RAPPORT FINANCIER EXERCICE SOMMAIRE I – Les faits marquants II – Analyse de lexploitation : Produits Charges Résultat III – Analyse du bilan : Actif Passif Situation financière IV– Les évolutions et perspectives
I - Les faits marquants L exercice est celui de la transition : - dernière année à régime de tarification non liée aux revenus - un cycle daménagement et renouvellement des installations est en cours de réalisation - la Source entre dans une période de resserrement des excédents. Les résultats diminuent, et devraient continuer à diminuer, sans pour autant remettre en question les grands équilibres financiers. La vigilance sur les dépenses, une grande sélectivité et une attention soutenue des choix des projets est plus que jamais nécessaire pour conserver nos marges de manœuvre et continuer doffrir un enseignement de qualité dans un environnement le plus adapté et agréable possible.
II - Analyse de lexploitation : les Produits Les revenus de lexercice sélèvent à K pour K lexercice précédent, soit une augmentation de 5,5%. La participation des familles en représente 57,3% contre 59,3% en Ce sont principalement les produits financiers qui expliquent cette hausse.
Répartition des produits dexploitation en 2010 La part des produits dexploitation issue de la participation des familles (enseignement et restauration) en représente 62% ; les subventions de lactivité 23% et les autres produits (prestations annexes refacturées, quote-part de subventions déquipements) 15%.
II - Analyse de lexploitation : les Charges Les charges atteignent K contre K en soit une hausse de 268 K, consécutive au surcoût non récurrent de la restauration durant les travaux, ainsi quà la part damortissement, désormais récurrente, du nouvel ensemble cuisine/réfectoire.
Répartition des charges en 2010 Les frais de personnel constituent le poste le plus important des charges (52,3%), suivis des consommations (nourritures, petits matériels, prestations de service, énergie) pour 20%.
II - Analyse du compte de résultat Lexercice présente un excédent de 78 K, contre 187 K lannée davant. La capacité dautofinancement (CAF) est passée négative et a diminué de 438 K (ceci est dû aux immobilisations et amortissements sorties des comptes). Dès le prochain exercice, la CAF redeviendra positive.
III – Analyse du bilan : lactif Le total du bilan sétablit à 6,6 M au 31 août 2010 contre 6,4 M en La progression des immobilisations est consécutive à la dernière tranche des travaux restaurant/cuisine et en corollaire une diminution de la trésorerie. La totalité du projet de rénovation restaurant et cuisine est désormais achevée et passée dans les comptes : immobilisations, emprunts, charges exceptionnelles des anciennes installations non encore totalement amorties.
III – Analyse du bilan : le passif Les capitaux propres accumulés essentiellement par les résultats sélèvent à 4,3 M, et les emprunts pour 1,6 M (solde de lemprunt appelé en début dexercice et démarrage des remboursements) constituent lessentiel du passif.
III – Situation financière : Structure du bilan FdR > 0 = les ressources longues financent les emplois longs mais aussi une partie de lexploitation BFR < 0 = les dettes à court terme sont supérieures aux créances à court terme ce qui génère de la trésorerie immédiate
Tableau de financement Le tableau de financement mesure lorigine de lévolution de la trésorerie entre les exercices. Le flux de trésorerie dexploitation négatif en 2010 est consécutif au paiement des dernières tranches de travaux. De même que pour les flux dinvestissements. A linverse, les subventions reçues et lencaissement du solde de lemprunt ont dégagé un flux de recettes.
Synthèse Le bilan de lexercice présente une situation en ligne avec les prévisions : - recul du résultat, - investissements augmentant les immobilisations, - ponction sur la trésorerie, - augmentation des emprunts. Pour autant, la structure financière est très saine, et permet de poursuivre voire accélérer les projets de rénovation : toiture, cour, ravalement…
A compter de , les contributions des familles sont modulées par la mise en œuvre dune péréquation tarifaire en fonction du revenu imposable. Les majorations ayant été supérieures aux réductions consenties, le fonds de solidarité est donc doté de lécart positif. La gestion de ce fonds qui a pour objet daider en tant que de besoin les familles qui le sollicitent, est confiée à la direction de lécole. Il ne peut en aucun cas servir au fonctionnement de lécole. Les augmentations tarifaires à compter de lexercice seront calculées en fonction de lindice Insee du coût de la vie de lannée N-1. Les investissements de rénovation des classes, de réfection de la cour, de la toiture et du ravalement du lycée sont inscrits sur les prochains exercices. IV – Evolutions et perspectives