Exposé de Jean-Pierre Danner Hôpital Edouard Herriot Lyon 29/02/2008 CENTRE HYPERBARE CENTRE HYPERBARE Hôpital Edouard Herriot Lyon Septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon à M. Charles de la Verpillière

Exposé de Jean-Pierre Danner 29/02/2008 Utilité d’un centre Hyperbare (OBH) l’Oxygénothérapie Hyperbare méthode méthode thérapeutique qui consiste à faire inhaler de l'oxygène (O2) à très haute concentration à un patient placé dans une enceinte étanche dont la pression est supérieure à la pression atmosphérique (OHB) définition remarque : dans un centre hyperbare, il existe le plus souvent plusieurs caissons ou chambres hyperbares Le premier principe thérapeutique repose sur l'élévation de la pression partielle d'oxygène obtenue en application de la loi de Dalton : pgaz = fraction gaz x pression ambiante. Le deuxième principe thérapeutique lié à l'élévation de pression ambiante est la réduction des volumes gazeux de l'organisme (loi de Boyle - Mariotte). Cet effet est utilisé pour le traitement des accidents de plongée et des embolies gazeuses. En cas de pression ambiante élevée, l'oxygène ne peut donc être utilisé seul du fait de sa toxicité neurologique et le gaz de complément est alors soit l'azote ou mieux, l'hélium. Septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon à M. Charles de la Verpillière

Exposé de Jean-Pierre Danner 29/02/2008 Utilité d’une chambre (ou caisson) Hyperbare Ou l’Oxygénothérapie Hyperbare pour quelles Pathologies ? « une enceinte étanche dont la pression est supérieure à la pression atmosphérique » nécessite l’emploi d’un caisson (ou chambre) hyperbare (6 bars ou 2,5 bars abs) Les chambres hyperbares qui peuvent contenir un ou plusieurs patients, ainsi que d'éventuels accompagnants. Il s'agit d'installations complexes dans lesquelles l'ambiance est constituée d'air comprimé et le patient inhale l'oxygène ou un mélange gazeux particulier au moyen d'un masque ou d'une sonde trachéale. Elles nécessitent, outre la chambre hyperbare, des compresseurs d'air, des réservoirs d'air comprimé, des systèmes de sécurité, des réservoirs de différents mélanges gazeux destinés aux patients. On doit distinguer deux types de chambres hyperbares en fonction de leur utilisation : les chambres hyperbares destinées au traitement de patients de réanimation. Il s’agit de cylindres verticaux d’un diamètre de 3 mètres, permettant pour les accompagnants de réaliser tous les actes nécessaires de réanimation, tout en pouvant se maintenir en position debout du fait de la hauteur disponible. Les chambres hyperbares dévolues au traitement des patients chroniques. Il s’agit alors de cylindres horizontaux permettant le traitement de 4 à 16 patients assis ou 2 à 4 patients couchés en une seule compression. Ces chambres sont en revanche peu pratiques pour le traitement d’un patient de réanimation du fait de l’impossibilité à effectuer le tour du patient et à se maintenir en position debout. Septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon à M. Charles de la Verpillière

Utilité d’un caisson (ou chambre) Hyperbare Ou l’Oxygénothérapie Hyperbare pour quelles pathologies ? les indications de réanimations (ou urgences) 1 2 les indications dites chroniques Septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon

Exposé de Jean-Pierre Danner 29/02/2008 Utilité d’un caisson Hyperbare les indications de réanimation (d’urgence) 1 les embolies gazeuses chirurgicales les accidents de décompression : plongeurs, tubistes (travail des tunneliers), centrales nucléaires (test sous pression d’enceinte des réacteurs) … - Les indications de réanimation : - les embolies gazeuses ou passage de gaz dans le sang ; - les accidents de décompression ; - les intoxications au monoxyde de carbone ; les affections des tissus mous à germes anaérobies de type « gangrènes gazeuses ». les intoxications au monoxyde de carbone (CO) les surdités brusques (acouphène) Septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon à M. Charles de la Verpillière

Exposé de Jean-Pierre Danner 29/02/2008 Utilité d’un caisson Hyperbare Ou l’Oxygénothérapie Hyperbare pour quelles pathologies ? 2 les indications dites « chroniques » * les retards de cicatrisation (diabétiques, artéritiques, atteinte post-radique, greffes…) les pneumatoses kystiques (présence de gaz dans les parois du tube digestif ) les gangrènes gazeuses (après chirurgie et antibiothérapie) - Les autres indications dites chroniques : - cicatrisation de tissus en ischémie critique dont la cause n’est pas accessible à la chirurgie (lésions cutanées des diabétiques, lésions artéritiques, lésions d'écrasement des parties molles) ; - traitement des atteintes post-radiques ; - traitement de certaines surdités brusques ; - autres indications comme la pneumatose kystique intestinale, certaines complications cutanées de la maladie de Crohn, etc... * liste non exhaustive Septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon à M. Charles de la Verpillière

Exposé de Jean-Pierre Danner 29/02/2008 Nombre et répartition des centres Hyperbares en France (chiffres hors Outre-mer) les centres civils 23 centres civils + 1 caisson « d’urgence à Besançon » * les centres militaires 4 centres militaires Un centre peut être composé de plusieurs caissons (ou chambres) hyperbares remarques : les caissons monoplace à l’oxygène ont été supprimé du fait des dangers liés à ce type d’appareillage * seul reste 1 caisson monoplace avec possibilité d’accompagnement en « dépannage » à Besançon. Septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon à M. Charles de la Verpillière

Au total 23 centres civils Zone d’activité du centre Hyperbare de l’hôpital Edouard Herriot à Lyon Au total 23 centres civils le centre hyperbare de Lyon « couvre » 19 départements la population concernée est de 9.226.900 habitants (recensement de 1999) Le centre est composé d’un seul caisson qui ne peut traiter que 4 personnes au maximum par séance calculs hors Outre-mer Septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon

Exposé de Jean-Pierre Danner 29/02/2008 Nombre et répartition des centres Hyperbares en France (chiffres hors Outre-mer et hors centres militaires) 19 départements concernés par le centre hyperbare de Lyon Ain, Allier, Hautes Alpes, Ardèche, Cantal, Côte d’Or, Creuse, Doubs, Drôme, Isère, Jura, Loire, Haute Loire, Nièvre, Puy de Dôme, Rhône, Saône et Loire, Savoie, Haute Savoie couverture moyenne par centre sur le reste du territoire 3,85 % calcul de couverture en pourcentage de la population A la même époque, l’environnement d’installation de caissons hyperbares dans la région centre-est comportait : à Lyon : - un caisson monoplace à l’hôpital de la Croix-Rousse ; - un caisson monoplace à l’hôpital Desgenettes ; - un caisson monoplace à l’hôpital Henry Gabrielle ; - un caisson monoplace à la clinique du Tonkin ; - un caisson monoplace avec possibilité d’accompagnement à l’hôpital neurologique ; à Grenoble : - un caisson monoplace avec possibilité d’accompagnement ; à Besançon : - un caisson monoplace avec possibilité d’accompagnement. Progressivement, les différentes installations ont disparu et il ne reste depuis l’année 2000 que l’installation de l’hôpital Edouard Herriot réduite à la chambre multiplace et le caisson monoplace de Besançon (qui adresse à Lyon les patients de réanimation). couverture du centre de l’Hôpital E. Herriot Lyon 15,41 % cette couverture dépasse très largement la région Rhône-Alpes (8 départements), ce centre ne comprend qu’un caisson de quatre places. Septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon à M. Charles de la Verpillière

Exposé de Jean-Pierre Danner 29/02/2008 Le centre hyperbare de Lyon ne comporte qu’un seul caisson (ou chambre) de quatre places contrairement à d’autres centres, il est un cas unique en France Quelques exemples : Marseille Ste Marguerite : 3 chambres 18 places Lille : 3 chambres 16 places Nice : 3 chambres 15 places difficultés d’une seule chambre (de 4 places) : 1) suppression des traitements "chroniques" en cas d'urgence 2) mobilisation de temps « infirmier » du fait du renouvellement des compressions (moyenne de 17 malades / jour soit 4 à 5 compressions décompressions de 10 à 13 h / jour) Le mélange gazeux héliox, 22% Oxygène - 78% hélium,  coûte à peu près 40 euros/m3. Le traitement d'un accident de plongée ou d'une embolie gazeuse, consomme selon les patients et le mode de ventilation (spontanée ou artificielle) de 10 à 25 m3. Ceci coûte donc à l'hôpital, de 400 à 1.000 euros, rien que pour ce gaz. Ceci explique que très peu de centres (Lyon, Toulouse et Toulon Sainte Anne )utilisent ce type de table et de mélanges, malgré la différence observée en terme de qualité de résultats. Il faut savoir qu'un traitement en caisson, quel qu'il soit (deux heures à 8 heures) est facturé 120 euros lorsque c'est la Sécurité Sociale qui paye ; autrement, le prix facturé à une assurance ou un patient payant de lui-même (ces deux cas sont une rareté) est de 1040 euros. Dans les deux cas de figure, le plongeur coûte très cher. Je ne peux évaluer le coût d'une séance de deux heures. Le seul gaz consommé est l'oxygène (plus de 3 m3 par patient) provenant de la centrale de l'hôpital. Un scanner coûte actuellement 700 000 euros, une IRM, de 900 000 à 2 000 000 euros et une TEP (tomographie par émission de positons) 800 000 euros. Nous sommes l'un des seuls centres civils publics de l'hexagone à ne disposer que d'une seule chambre. Ajaccio : 2 chambres (10 places), Nice : 3 chambres (? places), Marseille Sainte Marguerite : 3 chambres (18 places), Toulouse : 2 chambres (? places), Bordeaux : 2 chambres qui viennent d'être installées (16 places), Toulon Font-Pré : 1 chambre (10 places), Brest Morvan : 1 chambre (5 places), Le Havre : 2 chambres, Angers : 1 chambre (10 places), Garches 1 chambre (8 places), Lille : 3 chambres (16 places), Besançon : 1 chambre (2 places). Les difficultés évidentes avec une seule chambre de capacité modeste sont : 1) la suppression des traitements "chroniques" en cas d'urgence, 2) la mobilisation de temps infirmier du fait du renouvellement des compressions (actuellement, environ 17 malades par jour), 3) la nécessité d'effectuer une séance par patient couché puisqu'il n'y a qu'une seule place de ce type, et plus grave, 4) la nécessité de différer la prise en charge d'une urgence. Ce cas de figure est arrivé à différentes occasions (une embolie gazeuse + deux accidents de plongée à des heures d'arrivée différentes ; intoxication par le CO alors qu'il y a déja une embolie gazeuse. Il faut de rappeler qu'un accident de plongée ou une embolie gazeuse bloque le caisson pour huit heures. 3) nécessité d'effectuer une séance par patient couché (une seule place de ce type) 4) nécessité de différer la prise en charge d'une urgence (déjà vécu : 1 embolie gazeuse + 2 accidents de plongée à des heures d'arrivée différentes, intoxication par le CO alors qu'il y a déjà une embolie gazeuse…) nota : un accident de plongée ou une embolie gazeuse bloque le caisson 8 heures Septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon à M. Charles de la Verpillière

Exposé de Jean-Pierre Danner 29/02/2008 Les chiffres concernant le centre Hyperbare de Lyon Patients en urgence Patients en Chroniques * date du début des statistiques informatiques indications « d’urgence » 4.081 Patients indications «chroniques» 3.646 Patients + 60 accidents de CO monoxyde de carbone boom de la plongée loisir en Rhône-Alpes + accidents (tunnelier) pour la construction de BPNL (to) + accidents (tunnelier) pour la construction du métro Quid de la pointe « urgence » de 1975 avec 240 patients dont 179 en accident de CO ? nombre de Patients par an de *1971 à 2006 Septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon à M. Charles de la Verpillière

Exposé de Jean-Pierre Danner 29/02/2008 Les chiffres concernant le centre Hyperbare de Lyon le centre c’est aussi (au total) : moyenne sur 13 ans 264 patients par an 7.727 Patients Depuis le premier mars 2006, les séances de traitement en chambre hyperbare qui étaient cotés K15, K50 ou K100 sont cotées « séance d’hospitalisation de jour » et ont été revalorisées à 192 euros par séance quel qu’en soit le type. Ceci est valable pour les séances des patients « extérieurs » aux Hôpitaux de Lyon. 68.626 séances 140.546 heures de service nombre de Patients par an de *1971 à 2006 * date du début des statistiques informatiques Septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon à M. Charles de la Verpillière

Exposé de Jean-Pierre Danner 29/02/2008 Le centre Hyperbare de Lyon (1 chambre ou caisson) l’unique caisson de Lyon a été installé en 1969 Il s'agit d'une chambre Neyrpic multiplace, construite en 1969, de type C3000S avec sas pour le personnel et sas pour le petit matériel. La chambre est formée d'un cylindre à axe vertical à fonds bombés, de 3 m de diamètre et de 2, 45 m de hauteur, générant un volume utile de 16 m3. Le sas à personnel est un cylindre à axe horizontal de 1,60 m de diamètre et de 1,20 m de long. Appareil catégorie II, classe C, Groupe IV, sous-groupe 4. (arrêté du 28 février 1970; J.O. du 2/04/70). Possibilité de compression jusqu'à 6 bars soit 7 atmosphères absolues (Atm abs). Inhalation de différents mélanges gazeux: air, oxygène 40%-azote 60%, oxygène 60%-azote 40%, oxygène 100%, mélanges Héliox. Déverseurs d'oxygène et ventilation de la chambre pour respecter une fraction d'oxygène inférieure de 0,25 dans les atmosphères de la chambre et du sas qui sont surveillées par des analyseurs d'oxygène. Deux compresseurs « basse pression » sont situés en terrasse et peuvent fournir alternativement un débit de 180 m3/heure pour assurer le maintien d’une concentration d’oxygène inférieure à 25% dans la chambre projet projet il peut accueillir 4 personnes, 1 lit + 3 « fauteuils » Septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon à M. Charles de la Verpillière

Exposé de Jean-Pierre Danner 29/02/2008 Le centre Hyperbare de Lyon quelques vues du caisson de Lyon En 1985, il y a eu constitution d'une équipe "rein-caisson" composée d'un cadre de huit infirmières (7,8 ETP) avec en complément une astreinte partagée les membres de cette équipe et deux infirmiers techniques de N et G réanimation. Ces infirmières effectuent des horaires de 12 heures de permanence. Cette équipe n’a pas été renforcée lors du passage aux « 35 heures », ce qui a réduit le personnel sur place. Cette équipe n’a pas été renforcée lors du passage aux « 35 heures », ce qui a réduit le personnel sur place. Jusqu’au 31 octobre 2001, le personnel médical était constitué la journée d’un médecin référent et de deux médecins habilités au travail en hyperbarie. La nuit, les médecins de garde connaissaient le travail en hyperbarie et en cas de problème spécifique, pouvaient faire appel à l’un des collègues habilités. Depuis le 1er novembre 2001, seul reste le médecin référent qui partage son temps avec un emploi dans un service de réanimation et assure 24 heures/24, toute l’année, aussi bien de nuit que pendant les week-ends et les congés, une astreinte téléphonique bénévole Septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon à M. Charles de la Verpillière

Exposé de Jean-Pierre Danner 29/02/2008 Le centre Hyperbare de Lyon quelques ‘’autres’’ chiffres sur le caisson de Lyon moyenne d’âge des patients : 45 ans 1/2 âge maximum : 96 ans poids maximum : ? ? ? Le projet de nouvelle chambre à l’hôpital Edouard Herriot : Ce projet répond à plusieurs difficultés : augmentation d’activité ; le fait que plusieurs urgences arrivant dans les mêmes délais obligent à faire un choix et à différer le traitement de certains patients ; le retentissement de l’activité d’urgence sur l’activité chronique ; le nombre croissant de patients alités nécessitant une compression en position couchée, soit actuellement une compression par patient ; la faiblesse de l’installation en cas de panne ou de maintenance. Différents scénarios ont été envisagés, la chambre hyperbare actuelle retrouvant sa vocation primitive de chambre hyperbare de réanimation. Le plus intéressant est celui d’une chambre double avec sas intermédiaire permettant de traiter par chambre, soit 8 patients assis, soit deux patients couchés. Cette solution modulaire règle plusieurs difficultés : le nombre de séances pour des patients nécessitant la position couchée va en augmentation ; ces patients couchés peuvent parfois heurter la sensibilité des patients valides du fait de l’importance de leurs lésions. D’autre part, du fait des risques d’infections nosocomiales, ils nécessitent des séances de traitement séparées des autres patients ; les retards liés aux transports ambulanciers qui obligent à retarder tous les traitements ou à supprimer le traitement d’un patient ; la mise en conformité avec les prochaines directives qui vont obliger à l’accompagnement de tous les patients. âge minimum : 1 jour poids minimum : 1.500 grammes (prématuré né à 34 semaines) Septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon à M. Charles de la Verpillière

quelques ‘’petits’’ patients du caisson de Lyon Le centre Hyperbare de Lyon quelques ‘’petits’’ patients du caisson de Lyon Septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon

Exposé de Jean-Pierre Danner 29/02/2008 ce que le personnel soignant et les patients aimeraient avoir à Lyon Installation de la nouvelle chambre : Il s’agit d’une chambre inter-régionale et les coûts doivent être répartis entre les différentes régions. L’installation de la chambre hyperbare de Cherbourg a été financée par différentes instances territoriales dont la région, de même que celle de Marseille. Le ministère de la jeunesse et des sports est intéressé pour le traitement des accidents de plongée, EDF pour la sécurité lors des visites de centrales nucléaires et de barrages, le ministère de la santé, en particulier au titre du traitement des intoxications par le monoxyde, d’autant que le traitement par OHB diminue les risques de séquelles. D’autres possibilités existent, comme les associations de lutte contre le cancer. Enfin, un chantier de percement d’un tunnel sous-fluvial doit débuter pour le Sytral dans un délai de deux ans. Comme pour les précédents travaux en tunnelier du Grand Lyon (ligne D, prolongement ligne D, BPNL), le centre de médecine hyperbare sera référent pour le traitement d’éventuels accidents de décompression. septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon à M. Charles de la Verpillière

Exposé de Jean-Pierre Danner mes remerciements a toute l’équipe ‘hyperbare’ de Lyon 29/02/2008 merci au Docteur Bertrand Delafosse, pour sa disponibilité malgré sa charge de travail merci aux infirmières, aux infirmiers pour leur gentillesse et leur patience en plus du fonctionnement de la chambre hyperbare, le personnel soignant a en charge les dialyses et le secrétariat. Le médecin, le service de réanimation du pavillon P, le centre hyperbare pour lequel il assure une astreinte téléphonique bénévole 24 h sur 24 En conclusion : Le centre de médecine hyperbare installé dans l’enceinte de l’hôpital Edouard Herriot a une vocation inter-régionale et doit être considéré comme tel sur le plan financier. septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon à M. Charles de la Verpillière

Merci de votre Attention septembre 2007 Hôpital Edouard Herriot Lyon