Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec

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Transcription de la présentation:

Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec 05 mai 2010 Qualité et sécurité des soins liées aux produits de santé Le processus de conciliation des traitements médicamenteux Edith DUFAY – CH de Lunéville Les résultats de l’expérience Med’Rec au Centre hospitalier de Lunéville (CHL) sont présentés en 2 parties : d’une part les résultats sur un trimestre, du 1er février 2010 au 30 avril 2010 et d’autre part les résultats de la période Test du 1er février 2010 au 12 mars 2010. Les outils conçus durant cette période et ayant contribué au recueil des données y sont également détaillés.

La mission des High 5s de l’OMS Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec 05 mai 2010 La mission des High 5s de l’OMS Maîtriser 5 grands problèmes de sécurité pour le patient Mettre en oeuvre 5 protocoles standardisés et les évaluer durant 5 ans Dans le cadre d’un réseau d’apprentissage mondial                                                        La mission des High 5s : Initiés par l’OMS en 2006, les High 5s ont pour mission de faciliter la mise en œuvre et l’évaluation de protocoles standardisés. L’initiative des High 5s s’appuie sur la mise en œuvre, au sein d’établissements de santé des différents pays participants, de 5 protocoles standardisés développés par les meilleures équipes internationales. Ces équipes sont coordonnées par l’OMS. Ces 5 protocoles sont dénommés en anglais Standard Operating Protocols abrégés SOP. Afin de maîtriser de manière significative, pérenne et mesurable 5 grands problèmes de sécurité pour le patient hospitalisé, cette mission s’inscrit dans le cadre d’un réseau d’apprentissage mondial. Les objectifs des High 5s : - tester la faisabilité de l’implantation de processus standardisés - démontrer l’efficacité de cette standardisation.

Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec 05 mai 2010 Un terme, une définition pour une pratique établie qui nécessite de se structurer La conciliation des traitements médicamenteux est un processus interactif & pluri-professionnel qui garantit la continuité des soins en intégrant à une nouvelle prescription les traitements en cours du patient La conciliation des traitements médicamenteux est un processus interactif qui garantit la continuité des soins en intégrant à une nouvelle prescription les traitements en cours du patient (définition du CH de Lunéville). La pratique de conciliation est inhérente à toute prise en charge médicamenteuse du patient. Si le patient bénéficie d’un traitement, elle est un passage obligé lors de toute nouvelle prescription. Elle est incluse de fait dans la pratique médicale. Pour autant, elle est peu structurée et sans doute mal appréhendée dans son essence par les médecins qui la pratiquent sans lui donner de nom. D’évidence elle constitue une pratique nécessaire car la continuité des soins ne peut être garantie que si la liste des médicaments que prend le patient - ou qu’il omet de prendre - est identifiée. Le but est qu’elle soit connue du prescripteur pour être prise en compte en tant que de besoin, en adéquation avec le nouveau traitement. Cette liste doit être exhaustive et complète : exhaustive veut dire que tous les médicaments prescrits ou pris en automédication sont identifiés complète veut dire que pour chaque médicament sont précisés le nom, le dosage et la posologie. Etablir cette liste nécessite une collaboration structurée et active entre professionnels de santé afin qu’elle soit la plus exhaustive et la plus complète possible. Le projet Med’Rec au sein de l’initiative des High 5s de l’OMS est l'occasion de conceptualiser la conciliation des traitements médicamenteux.

Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec 05 mai 2010 Un terme, une définition pour une pratique établie qui nécessite de se structurer Les activités constitutives de la conciliation à l’admission du patient hospitalisé la recherche active d’informations sur les traitements du patient auprès de lui- même et de son entourage, auprès d’autres professionnels de santé, par l’exploitation de systèmes documentaires et/ou de bases de données - activité pharmaceutique le croisement d’au moins deux sources d’informations - activité pharmaceutique la comparaison du bilan des médicaments obtenu avec la prescription hospitalière à l’admission - activité pharmaceutique la caractérisation des écarts observés comme divergences intentionnelles non documentées & divergences non intentionnelles - activité médicale la rédaction d’un complément d’information ou d’une nouvelle prescription pour poursuivre la prise en charge médicamenteuse du patient en tant que de besoin - activité médicale La conciliation est un enchaînement d’étapes dont l’objectif est l’intégration de la liste des médicaments la plus exhaustive et la plus complète possible à la nouvelle prescription et la cible, la sécurité des soins pour le patient. Lors de la démarche de conciliation deux documents sont formalisés : la liste des médicaments encore appelée bilan des médicaments la nouvelle ordonnance. La recherche d’informations fait insuffisamment appel à une collaboration structurée entre professionnels de santé. Elle devrait s’appuyer sur un système d’information partagé. Peu ou non formalisé à ce jour, le prescripteur se contente le plus souvent de l’entretien systématisé du patient ou de son entourage. Dans le cas de la conciliation, la recherche d’informations devient active. Les informations obtenues, soit par entretien avec d’autres professionnels de santé soit par consultation de données, sont alors croisées dans le but de créer une confiance dans le résultat recherché. La démarche de conciliation pose clairement le problème de la source d’informations idéale partagée, celle dont la qualité des données n’est pas contestable. La prise en compte en tant que de besoin dans la décision médicale des médicaments identifiés, peut être considérée comme la conciliation proprement dite, étape clé du processus global de conciliation. Correctement structuré et mené, il se conclut par la rédaction d’une prescription mieux sécurisée. Sachant que la prescription médicale est le point de départ formalisé de la prise en charge médicamenteuse pour tous les autres professionnels qui lui succèdent, on comprend l’intérêt de bien asseoir le démarrage de ce processus complexe. 4

Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec …rédiger la fiche de conciliation des traitements Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec 05 mai 2010 Pharmaciens

Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec …rédiger la fiche de conciliation des traitements Exemple d’une conciliation Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec 05 mai 2010 Pharmaciens Médecins Un exemple fictif pour imager le processus. L’ensemble de ces informations est enregistré sur la fiche de conciliation des traitements médicamenteux.

Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec 05 mai 2010 Données du 1er février au 19 septembre 2010 Sources d’information Professionnels Santé Ville Le nombre de sources d’informations et leur fréquence de consultation expliquent la durée de réalisation et la qualité des BMO obtenus. DMP : dossier médical patient MT : médecin traitant

Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec ‘ R c ’ CH de Lun é ville Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec 05 mai 2010 Centre hospitalier de Lunéville Site pilote en France depuis déc 2009 429 lits et places dont 177 MCO Données 2009 17 014 passages aux urgences dont 4 081 patients hospitalisés Dont 2 165 patients hospitalisés ≥ 65 ans Service de médecine orientation diabétologie et nutrition Patients éligibles - 368 en 2009 soit 7 patients par semaine Service de chirurgie urologie – digestive - traumatologique Patients éligibles - 538 en 2009 soit 10 patients par semaine Pour atteindre le seuil de 30 patients par mois Le centre hospitalier de Lunéville (CHL) est un établissement de santé public. Il dispose d’une activité MCO avec 167 lits et 10 places. Il dispose également d’une USLD de 30 lits. Deux EHPAD – la maison de retraite Saint Charles et la maison de retraite Stanislas – comprennent à eux deux 222 lits. Plus de 10 000 patients sont hospitalisés par an au CHL dont plus de 4 000 après passage aux urgences.

Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec ‘ R c ’ CH de Lun é ville Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec 05 mai 2010 Données du 1er février au 20 novembre 2010 262 patients ≥ 65 ans passés aux urgences et hospitalisés dans le service de médecine B 218 patients conciliés 43 patients non conciliés Conciliation des traitements médicamenteux – 177 patients 124 patients dans les 24h MR1 = 57% des patients éligibles conciliés dans les 24 h MR1-OMS = 80% des patients éligibles conciliés dans les 48 h MR0 = 10.1% des patients conciliés au CHL 218 patients conciliés / 2122 patients éligibles 51 patients entre 24h et 48h 43 patients au-delà de 48h 13 patients conciliés en proactif 84 patients sont éligibles pour bénéficier du processus de conciliation Med’Rec. Il s’agit de patients de 65 ans et plus, hospitalisés après passage aux urgences dans le service pilote de médecine B. 7 patients sont non conciliés. Cela s’explique par le manque de disponibilité des étudiants en pharmacie chargés de la réalisation du BMO, absents pour le concours de l’internat. Les patients qui ne sont pas conciliés dans les 24h, mais au-delà, le sont : soit parce qu’ils sont hospitalisés le week-end soit parce que la recherche de leur BMO est particulièrement complexe.

Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec ‘ R c ’ CH de Lun é ville Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec 05 mai 2010 Données du 1er février au 20 novembre 2010 Indicateurs Med’Rec (MR) de l’OMS MR2 = 1.00 divergence IND par patient concilié soit 219 divergences IND / 218 patients conciliés MR3 = 0,96 divergence NI par patient concilié soit 210 divergences NI / 218 patients conciliés MR4 = 39% des patients avec au moins une divergence NI soit 85 patients ayant au moins une divergence NI / 218 patients conciliés MR5 = 40% des patients sans aucune divergence soit 87 patients sans divergence / 218 patients conciliés Les 4 premiers indicateurs MR sont à renseigner et à communiquer mensuellement à l’OMS. Le 5ème indicateur MR5 a été formalisé par l’équipe projet du CHL. Il correspond à un indicateur de qualité qui exprime le pourcentage de patients conciliés ne présentant aucune divergence, c’est-à-dire ce vers quoi il faut tendre. C’est un élément positif de communication. Concernant les indicateurs MR : plus de la moitié des patients sont conciliés dans les 24h (MR1). Il s’agit d’un résultat à améliorer : plus tôt les informations sur le traitement du patient sont disponibles, mieux sécurisée est sa prise en charge médicamenteuse si un quart des patients présentent au moins une erreur médicamenteuse c’est-à-dire au moins une divergence de type 2 (MR4), pour près de la moitié des patients conciliés il n’y a pas d’écart non documenté entre le BMO et l’OMA (MR5).

Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec ‘ R c ’ CH de Lun é ville Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec 05 mai 2010 Données du 1er février au au 20 novembre 2010 15 10 20 5 3:30 3:00 2:30 2:00 1:30 1:00 0:30 La figure est construite sur le même principe que la précédente. La différence réside dans la distinction des 2 types de divergences : le nombre de divergences de type 1 par patient concilié (couleur verte) le nombre de divergences de type 2 par patient concilié (couleur rouge). 0:00 Semaine

Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec ‘ R c ’ CH de Lun é ville Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec 05 mai 2010 Les facteurs favorisant la mise en œuvre du projet Med’Rec Le problème ubiquitaire de la conciliation des traitements médicamenteux Les attentes du patient en terme d’informations sur sa prise en charge thérapeutique médicamenteuse La vision globale de conciliation des traitements médicamenteux incluant l’ensemble des points de transition La maturité du système d’information du CHL La démarche de pharmacie clinique intégrée et acceptée par la communauté médicale La petite taille de l’établissement de santé, de son bassin de population et du nombre de ses correspondants de ville, pharmaciens et médecins La culture de la qualité au CHL

Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec ‘ R c ’ CH de Lun é ville M e d ‘ R c ’ CH de Lun é ville Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec 05 mai 2010 Les freins liés à la mise en œuvre du projet Med’Rec La non connaissance des attentes exactes des pouvoirs publics quant à l’expérience Med’Rec en France L’absence d’affectation de moyens à l’établissement investigateur Les freins liés aux difficultés d’accès aux bases de données patient nationales au dossier pharmaceutique du patient Le délai et la durée de conciliation des traitements médicamenteux Le profil des patients insuffisamment ciblé Le choix des événements sentinelles Le devenir des données quand le nombre de 30 patients/mois n’est pas atteint Les indicateurs de processus et non des indicateurs de résultats cliniques

Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec ‘ R c ’ CH de Lun é ville Exemple de FCT de Transfert ou de Sortie Centre hospitalier de Lunéville - Med’Rec 05 mai 2010 Information / Education Patient Information Services / Établissements Information Professionnels de santé de ville Médecin traitant Pharmacien référent Qui? Quand? Comment?