Management inter-culturel EntrepriseSavoir-faireSavoir-êtreBonusExtra bonus
Management inter- culturel Indiens, Arabes, Asiatiques, Britaniques… ne se comportent pas de la même manière lorsquils font des affaires. Les différences portent sur les codes vestimentaires, la ponctualité, les remerciements non verbaux, la façon de s'adresser aux autres, les remerciements verbaux, l'échange des cartes de visites, le don et la réception de cadeaux d'affaires, le protocole des rendez-vous, la façon de boire et manger lorsqu'on traite une affaire. On peut classer les hommes par rapport à la façon dont ils se comportent dans le business en huit cultures. Ces groupes peuvent être distingués les uns des autres seloin quatre oppositions : Les cultures deal-focus contre les cultures relationship focus. Les premières cherchent à faire des affaires tout de suite sans développer de relations personnelles préalablement. Le business est la priorité. Typiquement : les Américains. Les secondes ont besoin de développer d'abord des relations personnelles, même si cela prend du temps, avant de commencer à parler d'affaires. Les Espagnoles en font partie.
Les cultures formelles qui diffèrent des cultures informelles. Les premières aiment mettre en forme, écrire, structurer, formaliser, détailler, tels les Suisses ou les Japonais. Les deuxièmes préfèrent l'oral et ne rien figer en écrivant. Comme les Français ou les Coréens. Les cultures time-rigid qui s'éloignent des cultures time-fluid. Les premières sont très attachées au respect du temps. Les réunions doivent commencer à l'heure, durer le temps prévu, se terminer à l'heure initialement annoncée. Les planning doivent être respectés. Ce sont typiquement les Allemands. Les secondes n'ont que faire du temps et s'adaptent aux circonstances au grand désespoir des premiers. Combien de fois des Italiens en retard ont agacé des Allemands à l'heure ! Les cultures expressives contre les cultures réservées. Les premières privilégient une expression soutenue, riche et accompagné de gestes. Ce sont les Italiens par exemple. Les secondes favorisent une expression retenue et discrète comme les Anglais.