Relation entre la variabilité interne des modèles régionaux de climat et le temps de résidence Philippe Lucas-Picher Directeur: Daniel Caya Codirecteur: René Laprise
Problématique Approche méthodologique Les modèles régionaux de climat (MRC) sont sensibles à de faibles perturbations dans les conditions initiales. Cette sensibilité, appelée variabilité interne, provient principalement des équations non-linéaires qui gouvernent les MRC. D’après leurs configurations, les MRC sont contraints aux frontières par des conditions aux frontières limites (CFL), ce qui restreint cette sensibilité aux CI. L’étude suivante cherche donc à mieux comprendre l’interaction entre le contrôle des CFL et la variabilité interne dans les MRC. Dans cet objectif, un lien entre le temps de résidence et la variabilité interne est recherché Effectuer un ensemble de simulations avec le modèle régional canadien du climat lancé avec différentes conditions initiales pour plusieurs années Étudier la variabilité interne par la dispersion des membres de l’ensemble Identifier une relation entre le temps de résidence et la variabilité interne
Résultats Distribution spatiale de la variabilité interne en utilisant la moyenne saisonnière de l’écart type inter-membre pour la pression au niveau de la mer en été ( ) Distribution temporelle de la variabilité interne calculée à partir de l’écart type inter-membre de la pression au niveau de la mer avec un nombre croissant de simulations hPa Nombre simulations hPa
Résultats Distribution spatiale du temps de résidence à 850 hPa pour l’été ( ) jours Temps de résidence jours Diagramme de dispersion entre le temps de résidence à 850 hPa et la variabilité interne pour la pression au niveau de la mer en été ( ) hPa Variabilité interne 0