes, gaies ou bisexuelles, le taux de victimisation avec violence 20,6% comparé à 12% Autochtones ayant une incapacité étaient plus susceptibles que les non Autochtones ayant une incapacité d’avoir fait l’objet de victimisation avec violence Taux de victimisation était plus faible Slide Odds of victimization for women who identified as gay, lesbian, bisexual were 2.3 times higher than heterosexual women with a disability (Cotter, 2018). Violent victimization of immigrants with disabilities was lower than non-immigrants with a disability, 8% compared to 13.4% (Cotter, 2018). Indigenous persons with a disability were more likely (20.6%) to have been violently victimized compared to non-Indigenous persons (12%). le taux de victimisation avec violence chez les personnes ayant une incapacité était plus faible pour les immigrants (13.4%) Cotter, 2018

Intersectionnalité https://www.youtube.com/watch?v=Lhp1SNujCS8

Question à débattre (A-12) Que faire devant une utilisatrice de services qui a une identité intersectionnelle en tant que femme, personne handicapée et victime de violence? https://www.tdg.ch/extern/interactive_wch/tdg/2018/feminisme/intersectionnel.html?1=49&2=75&3=42.5&4=59&5=49&6=6

Une approche intégrée

Intégrer le processus de rétablissement dans tous les milieux de services La pratique sensible au traumatisme est intégrée dans l’ensemble des services et des programmes d’appui communautaires et dans tous les postes à l’intérieur des diverses organisations faisant partie de cet ensemble, du teneur de livres au praticien même. Cette intégration reconnaît que le rétablissement peut exiger aussi une thérapie, mais qu’il n’en dépend pas uniquement. Les besoins exprimés par une personne en matière de rétablissement peuvent se situer dans tout l’éventail des déterminants sociaux de la santé, notamment l’apprentissage de la lecture, l’achèvement de la scolarité, l’obtention d’un emploi, la création de liens d’amitié, le sentiment d’inclusion et d’appartenance et le sentiment d’être appuyé… Réparation – peut être devons regarder à réparer notre système, nos structures et non pas tant à réparer notre client. C'est donc dans l'ensemble de l'organisation de la secrétaire, au comptable, aux thérapeutes. . Il ne s'agit pas de l'ajout d'une séance de thérapie à notre programme, mais d’honorer ce que votre organisme fait déjà. Ceci nous emmène au-delà de la recherche neurologique et nous emporte à qui est vraiment la personne. Premièrement regarder les nécessités et par après la personne peut commencer à travers sur son intérieure

Liens internet  L’approche interculturelle dans le processus d’aide par Margalit Cohen-Émérique : https://www.erudit.org/en/journals/smq/1993-v18-n1-smq1820/032248ar.pdf  L'Observatoire canadien du fémicide pour la justice et la responsabilisation : https://femicideincanada.ca/fr/accueil/ce  Devenez une personne alliée efficace pour les personnes trans : http://www.the519.org/education-training/creer-des-milieux-authentiques  Fact Sheet Intersectionaly – AVERT Family Violence. Australian Attorney-General’s Department, AVERT Family Violence: Collaborative Responses in the Family Law System: https://www.avertfamilyviolence.com.au/wp-content/uploads/sites/4/2013/06/Intersectionality_FactSheet.pdf  Créer des milieux authentiques: Une boîte à outils sur l’identité et l’expression de genre pour aider à mettre en place des changements dans la société, les organisations et les institutions : http://www.the519.org/education-training/creer-des-milieux-authentiques.

Dossier : Regard sur les préjugés : http://bv. cdeacf Je ne veux pas laisser une partie de moi-même à la porte. Initiative Espaces Positifs – Trousse de base : https://positivespaces.ca/sites/positivespaces.ca/files/psi-starter-kit-french.pdf How to start a white-on-white dialogue, Jennifer Holladay: http://www.cwsworkshop.org/pdfs/CARA/AOYP/CIWPB/4_Roles.PDF La dimension des privilèges dans la lutte contre les oppressions – Texte de réflexion : http://www.tcmfm.ca/fichiers_tcmfm/documents/Texte_de_r%E9flexion_privil%E8ges.pdf Transgender People in Ontario, Canada; Statistics from the Trans Pulse Project to Inform Human Rights Policy: https://www.rainbowhealthontario.ca/fr/resource-language/french/?orderby=date

Contexte de vulnérabilité : femmes immigrantes Trousse Média sur la violence conjugale : Contexte de vulnérabilité – femmes immigrantes. avec la collaboration de Normand Brodeur, Ph.D., professeur à l’École de service social de l’Université Laval : https://www.inspq.qc.ca/violence-conjugale/comprendre/contextes-de-vulnerabilite/femmes-immigrantes L’Effet du racisme sur les autochtones et ses conséquences : https://www.ccnsa-nccah.ca/docs/determinants/FS-AboriginalExperiencesRacismImpacts-Loppie-Reading-deLeeuw-FR.pdf Histoire des noirs au Canada : http://www.histoiredesnoirsaucanada.com/topic.php?id=199&themeid=14

Manuel de pratique sensible à l'intention des professionnels de la santé : Leçons tirées des personnes qui ont été victimes de violence sexuelle durant l'enfance: http://www.phac-aspc.gc.ca/sfv-avf/sources/nfnts/nfnts-sensi/index-fra.php La pratique sensible aux traumatismes : un nouveau rôle en ergothérapie: http://www.caot.ca/otnow/nov12/pratiquesensible.pdf Les principes de base des... soins sensibles au traumatisme: http://bccewh.bc.ca/wp-content/uploads/2014/05/PT-Trauma-informed-Care-2012-01-fr.pdf Auto-évaluation organisationnelle: http://trauma-informed.ca/systemes-et-organismes-sensibles-au-traumatisme/auto-%C3%A9valuation-organisationnelle/?lang=fr

Guide de discussions: Approches tenant compte des traumatismes

Freedom from Violence: Tools for Working with Trauma, Mental Health and Substance Use: http://endingviolence.org/publications/freedom-from-violence-tools-for-working-with-trauma-mental-health-and-substance-use/ Developing Trauma Informed Organizations: The trauma Toolkit, Second edition, 2013: http://trauma-informed.ca/wp-content/uploads/2013/10/Trauma-informed_Toolkit.pdf Beyond Trauma: A Healing Journey for Women: http://www.stephaniecovington.com/beyond-traum Decolonizing Trauma Work Indigenous Stories and Strategies: https://fernwoodpublishing.ca/book/decolonizing-trauma-worka-a-healing-journey-for-women1.php

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